Poème:Titre

L’amour est tellement curieux ! et ces règles si étranges
♥
Je te raconte une l’histoire, celle de la fille qui perdait espoir
Elle rêvait de l’amant, qui la délivrerait du tourment
Qui effacerait ces larmes et apprécierait son charme
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C’est alors qu’un matin, elle fit confiance au destin
Elle lança sa requête et commença sa quête
Des dizaines de profiles, sous ses yeux se défilent
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Mais son cœur l’a guidé pour achever son idée
Elle choisit un artiste et sombra dans ses yeux tristes
En lisant ses mots de tendresse, elle s’imaginait sa princesse
Rassemblant son courage, elle lui envoie des messages
Mais que pensera-t-il ? Que je suis une fille facile ?
Dira-t-il que je suis folle ou que des hommes je raffole ?
Va-t-il en profiter et heurter ma sensibilité ?
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Pourtant elle fit confiance, et rabattit ses défenses
Elle lui révéla qu’elle pleur, que sa réponse est un bonheur
Elle était sure que le lendemain, se croiseront leurs chemins
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De l’autre coté de l’histoire, le garçon perdait espoir
Car voilà depuis 100 jours, la malchance était autour
Sa fiancée qui le vénérait, dans l’oubli l’a enterré
Il avait mal au cœur, et ne trouvait pas l’âme sœur
Toutes ces filles toutes ces femmes, n’avaient pu toucher son âme
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Il avait à peine aperçu, ces messages qu’il a reçu
Le lendemain d’une déception, avant de changer de version
Il se dit pourquoi pas, faisons donc un dernier pas
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Il baissa sa barrière, et appela cette étrangère
Le rendez-vous était fixé, il craignait de la vexer
Infimes étaient les chances de rencontrer la providence
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Au bord d’une route cabossée, la belle vers lui avançait
Il n’en croyait pas ses yeux, il remerciait le bon Dieu
C’était celle qu’il espérait, les traits, les gestes qu’il désirait
Le reflet au fond de son cœur, avait trouvé qui refléter
Il ressentait une douce chaleur, dans la voiture ils discutaient
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Sans chercher ou leur route mène, des esprits portés dans les airs
Ils se racontèrent leurs grandes peines comme les rescapés d’une guerre
Tel un roi et une reine qui allaient conquérir la terre
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Jusque la c’est merveilleux, c’est une histoire bénie des anges
Mais l’amour est bien curieux ! et ces règles si étranges
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Les mots de l’ange devenaient énigmes, aux oreilles du pauvre diable
Et puis s’emballait le rythme, vers des mots impitoyables
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Elle l’appelait beau souvenir, quand lui offrait son l’avenir
A quelqu’un d’autre elle va s’unir, pour partir sans revenir
♥
A 33 ans et des poussières, il reconnaît la déception
C’était un homme beaucoup trop fière qui refusait les illusions
Ce qui est donné gracieusement, aux yeux des gens n’a pas de valeur
Voilà pourquoi malheureusement, l’amour se dit faiblesse majeure
♥
Mais ces amours allaient finir, par cette dernière tentation
Même s’il fallait en souffrire, il prit cette triste décision
Son cœur il va le lui offrire, sa tendresse et toute sa passion
Et même qu’avec le sourire, il attend la séparation
♥
Il réinventerait l’amour, dans ce monde matérialiste
Des mots qui toucheraient les sourds, et les immondes fatalistes
Pourtant, sans garder d’espoir, car la fin il la connais
A elle les honneurs et la gloire, et à lui la petite monnaie
Après, cela il va falloir, que de ces cendres il renaisse
Tout le poison il va bien boire, et vers ça vie retourner
♥
Ces poches pleines de pitié, de celle qu’il avais choisi
Peut être une offre d’amitié ou, un sourire déjà moisi
♥
Voilà ! l’histoire est finie, avant d’avoir commencé
D’ailleurs, « la terre a tremblé » ! mais surtout, tu n’as pas rappelé
Je ne t’en veux pas je suis puni, d’avoir autrui délaissé
♥
Toutes nos histoires elles recommencent, après un mois ou une année
Jusqu’à ce qu’un jour on renonce, parce que notre jeunesse s’est fané
♥
Alors à Dieu ma Nabila, et garde bien se « souvenir »
Moi je ne suis déjà plus la, regardes vers ton avenir