Texte:Le Glas

L’endroit est entre ce désert aride des photos d’Égypte et les vagues qui se cassent en s’approchant du réseau rivage.
Il y a l’entre deux, ce moment retenu dans le temps, l’on plane, c’est sentir ces ailes qui laisser glisser sur elles, le vent.

Je me demande si ce moment, ce temps n’était pas revenu… Car pendant longtemps écartelé, emmêles par ces sentiments qui luttent et me poussent à faire des va-et-vient. Quelques années à faire un pas en avant…

Ce sable marque mon empreinte.
Devant toutes ces interrogations sur ce futur qui survient sur le moment, j’ai eu a persévéré pour ne pas que le soleil ne brûle ma peau.

L’univers peut être doux dans une certaine mesure le pardon ce fait plus léger, je n’en garde que des photos argentiques brûlé à mesure que je perds dans mon sommeil, les combats menés et tous ces regrets. Mes valises bouclées, ma quête repars…

Les actions dans le marbre que l’histoire grave de la façon qu’elle le voudra, que me jugera t’on…

L’honnête oiseau se meurt au travers de ces barreaux, il se voit virevoltant dans la jeunesse de ces rêves. La porte fermée demeure libre dans vie, une pensée en fermant ces yeux.

Dans le toucher, j’y ai trouvé une certaine forme de grâce aussi douce que du satin, quelques jours il ressemble au velours des mots doux…

Le jour de larguer les amarres, nue de tous les maux, dans ma pénitence que ce brûlant soleil, d’Icare je me souviens…
Aime aujourd’hui comme l’amour est un cadeau, dès le début de tes plus ardentes peurs grilles la colère dans la passion.

Cette histoire aimante un jour commémoré, l’on ne part une fois que tous est terminé.

Lâche prise pour la personne qui était un soldat au combat, c’est arrivé. C’est arrivé.
Reprends le droit de te laisser d’autres options, cela viendra des jours passants tes pensées en vrac qui te maudissent et te piège, c’est être capable d’accueillir la paix…

Le prix d’un combat vaut une mort digne
La première d’un phœnix
Une célébration à prendre comme elle vient…