Poème:Gnagnagna Et Autres Niaiseries…

Mes pensée s’entremêlent, non, en fait je ne pense plus a rien, aux questions fatidiques et aux réponses mièvres je me dis qu’il faut prendre du recul, m’aime t’il et gnagnagna. . toutes des questions auxquelles on connaît les réponses sans vouloir se l’avouer… il faut vivre et savoir, et pas mourir et croire. la pire des insomnie est déclarée par le doute. doute glacé qui vous prend sans pitié… j’admet, secrètement on se dit qu’il y a un espoir, a peine dévoilable tant il est infime et sans lendemains, un espoir d’un soir, qui nous fera rêver des nuit avant d’avoir a prononcer les mot qui nous seront fatals. ces mots qu’on a si souvent répété devant un miroir, a en perdre les larmes tellement on se rendait compte que tout était illusoire… illusion et tromperie de l’inconscient, inconscient que l’on maudit tant on a hurlé l’amour flagrant…
Mais, pourquoi ne comprend il pas et gnagnagna. . c’est tellement facile de compter sur le bon sens ! ! ! a oui, c’est vrai, admettez le, on remet la faute sur ce pauvre sort, oh. je suis quelqu’un de très malheureux… mais NON méfiez vous de cette paresse qui dort. . et qui finalement nous cloue entre les deux yeux. ET PAF, botte de Nevers !
Balivernes, ce temps est révolu, enfin soyez fort, assumez la vie, assumez vos torts…
Pauvre bon dieu, niveau deux, bureau des réclamation, section amour et déceptions. les croyants doivent êtres moins nombreux, si pour eux, dieu est un remède, une façon de palier a leurs soucis de toujours, a leurs problèmes de cœur et a toutes leurs humeurs…
Malgré tout, il faut avoir ses rêves, cette lettre ne serviras donc a rien, a mettre un coup de pied dans la fourmilière peut être. . aussi a déranger les adeptes des quêtes mystiques, des jeux de piste du sentiment qui joue et se cachent les prunelles, tout en sachant que rien n’est et ne sera comme « il se doit ».