Poème:La Planète Noire

Je me promène seul en fin d’après midi
Sous ce ciel bleu azur, tiens une étoile brille
C’est Venus la première avant la nuit,
C’est celle du Berger, de ton amour qui brille.

Si on on pouvait le faire, je t’y retrouverais
Et je t’emmènerais dans mon vaisseau spatial
Tu me connais par cœur, et je te ferais marrer
Avec mes aventures spatiales je t’y projetterais

Oh oh oh oui et pourquoi pas ?
Tu sais qu’avec mes idées de fou,
Je pourrais t’emmener partout
Tu sais bien que je viens
De la planète des fous !

C’est sûr de toutes façons tous deux,
Qu’on ne peut que vivre ensemble,
De la planètes des fous
On n’en vient que deux par deux

Je sais bien que mon gamin a peur
S’il voit son cher papa qui pleure
Il se dégage alors de lui sur son visage
Une expression inconnue c’est la peur
On ne la connaît pas chez nous.

Mais même si l’on vient d’ailleurs
On a quand même les pieds sur terre
Nous avons en nous notre lueur
Même si on l’a amenée de l’extérieur.

C’est sûr de toutes façons tous deux,
Qu’on ne peut que vivre ensemble,
De la planètes des fous
On n’en vient que par deux.

Nous avons en nous cette chaleur
Qui vient de notre planète sœur
Elle ressemble un peu à votre terre
Car nous ne sommes que des gens de l’hiver

Notre planète depuis la terre
Vous ne pourrez jamais jamais la voir
Puisque chez nous c’est toujours l’hiver
Elle ne brille que seulement dans le noir.