Texte:Les Maux Reste Coincé Sous La Peau
Le Texte
Pendant longtemps,
Un très long chemin
Avant l’essai,
Autant de temps
Pour trouver comment
Pour qui ou pourquoi,
Rapiécer…
Un jour sans frapper
Un ultimatum fut apposé
Mon bonheur contre la raison,
Sans que le cœur est prononcé ces maux…
Cet amour filial
Celui qui m’a élever
Au rang de femme, que je suis
Amènes a l’autre,
Cet autre sentiment,
Qui te rends le bonheur
Celui d’être maintenant soi-même.
Le goûter du bout des lèvres
Acide, sont les jours
Ressassant ce nectar
Cadeau des Dieux
Mon Dieu, c’était beau… !
Sans me douter
Du retour des oiseaux,
Sous une nuée d’étoiles
Mes yeux se perlait, déchiré
Plus aucune chaleur,
Autre que le feu de la haine
La guerre déclarée
Les dès jeté, en pâture
Contre eux
Et contre toi,
La mère qui m’a faite
L’on m’a criée un choix.
Rester,
Ne dire plus un mot
Effaçant un pan de vie
A coup de gomme
Me renier,
Âme folle
Tenter par l’insouciance
Ma jeunesse sous les gravats
Aimer
Un amour pour son égale,
Voilà mon héritage,
Avéré coupable.
Avoir aimé une femme
Ressentir ces battements
Jusqu’à ma chair
Striée par vos ratures…
Haïr jusqu’au sang,
Sans en dire toutes l’immensité
Comme je le ressens, encore
Même après 4 années…
J’aurais toujours l’image
Que l’on m’a volé mes 20 ans
Traités comme la s*****,
Tous, chacun me montrer du doigt.
La mémoire a gommé,
Son parfum
Son visage,
Jamais ces instants suspendus
Celui des beaux jours,
De quand nos mains se rejoignent
Ces cheveux roux
Au soleil doré
Ça ne vaut ni l’or ni l’argent,
Rien ne plus de prix
Que revoir sa silhouette
Les yeux fermer.
Ils m’ont appris une leçon
L’amour couplé a la haine
Détruira un cœur solide,
Apposer des barricades
Gelé, les maux
Au derrière des murs
Jamais ne nous quitte nos éraflures
Et jamais, ne disparaîtra mon sourire
Un très long chemin
Avant l’essai,
Autant de temps
Pour trouver comment
Pour qui ou pourquoi,
Rapiécer…
Un jour sans frapper
Un ultimatum fut apposé
Mon bonheur contre la raison,
Sans que le cœur est prononcé ces maux…
Cet amour filial
Celui qui m’a élever
Au rang de femme, que je suis
Amènes a l’autre,
Cet autre sentiment,
Qui te rends le bonheur
Celui d’être maintenant soi-même.
Le goûter du bout des lèvres
Acide, sont les jours
Ressassant ce nectar
Cadeau des Dieux
Mon Dieu, c’était beau… !
Sans me douter
Du retour des oiseaux,
Sous une nuée d’étoiles
Mes yeux se perlait, déchiré
Plus aucune chaleur,
Autre que le feu de la haine
La guerre déclarée
Les dès jeté, en pâture
Contre eux
Et contre toi,
La mère qui m’a faite
L’on m’a criée un choix.
Rester,
Ne dire plus un mot
Effaçant un pan de vie
A coup de gomme
Me renier,
Âme folle
Tenter par l’insouciance
Ma jeunesse sous les gravats
Aimer
Un amour pour son égale,
Voilà mon héritage,
Avéré coupable.
Avoir aimé une femme
Ressentir ces battements
Jusqu’à ma chair
Striée par vos ratures…
Haïr jusqu’au sang,
Sans en dire toutes l’immensité
Comme je le ressens, encore
Même après 4 années…
J’aurais toujours l’image
Que l’on m’a volé mes 20 ans
Traités comme la s*****,
Tous, chacun me montrer du doigt.
La mémoire a gommé,
Son parfum
Son visage,
Jamais ces instants suspendus
Celui des beaux jours,
De quand nos mains se rejoignent
Ces cheveux roux
Au soleil doré
Ça ne vaut ni l’or ni l’argent,
Rien ne plus de prix
Que revoir sa silhouette
Les yeux fermer.
Ils m’ont appris une leçon
L’amour couplé a la haine
Détruira un cœur solide,
Apposer des barricades
Gelé, les maux
Au derrière des murs
Jamais ne nous quitte nos éraflures
Et jamais, ne disparaîtra mon sourire

Écrivain Roserouge
Roserouge a publié sur le site 1334 écrits. Roserouge est membre du site depuis l'année 2020.Lire le profil de l'auteur poète RoserougeSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Les Maux Reste Coincé Sous La Peau
pɑ̃dɑ̃ lɔ̃tɑ̃,œ̃ tʁε lɔ̃ ʃəmɛ̃
avɑ̃ lesε,
otɑ̃ də tɑ̃
puʁ tʁuve kɔmɑ̃
puʁ ki u puʁkwa,
ʁapjese…
œ̃ ʒuʁ sɑ̃ fʁape
œ̃n- yltimatɔm fy apoze
mɔ̃ bɔnœʁ kɔ̃tʁə la ʁεzɔ̃,
sɑ̃ kə lə kœʁ ε pʁonɔ̃se sε mo…
sεt amuʁ filjal
səlɥi ki ma eləve
o ʁɑ̃ də famə, kə ʒə sɥi
amεnəz- a lotʁə,
sεt otʁə sɑ̃timɑ̃,
ki tə ʁɑ̃ lə bɔnœʁ
səlɥi dεtʁə mɛ̃tənɑ̃ swa mεmə.
lə ɡute dy bu dε lεvʁə
asidə, sɔ̃ lε ʒuʁ
ʁesasɑ̃ sə nεktaʁ
kado dε djø
mɔ̃ djø, setε bo… !
sɑ̃ mə dute
dy ʁətuʁ dεz- wazo,
suz- ynə nye detwalə
mεz- iø sə pεʁlε, deʃiʁe
plysz- okynə ʃalœʁ,
otʁə kə lə fø də la-εnə
la ɡeʁə deklaʁe
lε dε ʒəte, ɑ̃ patyʁə
kɔ̃tʁə ø
e kɔ̃tʁə twa,
la mεʁə ki ma fεtə
lɔ̃ ma kʁje œ̃ ʃwa.
ʁεste,
nə diʁə plysz- œ̃ mo
efasɑ̃ œ̃ pɑ̃ də vi
a ku də ɡɔmə
mə ʁənje,
amə fɔlə
tɑ̃te paʁ lɛ̃susjɑ̃sə
ma ʒənεsə su lε ɡʁava
εme
œ̃n- amuʁ puʁ sɔ̃n- eɡalə,
vwala mɔ̃n- eʁitaʒə,
aveʁe kupablə.
avwaʁ εme ynə famə
ʁəsɑ̃tiʁ sε batəmɑ̃
ʒyska ma ʃεʁ
stʁje paʁ vo ʁatyʁə…
ajʁ ʒysko sɑ̃,
sɑ̃z- ɑ̃ diʁə tutə limɑ̃site
kɔmə ʒə lə ʁəsɛ̃, ɑ̃kɔʁə
mεmə apʁε katʁə ane…
ʒoʁε tuʒuʁ limaʒə
kə lɔ̃ ma vɔle mε vɛ̃t- ɑ̃
tʁεte kɔmə la εs asteʁiskə asteʁiskə asteʁiskə asteʁiskə,
tus, ʃakœ̃ mə mɔ̃tʁe dy dwa.
la memwaʁə a ɡɔme,
sɔ̃ paʁfœ̃
sɔ̃ vizaʒə,
ʒamε sεz- ɛ̃stɑ̃ syspɑ̃dys
səlɥi dε bo ʒuʁ,
də kɑ̃ no mɛ̃ sə ʁəʒwaɲe
sε ʃəvø ʁu
o sɔlεj dɔʁe
sa nə vo ni lɔʁ ni laʁʒe,
ʁjɛ̃ nə plys də pʁi
kə ʁəvwaʁ sa siluεtə
lεz- iø fεʁme.
il mɔ̃ apʁiz- ynə ləsɔ̃
lamuʁ kuple a la-εnə
detʁɥiʁa œ̃ kœʁ sɔlidə,
apoze dε baʁikadə
ʒəle, lε mo
o dəʁjεʁə dε myʁ
ʒamε nə nu kitə noz- eʁaflyʁə
e ʒamε, nə dispaʁεtʁa mɔ̃ suʁiʁə
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
25/03/2021 02:43Malami
Magnifique votre poème, très sensuelle j’ai beaucoup aimé merci du partage !

25/03/2021 12:20Printemps
Beau poème qui explique avec une grande beauté le modèle d’amour pour la figure maternelle la première construction d’un regard qui peut diriger nos options sentimentales. L’amour aura toujours son identité et son propre existence. Merci du partage!
Texte Absolu
Du 25/03/2021 02:38
L'écrit contient 332 mots qui sont répartis dans 20 strophes.