Poème:L’âme

Quel beau jour celui de te rencontrer !
Je croyais rêver ;
Rêver de la femme qui m’est destiné ;
Du soleil qui me réveillerait ;
De la lune qui me bercerait ;
De l’étoile qui m’éclairerait ;
J’ai rêvé ;
Longtemps j’ai rêvé son nom ;
Le « S » comme saveur ;
Le « A » comme amour ;
Le « M » comme magique ;
Le « I » comme infini ;
Le « R » comme realite ;
Le « A » comme amour a moi ;
Certes, tu m’es lié ;
D’un amour magique réel, savoureux et infini ;
Amour a moi !
Comment peut on ne pas croire à la réalité ;
A ce que Dieu nous a réservé ;
Tu es celle qui me ferras rêver éveillé ;
Mon ange ;
Je m’envolerais avec toi dans les cieux ;
Afin d’atteindre l’étoile ;
Qui sera supporter notre amour !
Ô Samira !
Si j’étais sur le soleil et toi sur pluton ;
La distance ne pourrait détruire les ondes délivrées par ton cœur ;
Et s’abatant sur le mien ;
Si cet amour était magnétique ;
Il retiendrait la lune en orbitre autour de la Terre ;
La planète où ton visage se mari parfaitement a la nature ;
Tel une rose au beau milieu d’un bouquet de roses ;
Qui ne tarderait à parvenir dans tes mains ;
En guise de mon amour ;
Lorsque que je vois ce bouquet et ton visage dans le même instant ;
Je crois voir des roses fanées ;
Dut au visage sublime qui est le tien ;
Tu es mon bonheur et mon amour ;
Ma perle rare ;
Si rare qu’unique !
Tu es la seule qui peut entrer dans mon cœur !