Poème:Confession 2

Mon père, je suis revenue
Et je me sens perdue
Je signe mon bras par de simples brûlures
Et mon amour pleure et en hurle
Il crie, mon père, il crie sa peine
Et mes mots l’assassine
D’un coup de paroles il perd sa raison
Et sans va et creuse un trou sans fond
Le trou de sa tombe, mon père
Oui il veut commencer une nouvelle ère
Dans une cage sous le terre, son tombeau
Sera graver sur la pierre froide et on pourra lire :
« Mes lambeaux
Osent écrire
Que mon pauvre cœur
A perdu de la chaleur
Mais dans ce monde
Mes paroles profondes
Enfouie dans le cœur de ma mie
Qui resteras épanouie !
Je t’aime ma rose d’été
Qui n’a jamais cessé de m’enivrer. »
Père après cela, je ne l’ai plus aimer, ni aperçu
Et au bout d’une semaine, devinez ce que j’ai vu
Après le petit bois, près d’une eau
Sombre comme les ténèbres, régnait un tombeau
Où était gravés sur la pierre tombal, ses mots
Alors j’ai pleurer, j’ai enlever tous mes maux
J’ai hurler, j’ai crier, j’ai percer ma poitrine
Le sang coulait à flots et mes voix sanguines
Immergeait ma bouche, et mes yeux
Revoyaient des moments joyeux
Avec celui que j’ai toujours aimer
Mais que j’ai abandonnée
Je suis ignoble mais ö mon père
Cela est ma dernière prière
Je ne suis plus de ce monde, je suis morte
Et mon amour m’attends pour qu’il m’emporte
Dans son nouvel univers
Ou tout seras beau, ô mon père
Je vous quitte je vais au paradis
Avec celui que j’aime et que j’envie
Oui je m’envole avec mon amant
On sera ensemble pendant la nuit des temps…