Poème:Conte D’hiver
Le Poème
Avant je ne connaissais que ton nom
Un doux murmure, je te croyais encore hors de porté
Aujourd’hui je ne ressens que ton ombre glacé
Tu as laissé derrière toi le tendre souvenir d’une saison
Petit flocon de neige je ne t’ai pas vu venir
Tu es tombé du ciel parfaitement dessiné
Engourdissant tous mes membres et pensées
Serait-ce toi qui a demandé au soleil de partir ?
Ta fraîcheur m’a foudroyée en plein cœur
Moi qui vivait dans une chaleur réconfortante
Ton contact a perturbé tous mes sens d’une façon effrayante
Mais au fond pourquoi avais-je si peur ?
Tu semais un sentiment mélancolique
Difficile de comprendre cet amour atypique
Tu annonçais des évènements qui m’ont longtemps traumatisés
Etait-ce vraiment juste de vouloir t’en faire payer tous les frais ?
Petit flocon de neige tu as capturé toutes les couleurs
Pourtant le calme règne désormais sur toutes les vallées
J’ai enfin compris pourquoi le soleil avait autant de rancœur
Ne pouvant détrôner la quiétude que tu m’as apporté
Cependant ta froideur en devenait brûlante
Sans aide je ne pouvais te laisser prendre le contrôle
Même s’il paraissait naturel que tu remplisses ton rôle
Le mien était de t’annoncer une fin bien moins plaisante
J’imagine que tes intentions étaient plus que respectables
Dans un monde qui voudrait fonctionner indépendamment des saisons
Comment pouvais-je juger que ta fin était irrévocable ?
Le soleil avait déjà brûlé mes yeux et tel était ma punition
Petit flocon de neige je ne voulais pas perdre tes vertus
Tu m’avais redonné goût à la vie en détournant mon regard du feu
Ton empreinte était annonciatrice d’un avenir si généreux
Si seulement j’avais choisi de m’offrir à toi sans aucune retenue…
Les frissons qui submergeaient mon corps commençaient à s’estomper
Imminente était la venue du soleil, petit à petit le jour semblait renaître
Bientôt j’allais sentir les premiers rayons de chaleur traverser les fenêtres
Pourtant une partie de moi voulait te retenir à mes côtés
Le temps des adieux est si précipitamment arrivé
J’ai posé une dernière fois mon regard sur ton manteau nacré
Une tristesse déconcertante m’a poussé à te toucher une ultime fois
Ta beauté était intacte telle une œuvre que l’on voudrait garder à jamais pour soi
Adieu t’ai-je dit du bout des lèvres en fermant les yeux
Ne souffre pas, je t’ai promis que pour toi tout irait mieux
Que la nature t’offrirait d’autres opportunités pour dévoiler tous tes charmes
Pardonne le soleil, désormais il ne cherchera qu’à sécher mes larmes
Petit flocon de neige tu as fondu trop vite
Sache que sans toi les saisons n’ont aucun mérite
Car même si tu as besoin de moi pour te contempler
Moi j’ai besoin de toi pour arriver à rêver
Tu seras dans tous les cœurs que mes yeux dessineront
Aujourd’hui c’est attristée que je regarde l’eau arpenter les ruisseaux
Car il en découle le souvenir de ton existence achevée si tôt
Alors sache que je n’oublierai jamais la force de tes frissons
Un doux murmure, je te croyais encore hors de porté
Aujourd’hui je ne ressens que ton ombre glacé
Tu as laissé derrière toi le tendre souvenir d’une saison
Petit flocon de neige je ne t’ai pas vu venir
Tu es tombé du ciel parfaitement dessiné
Engourdissant tous mes membres et pensées
Serait-ce toi qui a demandé au soleil de partir ?
Ta fraîcheur m’a foudroyée en plein cœur
Moi qui vivait dans une chaleur réconfortante
Ton contact a perturbé tous mes sens d’une façon effrayante
Mais au fond pourquoi avais-je si peur ?
Tu semais un sentiment mélancolique
Difficile de comprendre cet amour atypique
Tu annonçais des évènements qui m’ont longtemps traumatisés
Etait-ce vraiment juste de vouloir t’en faire payer tous les frais ?
Petit flocon de neige tu as capturé toutes les couleurs
Pourtant le calme règne désormais sur toutes les vallées
J’ai enfin compris pourquoi le soleil avait autant de rancœur
Ne pouvant détrôner la quiétude que tu m’as apporté
Cependant ta froideur en devenait brûlante
Sans aide je ne pouvais te laisser prendre le contrôle
Même s’il paraissait naturel que tu remplisses ton rôle
Le mien était de t’annoncer une fin bien moins plaisante
J’imagine que tes intentions étaient plus que respectables
Dans un monde qui voudrait fonctionner indépendamment des saisons
Comment pouvais-je juger que ta fin était irrévocable ?
Le soleil avait déjà brûlé mes yeux et tel était ma punition
Petit flocon de neige je ne voulais pas perdre tes vertus
Tu m’avais redonné goût à la vie en détournant mon regard du feu
Ton empreinte était annonciatrice d’un avenir si généreux
Si seulement j’avais choisi de m’offrir à toi sans aucune retenue…
Les frissons qui submergeaient mon corps commençaient à s’estomper
Imminente était la venue du soleil, petit à petit le jour semblait renaître
Bientôt j’allais sentir les premiers rayons de chaleur traverser les fenêtres
Pourtant une partie de moi voulait te retenir à mes côtés
Le temps des adieux est si précipitamment arrivé
J’ai posé une dernière fois mon regard sur ton manteau nacré
Une tristesse déconcertante m’a poussé à te toucher une ultime fois
Ta beauté était intacte telle une œuvre que l’on voudrait garder à jamais pour soi
Adieu t’ai-je dit du bout des lèvres en fermant les yeux
Ne souffre pas, je t’ai promis que pour toi tout irait mieux
Que la nature t’offrirait d’autres opportunités pour dévoiler tous tes charmes
Pardonne le soleil, désormais il ne cherchera qu’à sécher mes larmes
Petit flocon de neige tu as fondu trop vite
Sache que sans toi les saisons n’ont aucun mérite
Car même si tu as besoin de moi pour te contempler
Moi j’ai besoin de toi pour arriver à rêver
Tu seras dans tous les cœurs que mes yeux dessineront
Aujourd’hui c’est attristée que je regarde l’eau arpenter les ruisseaux
Car il en découle le souvenir de ton existence achevée si tôt
Alors sache que je n’oublierai jamais la force de tes frissons
PostScriptum
Petit poème écrit le soir de mon avortement… Je pense qu’il est en parfaite cohérence avec ce que j’ai ressenti et ce que je ressens encore aujourd’hui…
Poète Select27
Select27 a publié sur le site 4 écrits. Select27 est membre du site depuis l'année 2008.Lire le profil du poète Select27Syllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Conte D’hiver
avant=je=ne=con=nais=sais=que=ton=nom 9un=doux=mur=mu=re=je=te=cro=yais=en=co=re=hors=de=por=té 16
au=jourd=hui=je=ne=res=sens=que=ton=om=bre=gla=cé 13
tu=as=lais=sé=der=rière=toi=le=ten=dre=sou=ve=nir=du=ne=sai=son 17
pe=tit=flo=con=de=nei=ge=je=ne=tai=pas=vu=ve=nir 14
tu=es=tom=bé=du=ciel=par=fai=te=ment=des=si=né 13
en=gour=dis=sant=tous=mes=mem=bres=et=pen=sées 11
se=rait=ce=toi=qui=a=de=man=dé=au=so=leil=de=par=tir 15
ta=fraî=cheur=ma=fou=droyée=en=plein=cœur 9
moi=qui=vi=vait=dans=u=ne=cha=leur=ré=con=for=tan=te 14
ton=con=tact=a=per=tur=bé=tous=mes=sens=dune=fa=çon=ef=fray=ante 16
mais=au=fond=pour=quoi=a=vais=je=si=peur 10
tu=se=mais=un=sen=ti=ment=mé=lan=co=lique 11
dif=fi=ci=le=de=com=pren=dre=cet=a=mour=a=ty=pique 14
tu=an=non=çais=des=é=vène=ments=qui=mont=long=temps=trau=ma=ti=sés 16
etait=ce=vrai=ment=jus=te=de=vou=loir=ten=fai=re=payer=tous=les=frais 16
pe=tit=flo=con=de=neige=tu=as=cap=tu=ré=tou=tes=les=cou=leurs 16
pour=tant=le=cal=me=rè=gne=dé=sor=mais=sur=tou=tes=les=val=lées 16
jai=en=fin=com=pris=pour=quoi=le=so=leil=a=vait=au=tant=de=ran=cœur 17
ne=pou=vant=dé=trô=ner=la=qui=é=tude=que=tu=mas=ap=por=té 16
ce=pen=dant=ta=froi=deur=en=de=ve=nait=brû=lan=te 13
sans=ai=de=je=ne=pou=vais=te=lais=ser=pren=dre=le=con=trô=le 16
mê=me=sil=pa=rais=sait=na=tu=rel=que=tu=rem=plis=ses=ton=rôle 16
le=mien=é=tait=de=tan=non=cer=u=ne=fin=bien=moins=plai=san=te 16
ji=ma=gi=ne=que=tes=in=ten=tions=é=taient=plus=que=res=pec=tables 16
dans=un=monde=qui=vou=drait=fonc=tion=ner=in=dé=pen=dam=ment=des=sai=sons 17
com=ment=pou=vais=je=ju=ger=que=ta=fin=é=tait=ir=ré=vo=cable 16
le=so=leil=a=vait=dé=jà=brû=lé=mes=yeux=et=tel=é=tait=ma=pu=ni=tion 19
pe=tit=flo=con=de=neige=je=ne=vou=lais=pas=per=dre=tes=ver=tus 16
tu=ma=vais=re=don=né=goût=à=la=vieen=dé=tour=nant=mon=re=gard=du=feu 18
ton=em=preinteé=tait=an=non=cia=tri=ce=dun=a=ve=nir=si=gé=né=reux 17
si=seule=ment=ja=vais=choi=si=de=mof=frir=à=toi=sans=au=cu=ne=re=te=nue 19
les=fris=sons=qui=sub=mer=geaient=mon=corps=com=men=çaient=à=ses=tom=per 16
im=minen=teé=tait=la=ve=nue=du=so=leil=pe=tit=à=pe=tit=le=jour=sem=blait=re=naître 21
bien=tôt=jal=lais=sen=tir=les=pre=miers=rayons=de=cha=leur=tra=ver=ser=les=fe=nêtres 19
pour=tant=une=par=tie=de=moi=vou=lait=te=re=te=nir=à=mes=cô=tés 17
le=temps=des=a=dieux=est=si=pré=ci=pi=tam=ment=ar=ri=vé 15
jai=po=sé=une=der=niè=re=fois=mon=re=gard=sur=ton=man=teau=na=cré 17
une=tris=tes=se=dé=con=cer=tan=te=ma=pous=sé=à=te=tou=cher=u=neul=ti=me=fois 21
ta=beau=té=é=tait=in=tac=te=tel=leune=œu=vre=que=lon=vou=drait=gar=der=à=ja=mais=pour=soi 23
adieu=tai=je=dit=du=bout=des=lè=vres=en=fer=mant=les=y=eux 15
ne=souf=fre=pas=je=tai=pro=mis=que=pour=toi=tout=i=rait=mieux 15
que=la=na=ture=tof=fri=rait=dau=tres=op=por=tu=ni=tés=pour=dé=voi=ler=tous=tes=charmes 21
par=donne=le=so=leil=dé=sor=mais=il=ne=cher=che=ra=quà=sé=cher=mes=larmes 18
pe=tit=flo=con=de=nei=ge=tu=as=fon=du=trop=vi=te 14
sa=che=que=sans=toi=les=sai=sons=nont=au=cun=mé=ri=te 14
car=mê=me=si=tu=as=be=soin=de=moi=pour=te=con=tem=pler 15
moi=jai=be=soin=de=toi=pour=ar=ri=ver=à=rê=ver 13
tu=se=ras=dans=tous=les=cœurs=que=mes=y=eux=des=si=ne=ront 15
au=jourdhui=cest=at=tris=tée=que=je=re=gar=de=leau=ar=pen=ter=les=ruis=seaux 18
car=il=en=dé=coule=le=sou=ve=nir=de=ton=exis=ten=cea=che=vée=si=tôt 18
a=lors=sache=que=je=nou=blie=rai=ja=mais=la=for=ce=de=tes=fris=sons 17
Phonétique : Conte D’hiver
avɑ̃ ʒə nə kɔnεsε kə tɔ̃ nɔ̃œ̃ du myʁmyʁə, ʒə tə kʁwajεz- ɑ̃kɔʁə ɔʁ də pɔʁte
oʒuʁdɥi ʒə nə ʁəsɛ̃ kə tɔ̃n- ɔ̃bʁə ɡlase
ty a lεse dəʁjεʁə twa lə tɑ̃dʁə suvəniʁ dynə sεzɔ̃
pəti flɔkɔ̃ də nεʒə ʒə nə tε pa vy vəniʁ
ty ε tɔ̃be dy sjεl paʁfεtəmɑ̃ desine
ɑ̃ɡuʁdisɑ̃ tus mε mɑ̃bʁəz- e pɑ̃se
səʁε sə twa ki a dəmɑ̃de o sɔlεj də paʁtiʁ ?
ta fʁεʃœʁ ma fudʁwaje ɑ̃ plɛ̃ kœʁ
mwa ki vivε dɑ̃z- ynə ʃalœʁ ʁekɔ̃fɔʁtɑ̃tə
tɔ̃ kɔ̃takt a pεʁtyʁbe tus mε sɑ̃s dynə fasɔ̃ efʁεjɑ̃tə
mεz- o fɔ̃ puʁkwa avε ʒə si pœʁ ?
ty səmεz- œ̃ sɑ̃timɑ̃ melɑ̃kɔlikə
difisilə də kɔ̃pʁɑ̃dʁə sεt amuʁ atipikə
ty anɔ̃sε dεz- evεnəmɑ̃ ki mɔ̃ lɔ̃tɑ̃ tʁomatize
ətε sə vʁεmɑ̃ ʒystə də vulwaʁ tɑ̃ fεʁə pεje tus lε fʁε ?
pəti flɔkɔ̃ də nεʒə ty a kaptyʁe tutə lε kulœʁ
puʁtɑ̃ lə kalmə ʁεɲə dezɔʁmε syʁ tutə lε vale
ʒε ɑ̃fɛ̃ kɔ̃pʁi puʁkwa lə sɔlεj avε otɑ̃ də ʁɑ̃kœʁ
nə puvɑ̃ detʁone la kjetydə kə ty ma apɔʁte
səpɑ̃dɑ̃ ta fʁwadœʁ ɑ̃ dəvənε bʁylɑ̃tə
sɑ̃z- εdə ʒə nə puvε tə lεse pʁɑ̃dʁə lə kɔ̃tʁolə
mεmə sil paʁεsε natyʁεl kə ty ʁɑ̃plisə tɔ̃ ʁolə
lə mjɛ̃ etε də tanɔ̃se ynə fɛ̃ bjɛ̃ mwɛ̃ plεzɑ̃tə
ʒimaʒinə kə tεz- ɛ̃tɑ̃sjɔ̃z- etε plys kə ʁεspεktablə
dɑ̃z- œ̃ mɔ̃də ki vudʁε fɔ̃ksjɔne ɛ̃depɑ̃damɑ̃ dε sεzɔ̃
kɔmɑ̃ puvε ʒə ʒyʒe kə ta fɛ̃ etε iʁevɔkablə ?
lə sɔlεj avε deʒa bʁyle mεz- iøz- e tεl etε ma pynisjɔ̃
pəti flɔkɔ̃ də nεʒə ʒə nə vulε pa pεʁdʁə tε vεʁtys
ty mavε ʁədɔne ɡu a la vi ɑ̃ detuʁnɑ̃ mɔ̃ ʁəɡaʁ dy fø
tɔ̃n- ɑ̃pʁɛ̃tə etε anɔ̃sjatʁisə dœ̃n- avəniʁ si ʒeneʁø
si sələmɑ̃ ʒavε ʃwazi də mɔfʁiʁ a twa sɑ̃z- okynə ʁətənɥ…
lε fʁisɔ̃ ki sybmεʁʒε mɔ̃ kɔʁ kɔmɑ̃sε a sεstɔ̃pe
iminɑ̃tə etε la vənɥ dy sɔlεj, pəti a pəti lə ʒuʁ sɑ̃blε ʁənεtʁə
bjɛ̃to ʒalε sɑ̃tiʁ lε pʁəmje ʁεjɔ̃ də ʃalœʁ tʁavεʁse lε fənεtʁə
puʁtɑ̃ ynə paʁti də mwa vulε tə ʁətəniʁ a mε kote
lə tɑ̃ dεz- adjøz- ε si pʁesipitamɑ̃ aʁive
ʒε poze ynə dεʁnjεʁə fwa mɔ̃ ʁəɡaʁ syʁ tɔ̃ mɑ̃to nakʁe
ynə tʁistεsə dekɔ̃sεʁtɑ̃tə ma puse a tə tuʃe ynə yltimə fwa
ta bote etε ɛ̃taktə tεllə ynə œvʁə kə lɔ̃ vudʁε ɡaʁde a ʒamε puʁ swa
adjø tε ʒə di dy bu dε lεvʁəz- ɑ̃ fεʁmɑ̃ lεz- iø
nə sufʁə pa, ʒə tε pʁɔmi kə puʁ twa tut- iʁε mjø
kə la natyʁə tɔfʁiʁε dotʁəz- ɔpɔʁtynite puʁ devwale tus tε ʃaʁmə
paʁdɔnə lə sɔlεj, dezɔʁmεz- il nə ʃεʁʃəʁa ka seʃe mε laʁmə
pəti flɔkɔ̃ də nεʒə ty a fɔ̃dy tʁo vitə
saʃə kə sɑ̃ twa lε sεzɔ̃ nɔ̃ okœ̃ meʁitə
kaʁ mεmə si ty a bəzwɛ̃ də mwa puʁ tə kɔ̃tɑ̃ple
mwa ʒε bəzwɛ̃ də twa puʁ aʁive a ʁεve
ty səʁa dɑ̃ tus lε kœʁ kə mεz- iø desinəʁɔ̃
oʒuʁdɥi sεt- atʁiste kə ʒə ʁəɡaʁdə lo aʁpɑ̃te lε ʁɥiso
kaʁ il ɑ̃ dekulə lə suvəniʁ də tɔ̃n- εɡzistɑ̃sə aʃəve si to
alɔʁ saʃə kə ʒə nubljəʁε ʒamε la fɔʁsə də tε fʁisɔ̃
Syllabes Phonétique : Conte D’hiver
a=vɑ̃=ʒə=nə=kɔ=nε=sε=kə=tɔ̃=nɔ̃ 10œ̃=du=myʁ=my=ʁə=ʒə=tə=kʁwa=jε=zɑ̃=kɔ=ʁə=ɔʁ=də=pɔʁ=te 16
o=ʒuʁ=dɥi=ʒə=nə=ʁə=sɛ̃=kə=tɔ̃=nɔ̃=bʁə=ɡla=se 13
ty=a=lεse=də=ʁjε=ʁə=twa=lə=tɑ̃=dʁə=su=və=niʁ=dy=nə=sε=zɔ̃ 17
pə=ti=flɔ=kɔ̃=də=nε=ʒə=ʒə=nə=tε=pa=vy=və=niʁ 14
ty=ε=tɔ̃=be=dy=sjεl=paʁ=fε=tə=mɑ̃=de=si=ne 13
ɑ̃=ɡuʁ=di=sɑ̃=tus=mε=mɑ̃=bʁə=ze=pɑ̃=se 11
sə=ʁε=sə=twa=ki=a=də=mɑ̃=de=o=sɔ=lεj=də=paʁ=tiʁ 15
ta=fʁε=ʃœ=ʁə=ma=fu=dʁwa=j=e=ɑ̃=plɛ̃=kœʁ 12
mwa=ki=vi=vε=dɑ̃=zy=nə=ʃa=lœ=ʁə=ʁe=kɔ̃=fɔʁ=tɑ̃=tə 15
tɔ̃=kɔ̃=takt=a=pεʁ=tyʁ=be=tus=mε=sɑ̃s=dynə=fa=sɔ̃=e=fʁε=jɑ̃tə 16
mε=zo=fɔ̃=puʁ=kwa=a=vε=ʒə=si=pœ=ʁə 11
ty=sə=mε=zœ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=me=lɑ̃=kɔ=li=kə 12
di=fi=si=lə=də=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=sεt=a=muʁ=a=ti=pi=kə 15
ty=a=nɔ̃=sε=dε=ze=vεnə=mɑ̃=ki=mɔ̃=lɔ̃=tɑ̃=tʁo=ma=ti=ze 16
ə=tεsə=vʁε=mɑ̃=ʒys=tə=də=vu=lwaʁ=tɑ̃=fε=ʁə=pε=je=tus=lε=fʁε 17
pə=ti=flɔ=kɔ̃də=nε=ʒə=ty=a=kap=ty=ʁe=tu=tə=lε=ku=lœʁ 16
puʁ=tɑ̃=lə=kal=mə=ʁε=ɲə=de=zɔʁ=mε=syʁ=tu=tə=lε=va=le 16
ʒε=ɑ̃=fɛ̃=kɔ̃=pʁi=puʁ=kwalə=sɔ=lεj=a=vε=o=tɑ̃=də=ʁɑ̃=kœʁ 16
nə=pu=vɑ̃=de=tʁo=ne=la=kje=ty=də=kə=ty=ma=a=pɔʁ=te 16
sə=pɑ̃=dɑ̃=ta=fʁwa=dœ=ʁə=ɑ̃=də=və=nε=bʁy=lɑ̃=tə 14
sɑ̃=zε=də=ʒə=nə=pu=vε=tə=lε=se=pʁɑ̃=dʁə=lə=kɔ̃=tʁo=lə 16
mε=mə=sil=pa=ʁε=sε=na=ty=ʁεl=kə=ty=ʁɑ̃=pli=sə=tɔ̃=ʁolə 16
lə=mjɛ̃=e=tε=də=ta=nɔ̃=se=y=nə=fɛ̃=bjɛ̃=mwɛ̃=plε=zɑ̃=tə 16
ʒi=ma=ʒi=nə=kə=tε=zɛ̃=tɑ̃=sjɔ̃=ze=tε=plys=kə=ʁεs=pεk=tablə 16
dɑ̃=zœ̃=mɔ̃də=ki=vu=dʁε=fɔ̃k=sjɔ=ne=ɛ̃=de=pɑ̃=da=mɑ̃=dε=sε=zɔ̃ 17
kɔ=mɑ̃=pu=vε=ʒə=ʒy=ʒe=kə=ta=fɛ̃=e=tε=i=ʁe=vɔ=kablə 16
lə=sɔ=lεj=a=vε=de=ʒa=bʁy=le=mε=ziø=ze=tεl=e=tε=ma=py=ni=sjɔ̃ 19
pə=ti=flɔ=kɔ̃də=nε=ʒə=ʒə=nə=vu=lε=pa=pεʁ=dʁə=tε=vεʁ=tys 16
ty=ma=vεʁə=dɔ=ne=ɡu=a=la=vi=ɑ̃=de=tuʁ=nɑ̃=mɔ̃=ʁə=ɡaʁ=dy=fø 18
tɔ̃=nɑ̃=pʁɛ̃təe=tε=a=nɔ̃=sja=tʁi=sə=dœ̃=na=və=niʁ=si=ʒe=ne=ʁø 17
sisə=lə=mɑ̃=ʒa=vε=ʃwa=zi=də=mɔ=fʁiʁ=a=twa=sɑ̃=zo=ky=nə=ʁə=tənɥ 18
lε=fʁi=sɔ̃=ki=syb=mεʁ=ʒε=mɔ̃=kɔʁ=kɔ=mɑ̃=sε=a=sεs=tɔ̃=pe 16
i=mi=nɑ̃təe=tε=la=vənɥ=dy=sɔ=lεj=pə=ti=a=pə=ti=lə=ʒuʁ=sɑ̃=blε=ʁə=nεtʁə 20
bjɛ̃=to=ʒa=lε=sɑ̃=tiʁ=lεpʁə=mje=ʁε=jɔ̃=də=ʃa=lœʁ=tʁa=vεʁ=se=lε=fə=nεtʁə 19
puʁ=tɑ̃=ynə=paʁ=ti=də=mwa=vu=lε=təʁə=tə=niʁ=a=mε=ko=te 16
lə=tɑ̃=dε=za=dj=ø=zε=si=pʁe=si=pi=ta=mɑ̃=a=ʁi=ve 16
ʒε=po=ze=ynə=dεʁ=njε=ʁə=fwa=mɔ̃=ʁə=ɡaʁ=syʁ=tɔ̃=mɑ̃=to=na=kʁe 17
ynə=tʁis=tε=sə=de=kɔ̃=sεʁ=tɑ̃=tə=ma=pu=se=a=tə=tu=ʃe=y=nəyl=ti=mə=fwa 21
ta=bo=te=e=tε=ɛ̃=tak=tə=tεlləynə=œ=vʁə=kə=lɔ̃=vu=dʁε=ɡaʁ=de=a=ʒa=mε=puʁ=swa 22
a=djø=tε=ʒə=di=dy=bu=dε=lε=vʁə=zɑ̃=fεʁ=mɑ̃=lε=zi=ø 16
nə=su=fʁə=pa=ʒə=tε=pʁɔ=mi=kə=puʁ=twa=tu=ti=ʁε=mj=ø 16
kə=la=na=tyʁə=tɔ=fʁi=ʁε=do=tʁə=zɔ=pɔʁ=ty=ni=te=puʁ=de=vwa=le=tus=tε=ʃaʁmə 21
paʁ=dɔnə=lə=sɔ=lεj=de=zɔʁ=mε=zil=nə=ʃεʁ=ʃə=ʁa=ka=se=ʃe=mε=laʁmə 18
pə=ti=flɔ=kɔ̃=də=nε=ʒə=ty=a=fɔ̃=dy=tʁo=vi=tə 14
sa=ʃə=kə=sɑ̃=twa=lε=sε=zɔ̃=nɔ̃=o=kœ̃=me=ʁi=tə 14
kaʁ=mε=mə=si=ty=a=bə=zwɛ̃=də=mwa=puʁ=tə=kɔ̃=tɑ̃=ple 15
mwa=ʒε=bə=zwɛ̃=də=twa=puʁ=a=ʁi=ve=a=ʁε=ve 13
ty=sə=ʁa=dɑ̃=tus=lε=kœ=ʁə=kə=mε=zi=ø=de=si=nə=ʁɔ̃ 16
o=ʒuʁ=dɥi=sε=ta=tʁis=te=kə=ʒə=ʁə=ɡaʁdə=lo=aʁ=pɑ̃=te=lε=ʁɥi=so 18
kaʁ=il=ɑ̃=de=kulə=lə=su=və=niʁ=də=tɔ̃=nεɡ=zis=tɑ̃=səa=ʃə=ve=si=to 19
a=lɔʁ=saʃə=kə=ʒə=nu=bljə=ʁε=ʒa=mε=la=fɔʁ=sə=də=tε=fʁi=sɔ̃ 17
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
30/01/2008 20:49Pallmall
Franchement : jusqu’à ce que je lise ton commentaire je n’avais pas cherché le "double sens" mais à la re-lecture j’ai été profondemment troublé.
On m’a dit : dans la vie on commet des erreurs mais il faut les assumer et vivre avec...
Maintenant, avec du recul, c’est plus facile à dire qu’à faire mais je ne t’apprend rien...
je te souhaite beaucoup de courage pour continuer a vivre et à survivre a cette douleur.
Poème Départ
Du 30/01/2008 15:03
L'écrit contient 533 mots qui sont répartis dans 13 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.