Poème:Partir Ou Rester…

Ouvrant mes yeux,
Je vois le soleil se lever en moins de deux,
Je ne contrôle plus mes gestes,
Que de chose que je déteste,
Tout le monde rigolent,
Et moi je n’ai pas d’idole,
Que de journées folle,
Je me crois pour quelqu’un de drôle,
Ma vie devient un gros trou noir,
Mais ce n’est pas pour autant que je perd espoir,
Lever vos yeux vers le ciel,
Je n’ai jamais vue une chose aussi belle,
Passant du gris au bleu,
Sans qu’on ait le temps de cligner des yeux,
Une fraction de seconde,
Et on imagine ainsi notre monde,
Je suis seul sans personne,
Le téléphone sonne sans que je déconne,
Je n’ai toujours pas trouvé la bonne personne,
On fait attention sur nos mouvement,
Jusqu’à calculer nos déplacement,
Tout le monde dit qu’on peut changer notre vie,
Je vais poursuivre mon chemin,
Je tend ma main,
Et c’est là que je vois les gouttes de pluie,
Coulant sur mon front,
Rejoignant ainsi mon menton,
Mon cœur s’est vidé de couleur,
Devenant ainsi transparent,
On essaie toujours de gagner du temps,
Mais à force on va le perdre par malheur,
Parfois je reste la par peur,
Mais je sais qu’un jour je viendrais à mourir,
Les journées passent et c’est de pire en pire,
Mais je ne cesserais de sourire,
Même si mon corps venait à souffrir,
Constamment entrain de se plaindre sur son sort,
Je jette un coup d’oeil dehors,
Voyant la mort s’éloigner,
J’ai envie de profiter,
De chaque seconde qui me reste à vivre,
Et laisser la souffrance s’évader jusqu’à me mentir,
Je vais me soulager,
Mais je n’ai pas envi de m’arrêter,
C’est pourquoi je vais poursuivre mon message,
Et ne pas laisser une simple image,
Les nuages se dégagent,
Il est temps que je m’engage,
Mais j’ai tellement souffert,
Qu’il est si facile de rester à terre,
J’accumule mon courage,
Et je me donne moi même une chance,
Parfois j’ai tellement la rage,
Que je me dis que j’ai du être bercé par la malchance,
Tellement de chose non dite,
Mais j’aurais du les dires plus vite,
Je n’ai rien fait de ma vie,
Personne pour me soutenir,
Que parfois je me demande s’il n’est pas préférable de partir,
Et laisser sa souffrance,
Et la donner à d’autre personne qui nous ont connu depuis l’enfance,
Je ne vais pas me laisser abattre,
Je vais continuer à me battre,
Même si j’en ai déjà perdu la moitié de mon âme,
Mais je ne déposerais pas les armes,
On dit parfois des choses si blessante,
Même si on plaisante,
On peut toucher,
Voir blesser,
C’est ce qui s’est produit avec moi,
Répétition depuis des mois,
On m’as touché et je m’en suis toujours pas remis,
Jusqu’à remettre en cause ma vie,
Encore et encore je souffre,
Je n’ai plus qu’un souffle,
Je prend ma respiration et je prend une seconde pour réfléchir,
Rester ou partir…