Poème:Les Reflets De Toutes Les Saisons

L’ajonc, élue fleur de la Bretagne, a des vertus réconfortantes,
Fleur jaune, toute à la fois délicate et odorante,
Parsème ses bienfaits anti-inflammatoires, telle une arme secrète,
Embaumant l’air et réjouissant l’âme parfaite.
Dans les champs bretons, on peut voir son éclat comme un miracle.
Elle parfume délicatement, s’offre à un doux spectacle.
Le plaisir pour les yeux que dans la nature, elle s’extasie,
En évoquant par sa beauté, la vie en poésie…

Une fleur bleue comme l’Agapanthe incarne amour et loyauté,
Très souvent honorée comme « la fleur de l’amour » par sa beauté.
En offrant un bouquet, on révèle des sentiments sincères,
Une dévotion profonde, un lien qui se tisse, une lumière…
Parfois, elle émeut celui qui la tient, éveillant en lui des désirs enchantés.
Qu’est ce que la négliger, et poursuivre sa route sans l’admirer ?
À celle qui la reçoit, elle prédispose à de tendres émotions,
C’est un symbole d’affection et de douces dévotions…

L’offrande de l’orchidée, synonyme de pureté,
D’innocence et de gaieté, la fleur blanche par excellence et raffinée.
Depuis toujours, elle incarne l’amour dans les cœurs,
En éveillant nos plus tendres ardeurs.
De son doux parfum, se lit une promesse,
L’élan d’un amour, une force de tendresse dans mes caresses
Comme un écho dans mon âme, se mélangeant à la tienne,
Dans mon jardin secret, où mes désirs se promènent.

Soudain de belles fleurs des champs, aux éclats de lumière,
Comme les fleurs des jardins, telle une douce prière,
Et vous, tous ces arbres en fleurs, comme tableau d’un matin,
Voici le printemps qui s’annonce et réveille nos instincts.
Vous les arbres verts de l’été qui approche à pas lents, doucement,
Et les arbres mordorés, l’automne vient d’arrivé avec un murmure de ruisseaux,
Vous les arbres qui s’endorment, sous un beau manteau blanc,
Voici l’hiver qui s’installe dans un long silence immaculé et beau.

Voici que la terre s’embaume d’un parfum naturel,
Se love dans une herbe fraîche et tendre sous une jolie ombrelle.
Maintenant la mer bleue, fougueuse et mystérieuse,
En évoque sa profondeur paisible et voluptueuse dans mes yeux.
J’adore le vent, j’apprécie l’espace, je comble les murmures et les voix…
Celles du vent qui souffle dans les hautes branches des forêts denses.
Et plus loin les flots de lumière envahissent chaque recoin ombragé des bois,
Là où sommeillent des créatures espiègles et furtives. Bon sang, où se cachent-elles ?
Je les distingue à peine puisqu’elles demeurent en secret, quel bon sens !