Poème:L’espérance Dans L’espoir

Briser à défaut d’y placer de la lumière
Chaque bout à terre
Du verre pillé qui jonche le sol
De là où je me sens impuissante.
Fatigué d’avoir combattu sans armes,
Je suis déposé de n’avoir aucunes réponses…
Un temps de flash me remonte, là-haut
Le cheminement fait son bonhomme de chemin.
Pour ces démons qui sont revenus à la porte, et qui me hante.
Sans répit de les vaincre, je reste en bouclier
Comme les forces qui essayent d’entrer…
Les miens ne peuvent souffrir que des maux non protégés, et j’en dépends.

Ma force est déterminante
Mais sans clés je ne vais pas loin…
La peur qui tenaille est assaillante, je ne fais que continuer…
D’accompagner en plaçant un véto pour eux.
Je ne serais pas si faite de mes imperfections, j’aurai laissé le miel aux abeilles…
Pour mon esprit et ma peine, j’accepte d’aimer envers la haine.

Le voilà l’élément défaillant au tableau,
Lasse d’être immobile sans ne pourvoir que rien y trouver
Un spectacle à d’autres, car je te sais et te reconnais !
Je t’ai fait une place, en poussant quelques valises
Laisse-moi la peine de te convaincre par la confiance
Les dires et commérages ne sont pas en ma pensée, si tu es avec mon moi reste équitable…
Le moment à vivre au présent certes reste un concept, mais posons des bases pour y établir le reste.

Je me suis vue quelques années en arrière de toi, aussi dur que têtue…
J’y ai presque perdu une santé mentale
Touché par le bord d’une balustrade, l’eau sembler si froide…
Je n’espère pas dans le vent ça en prends des jours à s’émanciper du drame, à mesure que je croise tes yeux, j’aime enlacer la pensée qu’au calme, câliner de tendresse enrobée par ces petites choses qui te font rêver, ne pars pas aussi loin de moi…