Texte:Cap Tout Droit

Des mille et une nuit aux iles (des) mirages
Avant de s’y engouffrer, droit vers un petit passage étroit,
Entre clair obscur, toujours en alerte…

Agar jusqu’à la descente, sur cette terre de sable fins, à la douce lumière réchauffante des rayons du soleil qui entoure tout ici, aux cascades en trombe d’eau se déversant mais tant rafraichissante.
Aucunes garde à avoir, le bonheur est peut-être donc à porter de main…
À quelle divine figure, dois-je mon séjour dans un coin de paradis ?

Qui aurait-dit…

Ne manquant de rien à vue d’œil, les bagages déposés et tout est prêt ! L’on se fabrique un coin bien à nous, qui nous dépaysâmes par la vue donnant sur l’horizon, mais quand même, si bien.
C’est au fil des journées qui passent, pesantes, je ne sais… il manque… Le semblant de quotidien réinventé devient inconfortable…

L’euphorie des premiers pas passer me semble loin maintenant, laissant seulement les pensées dans un désarroi.

L’astre solaire passa le relais au coucher de soleil, qui en aggrave de toutes sa nervosité virevoltante de neurones en neurones… Rêves soudain de changer, d’ailleurs.
Ma vision s’évanouit peu à peu, sans en vouloir changer mon rêve du début… me sens démunis ayant tellement actualisé l’envie de m’en faire mon nid.

Dois repartir à l’aube, avant que le cœur ne m’en fasse trop mal… Mais le destin en voulait autrement, et je repars.