Prose:L’école Active.

L’école aujourd’hui est au carrefour des enjeux sociaux du fait qu’elle enlace diverses disciplines : la sociologie, la psychologie, la neurologie et sciences cognitives à l’aube du 21ème siècle.
De nos jours, est-ce que l’institution éducative remplit pleinement sa noble fonction de former le futur citoyen adulte par le biais de la richesse symbolique de l’humanité ?
Ou emprunte-t-elle le chemin inverse ? Encore est-elle la source de nos soucis ? rejette-elle sur le marché des milliers de nouvelles recrues demandeurs d’emploi incultes.

Perméabilité de la crise éduvative.
Nous pensons que la crise sociale est alimentée par le problème de l’école comme la violence, les inégalités des chances et la crise identitaire.
Cet espace d’apprentissage demeure encore à l’écart de toute mutation positive, vidé de son sens primordial : la communication intergénérationnelle. Or cette finalité est loin d’être atteinte sur le champs social, écinomique et culturel.
Les atouts d’une école active.
Mises à part, les théories pédagogiques traditionnelles, il est évident que l’école devrait en premier lieu satisfaire les besoins primordiaux des enfants. Ceux-ci souffrent de l’incompréhension et du dialogue avec ka famille et les paires.
La méthode traditionnelle dussimile voire ignore l’apprenant neutralisé face au maître qui règne en « despote ».
Les programmes transcendent le petit enfant passif… L’ïnstruction tenait le premier ordre tout comme la discipline martiale, de la caserne.
La méthode directive, l’obéissance à des objectifs abstraits, la passivité et la dépendance étaient les mots clés faisant office d’une éthique.
Un simple agent, frustré de la spontanéité juvénile.
La mibilisation est un des éléments moteurs de l’école active. L’élève l’acteur de son apprentissage s’approprie l’espace, affiner son expression et son langage.
Méthode prônant la flexibilité du contenu en adéquation avec le développement physique et intellectuel. Intervient alors la coopération avec les paires.
Avec l’intrusion du numérique la communication devient plus facile et lalléable. L’enseignant est médiateur facilitant le débat en procurant de l’aide en cas de nécessité. Les thèmes choisis en commun accord du groupe.
L’attractivité de l’espace éveille la mobilisation des paires.
La coopération solidaire est propice à battre la compétence et l’individualisme des émules. Ce dernier crée le sentiment des différences.
La jouissance :
En épousant cette méthodologie l’élève assouvut sa curiosité pour le Savoir, devient plus dynamique. Les émotions ont besoin d’être satisfaites.
Les méthdes modernes audent à réaliser les rêves des apprenants, aiguiser ses talents dans un espace ludique et esthétique.
*Conclusion générale :
Tout acte éducatif repose sur des finalités (pricipes à atteindre, une stratégie de parcours et des moyens mis en oeuvre pour concrétuser les objectifs d’enseignement.
La pédagogie progressive repose sur l’expérience sociale de l’enfant tenant compte de ses manques affectifs.
La joie du Vivre-ensemble est un catalyseur de la communication saine préparant à une vie citoyenne prometteuse de l’espoir.