Poème:Titre

Je te connaissais depuis la maternelle,
Il s’était formé une alliance fraternelle,
Qui nous a mené jusqu’à aujourd’hui mardi,
On était ami et cela devait etre pour la vie,

Mais le sort ou le destin en ont decidé ainsi,
Sans rien dire tu m’as laissé dans la merde et l’ennui,
Maintenant je pleure et je n’ai aucune envie,
D’affronter apres ce malheur, la realité de la vie,

Je me sens seul malgré la presence de thomas,
C’est un bon confident mais helas tu n’es plus là,
Il y a des choses que l’on accepte plus ou moins,
Mais à 17 ans on ne peut etre l’ami des Saints,

Certains pensent que je devrais aller voir un medecin specialisé,
Mais ces medecins font-ils des miracles instantannés ?
Rien ne sert donc d’esperer encore,
De te revoir toi et ta cheveulure d’or,

Ne t’inquiete pas, je ne t’oublierai jamais,
Meme si mon ame ne retrouvera jamais la paix,
Mais sur un point je t’en veux enormement,
C’est d’avoir fini ta vie à dix-sept ans.