Poème:La Femme Est Un Privilège.

Nous sommes assaillis de passion soudaine
Nous remplissant chaque fois d’un soupçon de peine,
Pourtant tout en nous nous poussent à le vouloir
Et plus encore nous condamnent à y croire.
Moi, j’ai cru en une passion merveilleuse
Celle qui je pense était la plus heureuse.
Je ne voulais qu’une chose c’était la durée de cette amour
Petite fille, je rêvais au prince charmant pour toujours.
Toutefois j’ai grandi et mûri mais mon souhait reste intact
Mais celui en qui je croyais est pour ce fait encore inapte.
A part promettre et me laisser espérer que fait-il ?
Il ne se doute point que l’amour que je lui porte reste fragile.
Alors les jours sans cesse et trop rapidement passent et se succèdent,
Et moi dans mon coin seule et triste je repense à celle qui me précède,
Celle avec qui jamais il n’a été heureux et qu’il me dit n’avoir jamais aimer
Mais que dira-t’il de moi le jour où il saura que notre amour n’était pas pour l’éternité ?
Dira-t’il fièrement moi je ne l’aimais pas, je ne faisait que jouer
Ou osera-t’il dire fièrement qu’à notre amour il a contribué ?
Je ne sais plus, je doute et devant ses dires je me fait méfiance
Quand se décidera-t’il à récupérer ma confiance ?
Quand me reconquérira-t’il et ne se dira-til plus qu’il m’a acquise
Et que jamais une femme sans attention reste conquise ?
Peut-être s’en rendra-t’il compte le jour de mon départ
Où là seul il y pensera perdu dans ses idées noires
Et là pour notre couple il sera définitivement trop tard !
Sache que toutefois une femme est un privilège qui t’es donné
A toi de te décider à tout entreprendre pour la conserver !