Poème:Le Souffle D’avant

L’image, le souffle, le mal, la haine,
La mélancolie l’enfer du cœur qui aime pour aimer un corps animé.
La chaleur, le désir de l’autre à quand l’injonction de ces deux âmes.
Le son du désastre envahit veines et artères.
L’appel du chao dévale les portes de l’enfer, déjà le feu le sang.
Tu t’engouffres, personne n’est là. Je suis là j’arrive au bout de ton tunnel.
Passe l’éponge sur nos conneries du passé.
Change de vie la seule façon d’être mieux c’est d’aller de l’avant.
Avance prend le chemin que tu penses être le bon.
Ou tu ira j’irais, même si nos routes se séparent.
Quelques peu, à tout jamais ou tu ira je t’accompagnerais.
Je me noie dans ton esprit,
Goutte au son de tes lèvres, je bois ton ivresse.
J’inverse la haine abondante en joie éternelle.
Avant je ne vivais que par tes yeux,
Ces mêmes yeux ils m’ont trahis.
Ton regard était ma seule source d’oxygène.
Si j’avais su aimer comme il le faut,
J’aurais été ton âme pour me retrouver une fois seulement dans ton corps.
J’invoque la paix afin qu’elle m’aide à comprendre
Ce désir de l’autre pour qui vous n’êtes depuis peu une amie.