Poème:Assassinat Pour Une Délocalisation
Le Poème
Ce soir le silence inquiet pense pour elle
Car son cœur ombrageux est sur un ailleurs
Loin des frontières oubliées du meilleur
Où le calme berce toujours sage votre naturel
Jamais économe elle ne comptait son labeur
A la chaîne contraignante de tous les efforts
Sereine rien ne la troublait même pas la mort
Ses nouveaux jours elle les vivait dans le bonheur
Trente ans de bons et loyaux services
D’une jeunesse laissée aux bonnes tâches
De ses maîtres pour un cruel sacrifice lâche
Car le jour était venu d’être hautain maléfice
A son besogneux repas ils avaient bouffé
Patrons, actionnaires sans réelle quémande
De tous les bons plats du fric sans manque
Aux profits des sueurs de son front vigoureux
Elle ne savait pas qu’un repas trop froid
La belle gente ne s’en ferait pas un théâtre
Ils s’en voudraient chaud un plus opiniâtre
Car son bonheur n’était pas le leur ma foi
Ils la laissèrent là au fond de ses grands pleurs
D’avoir cru inconsciente à leur trop volage tromperie
Travaillez, travaillez votre peine n’est gageure inouïe
Que de nous goinfrer comme maitres sans malheur
Elle s’en vint heureuse un jour de vrai froid
Dans sa placide bonté de toujours tout donner
L’age et le temps ne l’avaient jamais fait s’absenter
Mais elle cru qu’on lui avait soudain, offert désarroi
Là mille personnes attendaient aux portes closes
Que les bruits là percutent dans sa vile anxiété
Ces grilles, ces bâtiments, son poste étaient sa propriété
Où pourrait t’elle se réfugier qu’ esprit se repose
Ils sont partis loin de chez toi tes voleurs de repas
Avec eux ils ont emportés déjà payé, leur cher caviar
Même une petite sardine ils n’ont voulu laisser en avatar
Il ne reste pour toi à jamais que l’immense saoulerie du tracas
O brave femme ! En cette nuit, ne leur donne pas
Ce grand plaisir de ne plus entendre tes violents cris
Ta rage, ta rancœur extirpe la de ton cœur, n’ai soucis
Dit à tes gouvernants de venir à ton aide en cette nuit là
La délocalisation vole ton passé de travailleuse sérieuse
Ce patrimoine t’appartient plus qu’à ces vicieux voleurs
Qui voudraient dans leur action t’assassiner, ces malfaiteurs
Je t’en pris n’entretient pas leur habilité par trop dévoreuse
Tu dois être dédommagée, victime de leur grande folie
Cette tentative de meurtre sur la personne de ton moral
Ils doivent être condamnés à te rendre ton bonheur normal
Pour que tu retrouves la nuit de tous tes rêves gentils.
☼ŦC
Car son cœur ombrageux est sur un ailleurs
Loin des frontières oubliées du meilleur
Où le calme berce toujours sage votre naturel
Jamais économe elle ne comptait son labeur
A la chaîne contraignante de tous les efforts
Sereine rien ne la troublait même pas la mort
Ses nouveaux jours elle les vivait dans le bonheur
Trente ans de bons et loyaux services
D’une jeunesse laissée aux bonnes tâches
De ses maîtres pour un cruel sacrifice lâche
Car le jour était venu d’être hautain maléfice
A son besogneux repas ils avaient bouffé
Patrons, actionnaires sans réelle quémande
De tous les bons plats du fric sans manque
Aux profits des sueurs de son front vigoureux
Elle ne savait pas qu’un repas trop froid
La belle gente ne s’en ferait pas un théâtre
Ils s’en voudraient chaud un plus opiniâtre
Car son bonheur n’était pas le leur ma foi
Ils la laissèrent là au fond de ses grands pleurs
D’avoir cru inconsciente à leur trop volage tromperie
Travaillez, travaillez votre peine n’est gageure inouïe
Que de nous goinfrer comme maitres sans malheur
Elle s’en vint heureuse un jour de vrai froid
Dans sa placide bonté de toujours tout donner
L’age et le temps ne l’avaient jamais fait s’absenter
Mais elle cru qu’on lui avait soudain, offert désarroi
Là mille personnes attendaient aux portes closes
Que les bruits là percutent dans sa vile anxiété
Ces grilles, ces bâtiments, son poste étaient sa propriété
Où pourrait t’elle se réfugier qu’ esprit se repose
Ils sont partis loin de chez toi tes voleurs de repas
Avec eux ils ont emportés déjà payé, leur cher caviar
Même une petite sardine ils n’ont voulu laisser en avatar
Il ne reste pour toi à jamais que l’immense saoulerie du tracas
O brave femme ! En cette nuit, ne leur donne pas
Ce grand plaisir de ne plus entendre tes violents cris
Ta rage, ta rancœur extirpe la de ton cœur, n’ai soucis
Dit à tes gouvernants de venir à ton aide en cette nuit là
La délocalisation vole ton passé de travailleuse sérieuse
Ce patrimoine t’appartient plus qu’à ces vicieux voleurs
Qui voudraient dans leur action t’assassiner, ces malfaiteurs
Je t’en pris n’entretient pas leur habilité par trop dévoreuse
Tu dois être dédommagée, victime de leur grande folie
Cette tentative de meurtre sur la personne de ton moral
Ils doivent être condamnés à te rendre ton bonheur normal
Pour que tu retrouves la nuit de tous tes rêves gentils.
☼ŦC
Poète Modepoete
Modepoete a publié sur le site 967 écrits. Modepoete est membre du site depuis l'année 2009.Lire le profil du poète ModepoeteSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Assassinat Pour Une Délocalisation
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pour=que=tu=re=trouves=la=nuit=de=tous=tes=rê=ves=gen=tils 14
☼ŧc 1
Phonétique : Assassinat Pour Une Délocalisation
sə swaʁ lə silɑ̃sə ɛ̃kjε pɑ̃sə puʁ εlləkaʁ sɔ̃ kœʁ ɔ̃bʁaʒøz- ε syʁ œ̃n- ajœʁ
lwɛ̃ dε fʁɔ̃tjεʁəz- ublje dy mεjœʁ
u lə kalmə bεʁsə tuʒuʁ saʒə vɔtʁə natyʁεl
ʒamεz- ekɔnɔmə εllə nə kɔ̃tε sɔ̃ labœʁ
a la ʃεnə kɔ̃tʁεɲɑ̃tə də tus lεz- efɔʁ
səʁεnə ʁjɛ̃ nə la tʁublε mεmə pa la mɔʁ
sε nuvo ʒuʁz- εllə lε vivε dɑ̃ lə bɔnœʁ
tʁɑ̃tə ɑ̃ də bɔ̃z- e lwajo sεʁvisə
dynə ʒənεsə lεse o bɔnə taʃə
də sε mεtʁə- puʁ œ̃ kʁyεl sakʁifisə laʃə
kaʁ lə ʒuʁ etε vəny dεtʁə-otɛ̃ malefisə
a sɔ̃ bəzɔɲø ʁəpaz- ilz- avε bufe
patʁɔ̃, aksjɔnεʁə sɑ̃ ʁeεllə kemɑ̃də
də tus lε bɔ̃ pla dy fʁik sɑ̃ mɑ̃kə
o pʁɔfi dε sɥœʁ də sɔ̃ fʁɔ̃ viɡuʁø
εllə nə savε pa kœ̃ ʁəpa tʁo fʁwa
la bεllə ʒɑ̃tə nə sɑ̃ fəʁε pa œ̃ teatʁə
il sɑ̃ vudʁε ʃo œ̃ plysz- ɔpinjatʁə
kaʁ sɔ̃ bɔnœʁ netε pa lə lœʁ ma fwa
il la lεsεʁe la o fɔ̃ də sε ɡʁɑ̃ plœʁ
davwaʁ kʁy ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə a lœʁ tʁo vɔlaʒə tʁɔ̃pəʁi
tʁavaje, tʁavaje vɔtʁə pεnə nε ɡaʒəʁə inui
kə də nu ɡwɛ̃fʁe kɔmə mεtʁə- sɑ̃ malœʁ
εllə sɑ̃ vɛ̃ œʁøzə œ̃ ʒuʁ də vʁε fʁwa
dɑ̃ sa plasidə bɔ̃te də tuʒuʁ tu dɔne
laʒə e lə tɑ̃ nə lavε ʒamε fε sabsɑ̃te
mεz- εllə kʁy kɔ̃ lɥi avε sudɛ̃, ɔfεʁ dezaʁwa
la milə pεʁsɔnəz- atɑ̃dε o pɔʁtə- klozə
kə lε bʁɥi la pεʁkyte dɑ̃ sa vilə ɑ̃ksjete
sε ɡʁijə, sε ba=ti=mɑ̃, sɔ̃ pɔstə etε sa pʁɔpʁjete
u puʁʁε tεllə sə ʁefyʒje kεspʁi sə ʁəpozə
il sɔ̃ paʁti lwɛ̃ də ʃe twa tε vɔlœʁ də ʁəpa
avεk øz- ilz- ɔ̃ ɑ̃pɔʁte deʒa pεje, lœʁ ʃεʁ kavjaʁ
mεmə ynə pətitə saʁdinə il nɔ̃ vuly lεse ɑ̃n- avataʁ
il nə ʁεstə puʁ twa a ʒamε kə limɑ̃sə sauləʁi dy tʁaka
o bʁavə famə ! ɑ̃ sεtə nɥi, nə lœʁ dɔnə pa
sə ɡʁɑ̃ plεziʁ də nə plysz- ɑ̃tɑ̃dʁə tε vjɔlɑ̃ kʁi
ta ʁaʒə, ta ʁɑ̃kœʁ εkstiʁpə la də tɔ̃ kœʁ, nε susi
di a tε ɡuvεʁnɑ̃ də vəniʁ a tɔ̃n- εdə ɑ̃ sεtə nɥi la
la delɔkalizasjɔ̃ vɔlə tɔ̃ pase də tʁavajøzə seʁjøzə
sə patʁimwanə tapaʁtjɛ̃ plys ka sε visjø vɔlœʁ
ki vudʁε dɑ̃ lœʁ aksjɔ̃ tasasine, sε malfεtœʁ
ʒə tɑ̃ pʁi nɑ̃tʁətjɛ̃ pa lœʁ-abilite paʁ tʁo devɔʁøzə
ty dwaz- εtʁə dedɔmaʒe, viktimə də lœʁ ɡʁɑ̃də fɔli
sεtə tɑ̃tativə də məʁtʁə syʁ la pεʁsɔnə də tɔ̃ mɔʁal
il dwave εtʁə kɔ̃damnez- a tə ʁɑ̃dʁə tɔ̃ bɔnœʁ nɔʁmal
puʁ kə ty ʁətʁuvə la nɥi də tus tε ʁεvə ʒɑ̃til.
k
Syllabes Phonétique : Assassinat Pour Une Délocalisation
sə=swaʁ=lə=si=lɑ̃=sə=ɛ̃=kj=ε=pɑ̃=sə=puʁ=εl=lə 14kaʁ=sɔ̃=kœ=ʁə=ɔ̃=bʁa=ʒø=zε=syʁ=œ̃=na=jœʁ 12
lwɛ̃=dε=fʁɔ̃=tj=ε=ʁə=zu=blj=e=dy=mε=jœ=ʁə 13
ulə=kal=mə=bεʁ=sə=tu=ʒuʁ=sa=ʒə=vɔ=tʁə=na=ty=ʁεl 14
ʒa=mε=ze=kɔ=nɔ=mə=εl=lə=nə=kɔ̃=tε=sɔ̃=la=bœʁ 14
a=la=ʃε=nə=kɔ̃=tʁε=ɲɑ̃=tə=də=tus=lε=ze=fɔʁ 13
sə=ʁε=nə=ʁj=ɛ̃=nə=la=tʁu=blε=mε=mə=pa=la=mɔʁ 14
sε=nu=vo=ʒuʁ=zεl=lə=lε=vi=vε=dɑ̃=lə=bɔ=nœ=ʁə 14
tʁɑ̃=tə=ɑ̃=də=bɔ̃=ze=lwa=jo=sεʁ=vis=ə 11
dy=nə=ʒə=nε=sə=lε=se=o=bɔ=nə=ta=ʃə 12
də=sε=mε=tʁə=puʁ=œ̃=kʁy=εl=sa=kʁi=fi=sə=la=ʃə 14
kaʁ=lə=ʒuʁ=e=tε=və=ny=dε=tʁə-o=tɛ̃=ma=le=fisə 14
a=sɔ̃=bə=zɔ=ɲø=ʁə=pa=zil=za=vε=bu=fe 12
pa=tʁɔ̃=ak=sj=ɔ=nε=ʁə=sɑ̃=ʁe=εl=lə=ke=mɑ̃=də 14
də=tus=lε=bɔ̃=pla=dy=fʁik=sɑ̃=mɑ̃=kə 10
o=pʁɔ=fi=dε=sɥœ=ʁə=də=sɔ̃=fʁɔ̃=vi=ɡu=ʁø 12
εl=lə=nə=sa=vε=pa=kœ̃=ʁə=pa=tʁo=fʁwa 11
la=bεl=lə=ʒɑ̃=tə=nə=sɑ̃=fə=ʁε=pa=œ̃=te=a=tʁə 14
il=sɑ̃=vu=dʁε=ʃo=œ̃=plys=zɔ=pi=nj=a=tʁə 12
kaʁ=sɔ̃=bɔ=nœ=ʁə=ne=tε=pa=lə=lœʁ=ma=fwa 12
il=la=lε=sε=ʁe=la=o=fɔ̃=də=sε=ɡʁɑ̃=plœ=ʁə 13
da=vwaʁ=kʁy=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃təa=lœʁ=tʁo=vɔ=la=ʒə=tʁɔ̃=pə=ʁi 14
tʁa=va=je=tʁa=va=je=vɔtʁə=pε=nə=nε=ɡa=ʒə=ʁə=i=nui 15
kə=də=nu=ɡwɛ̃=fʁe=kɔ=mə=mε=tʁə=sɑ̃=ma=lœ=ʁə 13
εl=lə=sɑ̃=vɛ̃=œ=ʁø=zə=œ̃=ʒuʁ=də=vʁε=fʁwa 12
dɑ̃=sa=pla=si=də=bɔ̃=te=də=tu=ʒuʁ=tu=dɔ=ne 13
la=ʒə=e=lə=tɑ̃=nə=la=vε=ʒa=mε=fε=sab=sɑ̃=te 14
mε=zεllə=kʁy=kɔ̃=lɥi=a=vε=su=dɛ̃=ɔ=fεʁ=de=za=ʁwa 14
la=mi=lə=pεʁ=sɔ=nə=za=tɑ̃=dε=o=pɔʁ=tə=klo=zə 14
kə=lε=bʁɥi=la=pεʁ=ky=te=dɑ̃=sa=vi=lə=ɑ̃k=sje=te 14
sε=ɡʁi=jə=sε=ba=ti=mɑ̃=sɔ̃=pɔs=təe=tε=sa=pʁɔ=pʁje=te 15
u=puʁ=ʁε=tεl=lə=sə=ʁe=fy=ʒje=kεs=pʁi=sə=ʁə=pozə 14
il=sɔ̃=paʁ=ti=lwɛ̃=də=ʃe=twa=tε=vɔ=lœʁ=də=ʁə=pa 14
a=vεk=ø=zil=zɔ̃=ɑ̃=pɔʁ=te=de=ʒa=pε=je=lœʁ=ʃεʁ=ka=vjaʁ 16
mεməy=nə=pə=ti=tə=saʁ=di=nə=il=nɔ̃=vu=ly=lε=se=ɑ̃=na=va=taʁ 18
il=nə=ʁεstə=puʁ=twa=a=ʒa=mε=kə=li=mɑ̃=sə=sau=lə=ʁi=dy=tʁa=ka 18
o=bʁa=və=fa=mə=ɑ̃=sε=tə=nɥi=nə=lœʁ=dɔ=nə=pa 14
sə=ɡʁɑ̃=plε=ziʁ=də=nə=plys=zɑ̃=tɑ̃=dʁə=tε=vjɔ=lɑ̃=kʁi 14
ta=ʁaʒə=ta=ʁɑ̃=kœʁ=εk=stiʁ=pə=la=də=tɔ̃=kœʁ=nε=su=si 15
di=a=tε=ɡu=vεʁ=nɑ̃də=və=niʁ=a=tɔ̃=nε=dəɑ̃=sε=tə=nɥi=la 16
la=de=lɔ=ka=li=za=sjɔ̃=vɔlə=tɔ̃=pa=se=də=tʁa=va=jø=zə=se=ʁjøzə 18
sə=pa=tʁi=mwanə=ta=paʁ=tjɛ̃=plys=ka=sε=vi=sjø=vɔ=lœʁ 14
ki=vu=dʁε=dɑ̃=lœʁ=ak=sjɔ̃=ta=sa=si=ne=sε=mal=fε=tœʁ 15
ʒə=tɑ̃=pʁi=nɑ̃tʁə=tjɛ̃=pa=lœʁ-a=bi=li=te=paʁ=tʁo=de=vɔ=ʁøzə 16
ty=dwa=zεtʁə=de=dɔ=ma=ʒe=vik=ti=mə=də=lœʁ=ɡʁɑ̃=də=fɔ=li 16
sεtə=tɑ̃=ta=ti=və=də=məʁ=tʁə=syʁ=la=pεʁ=sɔ=nə=də=tɔ̃=mɔ=ʁal 17
il=dwa=ve=εtʁə=kɔ̃=dan=za=tə=ʁɑ̃=dʁə=tɔ̃=bɔ=nœʁ=nɔʁ=mal 15
puʁkə=ty=ʁə=tʁu=və=la=nɥi=də=tus=tε=ʁε=və=ʒɑ̃=til 14
k 1
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
27/08/2015 00:38Modepoete
merci chèr ami
de ta lecture
et de ton pertinent commentaire
amitié poétique
modepoete
Poème - Sans Thème -
Du 25/08/2015 14:55
L'écrit contient 440 mots qui sont répartis dans 12 strophes.