Texte:Lâcher Le Pignon Du Résultat.

L’équilibre créatif passe prem’s
Mallette pédagogique, accessible à tout public, et promenade.
Mallette pédagogique qui « sauvera » mon nez, merveille. En balustrade.
Et le vôtre, du masque de soie.
Une distraction familiale, investissant les villes.
Volonté beaucoup investie, pour les branches de l’arbre, en pratique.
Quoi faire d’un « rien » ? D’un tas de restes périssables,
dans l’assiette compostable ?
Afficher des bâches ? Que l’arbre s’attache enfin à ce qui ressort de lui.
Images de personnages, en épluchures où parents et enfants, plus ou moins égayés
peuvent tenter de deviner quels ont été les légumes utilisés : Y’a peut-être une huître ?
Ouvrir le dialogue vers des perceptions créatives.
Marqué d’un même souvenir.
Les épluchures sont alors utiles à la créativité DIY ?
Vous les jetez sans changer de regard sur elles, le bec déjà reparti.
En voilà, des compositions de quelques « riens » ! Rouvrons l’appétit !

Non, plus jetées n’importe comment, redonnées à la terre,
d’où elles viennent. Les épluchures laissent penser après le buffet.
Le manque de créativité, devenu sujet d’excuses…
La diversité est au cœur de l’être humain, qui s’use ?
L’orientation ne saurait se figer dans un seul sens.
Il est temps de le rappeler. Tu es issu/e de naissances !
Pour faire travailler le cortex et non le spectre
de cortisol-adrénaline, pour suppléer au manque de mélatonine
avec le numérique en hausse, projette un peu ton bec.
Maintes personnes reviennent à la nature et aux bons choix :
Celui du goût qui brise toute déprime. Ou tu fumes l’hortensia, qui s’abîme ?
Les foyers ne peuvent pas culpabiliser l’enfant
d’être nourri par eux, faute de trouver des ressources autonomes, bambin-faon.
Dans les arbres pour se suffire ? C’est là que ça inspire !

La génération d’après-guerre a alimenté le fait de rendre esclaves
les enfants sous peine qu’ils étaient sous responsabilité de leurs bourses.
Le grand décide de tout, parce que l’éducation réside en lui… Petit ours.
Ainsi, l’enfant ne souhaite pas coûter cher,
au point de perdre l’envie de partager les repas avec ses pairs.
Le manque d’eau vient également de ce qui a été dit autour du repas.
Ceci crée des blocages qui durent, même si le souhait est de s’en défaire.
Ainsi, pour refaire vibrer la nourriture et son attrait, solidaires ?
Des acteurs se sont impliqués comme ils ont pu.
Ces derniers temps, les goûts et les couleurs s’impliquent dans le moral.
Relativement à ce que chacun a voulu intégrer en lueurs.
Tu sais bien ce qui fait en toi carte postale !
Vous me réservez deux minutes de justification ? Est-ce ça, le bonheur ?
Un personnage amusant pris en photo a rempli
la surprise agréable de la journée.
Trop d’écarts dans l’implication et dans les caractères, peu importe, si c’est gai.
Contraint de se plier aux fermetures des zones évènementielles,
l’influence d’une stagnation arrive à s’infiltrer.
Aux monotones, la récré !
Sème un brin de créativité florissante, tu t’y aies adapté/e !
Les sujets désintéressés des arts, aiment bien observer ce qui se barre ou reste figé.
Ce projet concerne la nourriture, vibrante comme elle devrait.
Y’a du pschitt au diapason, du switch, dit la banderole de l’avion.

Une matière commune, qui nous constitue.
Des restes de pommes, de quartiers d’un conte.
Des formes connues, de fruits sur lesquels on compte.
Un gaspillage revu comme tri crucial.
L’affaire a pris des allures nationales.
La terre et les arbres se rebellent contre ce Comte, qui s’attend à des serviteurs ?
C’est le film qui se monte parfois, pour dire que, ça suffit le quart d’heure.

Pour les familles sans réserves, sur l’expansion d’une idée.
La dopamine réanimée par un tout petit geste. La fève du marais.
Sous le soleil, adieu, la veste.
Voir autrement les restes dans son assiette…
C’est tester l’engouement, envers ce qui initialement était ou n’est rien.
C’est comme se souhaiter l’amour à la fenêtre du matin.
Le rien laisse apparaître de curieux personnages,
pris au sérieux par tout le village.