Poème:Y A Quelqu’un ?
A Propos du Poeme
Ce poème explore l'appel solitaire de l'âme en quête de connexion, de réconfort et de lumière dans l'obscurité de la nuit. À travers le simple mais puissant questionnement « Y a quelqu'un ? », le texte nous plonge dans l’intimité de la recherche d'une présence, d'une réponse face à l'isolement. Le poème évoque l'espoir persistant de trouver une âme qui réponde, une flamme dans la nuit, et laisse entrevoir que, même dans le silence, l'espoir et le désir de trouver ne cessent jamais.
Le Poème
Au cœur de la nuit, dans l’ombre silencieuse,
Une voix chuchote, douce et curieuse.
« Y a quelqu’un ? » retentit, un appel dans le noir,
Un frémissement d’éclat, une recherche d’espoir.
Les étoiles clignotent, complices de l’instant,
Les secrets de la nuit, dansent en tourbillonnant.
« Y a quelqu’un ? » murmure l’âme solitaire,
À la recherche d’une présence, d’une lumière.
Dans la pénombre, des pas hésitants résonnent,
Les mystères de l’obscurité se dévoilent et étonnent.
« Y a quelqu’un ? » questionne l’ombre en quête,
D’une réponse, d’une étreinte, d’une route parfaite.
Les heures s’étirent, les échos se dissipent,
La nuit, témoin muet, dans son mystère persiste.
« Y a quelqu’un ? » répète l’appel, sans relâche,
Cherchant dans l’inconnu, une présence qui détache.
Au matin qui pointe, le murmure s’estompe,
Mais l’appel résonne toujours, vibrant comme une pompe.
« Y a quelqu’un ? » demeure, un refrain dans l’aurore,
À la recherche d’une réponse, d’une apparition.
Car au fil des jours, dans chaque cri de l’âme,
Réside l’espoir de trouver, peut-être, une flamme.
« Y a quelqu’un ? » persiste, un appel au lointain,
À la rencontre d’une âme, dans ce vaste écrin.
Une voix chuchote, douce et curieuse.
« Y a quelqu’un ? » retentit, un appel dans le noir,
Un frémissement d’éclat, une recherche d’espoir.
Les étoiles clignotent, complices de l’instant,
Les secrets de la nuit, dansent en tourbillonnant.
« Y a quelqu’un ? » murmure l’âme solitaire,
À la recherche d’une présence, d’une lumière.
Dans la pénombre, des pas hésitants résonnent,
Les mystères de l’obscurité se dévoilent et étonnent.
« Y a quelqu’un ? » questionne l’ombre en quête,
D’une réponse, d’une étreinte, d’une route parfaite.
Les heures s’étirent, les échos se dissipent,
La nuit, témoin muet, dans son mystère persiste.
« Y a quelqu’un ? » répète l’appel, sans relâche,
Cherchant dans l’inconnu, une présence qui détache.
Au matin qui pointe, le murmure s’estompe,
Mais l’appel résonne toujours, vibrant comme une pompe.
« Y a quelqu’un ? » demeure, un refrain dans l’aurore,
À la recherche d’une réponse, d’une apparition.
Car au fil des jours, dans chaque cri de l’âme,
Réside l’espoir de trouver, peut-être, une flamme.
« Y a quelqu’un ? » persiste, un appel au lointain,
À la rencontre d’une âme, dans ce vaste écrin.
Poète Albertb
Albertb a publié sur le site 75 écrits. Albertb est membre du site depuis l'année 2024.Lire le profil du poète AlbertbSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Y A Quelqu’un ?
au=cœur=de=la=nuit=dans=lom=bre=si=len=cieu=se 12u=ne=voix=chu=cho=te=dou=ce=et=cu=rieu=se 12
y=a=quel=quun=re=ten=tit=un=ap=pel=dans=le=noir 14
un=fré=mis=se=ment=dé=clat=u=ne=re=cher=che=des=poir 14
les=é=toi=les=cli=gno=tent=com=pli=ces=de=lins=tant 13
les=se=crets=de=la=nuit=dan=sent=en=tour=bil=lon=nant 13
y=a=quel=quun=mur=mu=re=lâ=me=so=li=tai=re 14
à=la=re=cher=che=du=ne=pré=sen=ce=du=ne=lu=mière 14
dans=la=pé=nom=bre=des=pas=hé=si=tants=ré=son=nent 13
les=mys=tères=de=lobs=cu=ri=té=se=dé=voilent=et=é=tonnent 14
y=a=quel=quun=ques=ti=on=ne=lom=bre=en=quê=te 14
dune=ré=pon=se=du=neé=trein=te=du=ne=rou=te=par=faite 14
les=heu=res=sé=ti=rent=les=é=chos=se=dis=si=pent 13
la=nuit=té=moin=muet=dans=son=mys=tè=re=per=sis=te 13
y=a=quel=quun=ré=pè=te=lap=pel=sans=re=lâ=che 14
cher=chant=dans=lin=con=nu=u=ne=pré=sen=ce=qui=dé=tache 14
au=ma=tin=qui=poin=te=le=mur=mu=re=ses=tom=pe 13
mais=lap=pel=ré=sonne=tou=jours=vi=brant=com=me=u=ne=pompe 14
y=a=quel=quun=de=meu=re=un=re=frain=dans=lau=rore 14
à=la=re=cherche=du=ne=ré=pon=se=du=neap=pa=ri=tion 14
car=au=fil=des=jours=dans=cha=que=cri=de=lâ=me 12
ré=si=de=les=poir=de=trou=ver=peut=tê=tre=u=ne=flamme 14
y=a=quel=quun=per=sis=te=un=ap=pel=au=loin=tain 14
à=la=ren=contre=du=ne=â=me=dans=ce=vas=te=é=crin 14
Phonétique : Y A Quelqu’un ?
o kœʁ də la nɥi, dɑ̃ lɔ̃bʁə silɑ̃sjøzə,ynə vwa ʃyʃɔtə, dusə e kyʁjøzə.
« i a kεlkœ̃ ? » ʁətɑ̃ti, œ̃n- apεl dɑ̃ lə nwaʁ,
œ̃ fʁemisəmɑ̃ dekla, ynə ʁəʃεʁʃə dεspwaʁ.
lεz- etwalə kliɲɔte, kɔ̃plisə də lɛ̃stɑ̃,
lε sεkʁε də la nɥi, dɑ̃se ɑ̃ tuʁbijɔnɑ̃.
« i a kεlkœ̃ ? » myʁmyʁə lamə sɔlitεʁə,
a la ʁəʃεʁʃə dynə pʁezɑ̃sə, dynə lymjεʁə.
dɑ̃ la penɔ̃bʁə, dε pa ezitɑ̃ ʁezɔne,
lε mistεʁə də lɔpskyʁite sə devwale e etɔne.
« i a kεlkœ̃ ? » kεstjɔnə lɔ̃bʁə ɑ̃ kεtə,
dynə ʁepɔ̃sə, dynə etʁɛ̃tə, dynə ʁutə paʁfεtə.
lεz- œʁ setiʁe, lεz- eʃo sə disipe,
la nɥi, temwɛ̃ mɥε, dɑ̃ sɔ̃ mistεʁə pεʁsistə.
« i a kεlkœ̃ ? » ʁepεtə lapεl, sɑ̃ ʁəlaʃə,
ʃεʁʃɑ̃ dɑ̃ lɛ̃kɔny, ynə pʁezɑ̃sə ki detaʃə.
o matɛ̃ ki pwɛ̃tə, lə myʁmyʁə sεstɔ̃pə,
mε lapεl ʁezɔnə tuʒuʁ, vibʁɑ̃ kɔmə ynə pɔ̃pə.
« i a kεlkœ̃ ? » dəməʁə, œ̃ ʁəfʁɛ̃ dɑ̃ loʁɔʁə,
a la ʁəʃεʁʃə dynə ʁepɔ̃sə, dynə apaʁisjɔ̃.
kaʁ o fil dε ʒuʁ, dɑ̃ ʃakə kʁi də lamə,
ʁezidə lεspwaʁ də tʁuve, pø tεtʁə, ynə flamə.
« i a kεlkœ̃ ? » pεʁsistə, œ̃n- apεl o lwɛ̃tɛ̃,
a la ʁɑ̃kɔ̃tʁə dynə amə, dɑ̃ sə vastə ekʁɛ̃.
Syllabes Phonétique : Y A Quelqu’un ?
o=kœʁ=də=la=nɥi=dɑ̃=lɔ̃=bʁə=si=lɑ̃=sjø=zə 12y=nə=vwa=ʃy=ʃɔ=tə=du=sə=e=ky=ʁjø=zə 12
i=a=kεl=kœ̃=ʁə=tɑ̃=ti=œ̃=na=pεl=dɑ̃lə=nwaʁ 13
œ̃=fʁe=misə=mɑ̃=de=kla=y=nəʁə=ʃεʁ=ʃə=dεs=pwaʁ 12
lε=ze=twalə=kli=ɲɔ=te=kɔ̃=pli=sə=də=lɛ̃s=tɑ̃ 12
lε=sε=kʁεdə=la=nɥi=dɑ̃=se=ɑ̃=tuʁ=bi=jɔ=nɑ̃ 12
i=a=kεl=kœ̃=myʁ=myʁə=la=mə=sɔ=li=tεʁə 12
alaʁə=ʃεʁ=ʃə=dy=nə=pʁe=zɑ̃=sə=dy=nə=ly=mjεʁə 12
dɑ̃=la=pe=nɔ̃bʁə=dε=pa=e=zi=tɑ̃=ʁe=zɔ=ne 12
lεmistεʁə=də=lɔp=sky=ʁi=te=sə=de=vwa=le=e=e=tɔ=ne 14
i=a=kεl=kœ̃=kεs=tjɔ=nə=lɔ̃=bʁə=ɑ̃=kεtə 12
dynə=ʁe=pɔ̃sə=dy=nəe=tʁɛ̃=tə=dy=nə=ʁu=tə=paʁfεtə 12
lε=zœʁ=se=ti=ʁe=lε=ze=ʃo=sə=di=si=pe 12
la=nɥi=te=mwɛ̃=mɥε=dɑ̃=sɔ̃=mis=tε=ʁə=pεʁ=sistə 12
i=a=kεl=kœ̃=ʁe=pεtə=la=pεl=sɑ̃=ʁə=laʃə 12
ʃεʁ=ʃɑ̃=dɑ̃=lɛ̃=kɔ=ny=ynə=pʁe=zɑ̃sə=ki=de=taʃə 12
o=ma=tɛ̃=ki=pwɛ̃=tə=lə=myʁ=my=ʁə=sεs=tɔ̃pə 12
mε=la=pεl=ʁe=zɔnə=tu=ʒuʁ=vi=bʁɑ̃=kɔ=məynə=pɔ̃pə 12
i=a=kεl=kœ̃=də=məʁə=œ̃=ʁə=fʁɛ̃=dɑ̃=loʁɔʁə 12
alaʁə=ʃεʁʃə=dy=nə=ʁe=pɔ̃=sə=dy=nəa=pa=ʁi=sjɔ̃ 12
kaʁ=o=fil=dε=ʒuʁ=dɑ̃=ʃa=kə=kʁi=də=la=mə 12
ʁe=zidə=lεs=pwaʁdə=tʁu=ve=pø=tε=tʁə=y=nə=flamə 12
i=a=kεl=kœ̃=pεʁsistə=œ̃=na=pεl=o=lwɛ̃=tɛ̃ 12
a=la=ʁɑ̃kɔ̃tʁə=dy=nəa=mə=dɑ̃=sə=vas=tə=e=kʁɛ̃ 12
Historique des Modifications
08/03/2024 10:51
08/03/2024 10:50
07/03/2024 14:47
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
07/03/2024 19:56Anya
Un trés beau texte sur .le sentiment de solitude qui nous étreint en particulier la nuit quand le.silence et l’absence de vie nous angoisse, un sentiment qui se prolongé parfois le jour tant le besoin de présences et d’amour est prégnant, Merci Albert de nous confier ces émotions si souvent partagées, avec mon coup de cœur.
07/03/2024 22:58Printemps
La solitude elle-même demande dans le silence des heures s’il y a quelqu’un dans l’obscurité de la nuit, dans l’aube lumineuse, à chaque instant où la mélancolie cherche des réponses et des présences, une recherche incessante qui surgit lorsque l’on fait l’expérience de ce vide qui transcende tous les sentiments et est très bien évoqué dans ce poème. Un coup de cœur poétique, Albertb!
Poème Solitude
Du 07/03/2024 14:20
L'écrit contient 208 mots qui sont répartis dans 6 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. La composition des vers de ce poème suivent la forme classique du Rondeau redoublé.