Poème:Amour Destructeur.
Le Poème
Sourires malicieux, regards enjoués,
Des yeux bleus centrés d’une pupille légèrement argentée,
Elle courrait dans les hautes herbes, légère
Comme une plume virevoltant dans les airs.
Il lui courrait après, commençait à se fatiguer,
Mais chacun de ses éclats de rire lui donner la force de continuer,
Ah ! Ce qu’il l’aimait sa splendide Lucie,
Il l’aurait suivi au bout du monde si cela avait été sa folie !
Ils se couchèrent dans l’herbe, tout essouflés,
Il déposa sur ses joues douces un tendre baiser,
« Oh ma Lucie ! Je t’aime, marrions nous ! »
« Ne dit pas de sottise mon Amour, es tu devenu fou ? »
Lucie était une fille de quartier aisé,
Fort polie, fort jolie, mais fort dur à caser,
Lui ne venait que d’une simple cité défavorisée,
Fort endurci, for dur à respecter, à estimer.
Les parents de lucie ne voulaient pas l’accepter,
Quand à ses parents à lui ne faisait rien pour l’intégrer,
Ils surent que rien ne les unirait jamais officiellement,
Ils se regardèrent et se comprirent tout simplement.
Puisque fous amoureux et brûlant de passion,
Ils décidèrent de faire le grand plongeon,
Si cette vie ne voulait pas de leur union sacré,
Peut-être est la mort qui les unirait !
Ils se rendirent en haut d’une immense falaise,
Voulant mettre fin à ce terrible malaise,
Et lorsque vint le moment de plonger,
Elle voulut lui parler, mais trop tard, dans sa chute il l’avait déjà entrainé. .
Une chute longue et sans détour,
Pour deux êtres qui ne voulaient que vivre leur amour,
Ils s’écrasèrent sur les rochers, visages livides,
Et dans un dernier souffle elle murmura « morts avant d’avoir vu notre enfant grandir. »
Des yeux bleus centrés d’une pupille légèrement argentée,
Elle courrait dans les hautes herbes, légère
Comme une plume virevoltant dans les airs.
Il lui courrait après, commençait à se fatiguer,
Mais chacun de ses éclats de rire lui donner la force de continuer,
Ah ! Ce qu’il l’aimait sa splendide Lucie,
Il l’aurait suivi au bout du monde si cela avait été sa folie !
Ils se couchèrent dans l’herbe, tout essouflés,
Il déposa sur ses joues douces un tendre baiser,
« Oh ma Lucie ! Je t’aime, marrions nous ! »
« Ne dit pas de sottise mon Amour, es tu devenu fou ? »
Lucie était une fille de quartier aisé,
Fort polie, fort jolie, mais fort dur à caser,
Lui ne venait que d’une simple cité défavorisée,
Fort endurci, for dur à respecter, à estimer.
Les parents de lucie ne voulaient pas l’accepter,
Quand à ses parents à lui ne faisait rien pour l’intégrer,
Ils surent que rien ne les unirait jamais officiellement,
Ils se regardèrent et se comprirent tout simplement.
Puisque fous amoureux et brûlant de passion,
Ils décidèrent de faire le grand plongeon,
Si cette vie ne voulait pas de leur union sacré,
Peut-être est la mort qui les unirait !
Ils se rendirent en haut d’une immense falaise,
Voulant mettre fin à ce terrible malaise,
Et lorsque vint le moment de plonger,
Elle voulut lui parler, mais trop tard, dans sa chute il l’avait déjà entrainé. .
Une chute longue et sans détour,
Pour deux êtres qui ne voulaient que vivre leur amour,
Ils s’écrasèrent sur les rochers, visages livides,
Et dans un dernier souffle elle murmura « morts avant d’avoir vu notre enfant grandir. »
Poète Tyran
Tyran a publié sur le site 8 écrits. Tyran est membre du site depuis l'année 2010.Lire le profil du poète TyranSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Amour Destructeur.
sou=ri=res=ma=li=cieux=re=gards=en=jou=és 11des=yeux=bleus=cen=trés=dune=pu=pille=lé=gè=re=ment=ar=gen=tée 15
el=le=cour=rait=dans=les=hau=tes=her=bes=lé=gère 12
comme=u=ne=plu=me=vi=re=vol=tant=dans=les=airs 12
il=lui=cour=rait=a=près=commen=çait=à=se=fa=ti=guer 13
mais=cha=cun=de=ses=é=clats=de=rire=lui=don=ner=la=for=ce=de=con=ti=nuer 19
ah=ce=quil=lai=mait=sa=splen=di=de=lu=cie 11
il=lau=rait=sui=vi=au=bout=du=monde=si=ce=la=a=vait=é=té=sa=fo=lie 19
ils=se=cou=chèrent=dans=l=her=be=tout=es=sou=flés 12
il=dé=po=sa=sur=ses=joues=douces=un=ten=dre=bai=ser 13
oh=ma=lu=cie=je=tai=me=mar=ri=ons=nous 12
ne=dit=pas=de=sot=tise=mon=a=mour=es=tu=de=ve=nu=fou 16
lu=cie=é=tait=u=ne=fille=de=quar=tier=ai=sé 12
fort=po=lie=fort=jo=lie=mais=fort=dur=à=ca=ser 12
lui=ne=ve=nait=que=dune=sim=ple=ci=té=dé=fa=vo=ri=sée 15
fort=en=dur=ci=for=dur=à=res=pec=ter=à=es=ti=mer 14
les=parents=de=lu=cie=ne=vou=laient=pas=lac=cep=ter 12
quand=à=ses=parents=à=lui=ne=fai=sait=rien=pour=lin=té=grer 14
ils=surent=que=rien=ne=les=u=ni=rait=ja=mais=of=fi=ciel=le=ment 16
ils=se=re=gar=dèrent=et=se=com=pri=rent=tout=sim=ple=ment 14
puis=que=fous=a=mou=reux=et=brû=lant=de=pas=sion 12
ils=dé=ci=dè=rent=de=fai=re=le=grand=plon=geon 12
si=cette=vie=ne=vou=lait=pas=de=leur=u=nion=sa=cré 13
peut=tê=tre=est=la=mort=qui=les=u=ni=rait 11
ils=se=ren=dirent=en=haut=du=neim=men=se=fa=laise 12
vou=lant=met=tre=fin=à=ce=ter=ri=ble=ma=laise 12
et=lors=que=vint=le=mo=ment=de=plon=ger 10
elle=vou=lut=lui=par=ler=mais=trop=tard=dans=sa=chute=il=la=vait=dé=jà=en=trai=né 20
u=ne=chu=te=lon=gue=et=sans=dé=tour 10
pour=deux=êtres=qui=ne=vou=laient=que=vi=vre=leur=a=mour 13
ils=sé=cra=sèrent=sur=les=ro=chers=vi=sa=ges=li=vides 13
et=dans=un=der=nier=souf=fleelle=mur=mu=ra=morts=a=vant=da=voir=vu=notre=en=fant=gran=dir 21
Phonétique : Amour Destructeur.
suʁiʁə malisjø, ʁəɡaʁdz- ɑ̃ʒue,dεz- iø bløs sɑ̃tʁe dynə pypijə leʒεʁəmɑ̃ aʁʒɑ̃te,
εllə kuʁʁε dɑ̃ lεz- otəz- εʁbə, leʒεʁə
kɔmə ynə plymə viʁəvɔltɑ̃ dɑ̃ lεz- εʁ.
il lɥi kuʁʁε apʁε, kɔmɑ̃sε a sə fatiɡe,
mε ʃakœ̃ də sεz- ekla də ʁiʁə lɥi dɔne la fɔʁsə də kɔ̃tinɥe,
a ! sə kil lεmε sa splɑ̃didə lysi,
il loʁε sɥivi o bu dy mɔ̃də si səla avε ete sa fɔli !
il sə kuʃεʁe dɑ̃ lεʁbə, tut- esufle,
il depoza syʁ sε ʒu dusəz- œ̃ tɑ̃dʁə bεze,
« ɔ ma lysi ! ʒə tεmə, maʁjɔ̃ nu ! »
« nə di pa də sɔtizə mɔ̃n- amuʁ, ε ty dəvəny fu ? »
lysi etε ynə fijə də kaʁtje εze,
fɔʁ pɔli, fɔʁ ʒɔli, mε fɔʁ dyʁ a kaze,
lɥi nə vənε kə dynə sɛ̃plə site defavɔʁize,
fɔʁ ɑ̃dyʁsi, fɔʁ dyʁ a ʁεspεkte, a εstime.
lε paʁɑ̃ də lysi nə vulε pa laksεpte,
kɑ̃t- a sε paʁɑ̃z- a lɥi nə fəzε ʁjɛ̃ puʁ lɛ̃teɡʁe,
il syʁe kə ʁjɛ̃ nə lεz- yniʁε ʒamεz- ɔfisjεllmɑ̃,
il sə ʁəɡaʁdεʁe e sə kɔ̃pʁiʁe tu sɛ̃pləmɑ̃.
pɥiskə fusz- amuʁøz- e bʁylɑ̃ də pasjɔ̃,
il desidεʁe də fεʁə lə ɡʁɑ̃ plɔ̃ʒɔ̃,
si sεtə vi nə vulε pa də lœʁ ynjɔ̃ sakʁe,
pø tεtʁə ε la mɔʁ ki lεz- yniʁε !
il sə ʁɑ̃diʁe ɑ̃-o dynə imɑ̃sə falεzə,
vulɑ̃ mεtʁə fɛ̃ a sə teʁiblə malεzə,
e lɔʁskə vɛ̃ lə mɔmɑ̃ də plɔ̃ʒe,
εllə vuly lɥi paʁle, mε tʁo taʁ, dɑ̃ sa ʃytə il lavε deʒa ɑ̃tʁεne.
ynə ʃytə lɔ̃ɡ e sɑ̃ detuʁ,
puʁ døz- εtʁə- ki nə vulε kə vivʁə lœʁ amuʁ,
il sekʁazεʁe syʁ lε ʁoʃe, vizaʒə lividə,
e dɑ̃z- œ̃ dεʁnje suflə εllə myʁmyʁa « mɔʁz- avɑ̃ davwaʁ vy nɔtʁə ɑ̃fɑ̃ ɡʁɑ̃diʁ. »
Syllabes Phonétique : Amour Destructeur.
su=ʁi=ʁə=ma=li=sj=ø=ʁə=ɡaʁ=dzɑ̃=ʒu=e 12dε=ziø=bløs=sɑ̃=tʁe=dynə=py=pi=jə=le=ʒε=ʁə=mɑ̃=aʁ=ʒɑ̃=te 16
εl=lə=kuʁ=ʁε=dɑ̃=lε=zo=tə=zεʁ=bə=le=ʒεʁə 12
kɔmə=y=nə=ply=mə=vi=ʁə=vɔl=tɑ̃=dɑ̃=lε=zεʁ 12
il=lɥi=kuʁ=ʁε=a=pʁε=kɔ=mɑ̃=sε=asə=fa=ti=ɡe 13
mε=ʃa=kœ̃=də=sε=ze=kladə=ʁi=ʁə=lɥi=dɔ=ne=la=fɔʁ=sə=də=kɔ̃=tin=ɥe 19
a=sə=kil=lε=mε=sa=splɑ̃=di=də=ly=si 11
il=lo=ʁε=sɥi=vi=o=bu=dy=mɔ̃də=si=sə=la=a=vε=e=te=sa=fɔ=li 19
il=sə=ku=ʃε=ʁe=dɑ̃=lεʁ=bə=tu=te=su=fle 12
il=de=po=za=syʁ=sε=ʒu=dusə=zœ̃=tɑ̃=dʁə=bε=ze 13
ɔ=ma=ly=si=ʒə=tε=mə=ma=ʁj=ɔ̃=nu 12
nə=di=padə=sɔ=ti=zə=mɔ̃=na=muʁ=ε=ty=də=və=ny=fu 16
ly=si=e=tε=ynə=fi=jə=də=kaʁ=tje=ε=ze 12
fɔʁ=pɔ=li=fɔʁ=ʒɔ=li=mε=fɔʁ=dyʁ=a=ka=ze 12
lɥinə=və=nε=kə=dy=nə=sɛ̃=plə=si=te=de=fa=vɔ=ʁi=ze 15
fɔʁ=ɑ̃=dyʁ=si=fɔʁ=dyʁ=a=ʁεs=pεk=te=a=εs=ti=me 14
lε=pa=ʁɑ̃=də=ly=sinə=vu=lε=pa=lak=sεp=te 12
kɑ̃=ta=sε=pa=ʁɑ̃=za=lɥinə=fə=zε=ʁjɛ̃=puʁ=lɛ̃=te=ɡʁe 14
il=sy=ʁe=kə=ʁjɛ̃nə=lε=zy=ni=ʁε=ʒa=mε=zɔ=fi=sjεl=lmɑ̃ 15
il=sə=ʁə=ɡaʁ=dε=ʁe=e=sə=kɔ̃=pʁi=ʁe=tu=sɛ̃plə=mɑ̃ 14
pɥis=kə=fus=za=mu=ʁø=ze=bʁy=lɑ̃=də=pa=sjɔ̃ 12
il=de=si=dε=ʁe=də=fε=ʁə=lə=ɡʁɑ̃=plɔ̃=ʒɔ̃ 12
si=sεtə=vi=nə=vu=lε=pa=də=lœʁ=y=njɔ̃=sa=kʁe 13
pø=tε=tʁə=ε=la=mɔʁ=ki=lε=zy=ni=ʁε 11
il=sə=ʁɑ̃=di=ʁe=ɑ̃-odynə=i=mɑ̃=sə=fa=lεzə 12
vu=lɑ̃=mε=tʁə=fɛ̃=a=sə=te=ʁi=blə=ma=lεzə 12
e=lɔʁ=skə=vɛ̃=lə=mɔ=mɑ̃=də=plɔ̃=ʒe 10
εllə=vu=ly=lɥi=paʁ=le=mε=tʁo=taʁ=dɑ̃=sa=ʃytə=il=la=vε=de=ʒa=ɑ̃=tʁε=ne 20
y=nə=ʃy=tə=lɔ̃ɡ=e=sɑ̃=de=tuʁ 9
puʁ=dø=zεtʁə=ki=nə=vu=lε=kə=vi=vʁə=lœʁ=a=muʁ 13
il=se=kʁa=zε=ʁe=syʁ=lε=ʁo=ʃe=vi=zaʒə=lividə 12
e=dɑ̃=zœ̃=dεʁ=nje=sufləεllə=myʁ=my=ʁa=mɔʁ=za=vɑ̃=da=vwaʁ=vy=nɔ=tʁə=ɑ̃=fɑ̃=ɡʁɑ̃=diʁ 21
Récompense
Poesie sans commentaire

01/05/2025Poeme-France
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Poème - Sans Thème -
Du 11/02/2010 06:09
L'écrit contient 287 mots qui sont répartis dans 8 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.