Poème:L’étranger
Le Poème
L’étranger n’est pas l’étranger du Cham ou du Yémen L’étranger est plutôt l’étranger de la tombe et du linceul
Certes l’étranger a un droit pour son étrangeté Sur les résidents des villes et des demeures
Ne repousse pas un étranger pour son étrangeté Le temps le repousse déjà par l’humiliation et les épreuves
Mon voyage est long et mes provisions ne me permettront pas d’atteindre ma destination Mes forces faiblissent et la mort me demande
Et j’ai encore des péchés que je ne connais pas Allah les connaît, qu’ils soient secrets ou publics
Comme Allah est clément envers moi de m’impartir un délai Et certes, j’ai persisté dans mon péché et Il me protège
Les heures de mes jours passent sans regrets Sans pleurs, ni peur, ni tristesse
Je suis celui qui ferme les portes en persistant Dans la désobéissance et l’œil d’Allah me regarde
Ô erreurs écrites dans l’insouciance désormais envolée Ô regrets qui restent dans le cœur qui me consume
Laisse-moi me lamenter sur moi-même et regretter Je passe mon temps dans le rappel et la tristesse
Cesse tes reproches, toi qui me critiques Si tu connaissais vraiment ma situation tu me trouverais des excuses
Laisse-moi verser des larmes sans fin Peut être que l’une d’elles me délivrera
Comme si je gisais parmi ces gens, Sur le lit, et que leurs mains me retournent
Et se sont réunis autour de moi celui qui se lamente Qui pleure sur moi, qui annonce mon décès et celui qui gémit
Ils sont venus avec un médecin pour me soigner Et je ne pense pas que la médecine me profitera aujourd’hui
Mon agonie s’intensifie et la mort m’entraîne De chaque veine, sans douceur et sans bonté
On a retiré mon âme dans son dernier souffle Et ma salive est devenue amère dans mon dernier râle
Ils m’ont fermé les yeux et sont tous partis Après le désespoir, ils ont fait l’effort d’acheter le linceul
Le meilleur d’entre eux s’est levé avec empressement Vers le laveur des morts afin de me laver
Et il a dit ô gens ! Nous voulons un laveur adroit Libre, sagace, intelligent, connaisseur, perspicace
Un homme parmi eux est venu et m’a dépouillé De mes vêtements, m’a mis à nu et m’a laissé
Ils m’ont allongé sur les feuilles Et au-dessus de moi, le murmure de l’eau qui me lave
Il versa de l’eau sur moi et me lava Par trois fois, puis demanda aux gens qu’on lui apporte le linceul
Ils m’ont habillé d’un vêtement sans manche Et lorsqu’il m’a embaumé, je n’avais plus que cela pour moi
Ils m’ont sorti de ce bas-monde – désolé D’être parti sans provisions qui me permettent d’atteindre ma destination
M’ont porté sur leurs épaules quatre Parmi les hommes et derrière moi le convoi funéraire
Ils m’ont amené au mihrab et se sont mis Derrière l’imam qui a prié puis m’a fait ses adieux
Ils ont accompli sur moi une prière sans ruku’ Ni sujud, en espérant qu’Allah me fera miséricorde
Ils m’ont descendu doucement dans ma tombe Et l’un d’entre eux s’est avancé pour m’y déposer
Il a dévoilé mon visage pour me voir Et les larmes coulèrent de ses yeux et me noyèrent
Puis se leva avec respect et résolution Et aligna les briques au-dessus de moi et me laissa
Et il dit : couvrez-le de terre et profitez De la meilleure récompense du Miséricordieux qui possède tous les bienfaits
Dans les ténèbres de la tombe, pas de mère Ni de père tendre, ni de frère qui me tienne compagnie
J’ai été effrayé par ce que mon œil a vu De l’horreur de ce qui m’arrivait
De ce que je vais dire à Mounkir et Nakir Certes cela m a terrifié et épouvanté
Ils m’assirent et s’acharnèrent dans leur interrogation Je n’ai personne d’autre que Toi, mon Dieu, qui puisse me libérer
Accorde-moi un pardon de Toi, ô ! mon espoir Je suis ligoté par le péché, endetté
En revenant, les proches se sont partagés mes biens Mon fardeau est posé sur mon dos et pèse sur moi
Mon épouse a pris un autre mari à ma place Et lui a donné le contrôle des biens et de la maison
Elle a fait de mon fils un esclave afin qu’il la serve Et mes biens leur ont été donnés sans contre-partie
Ne sois donc pas trompé par la vie d’ici-bas et sa parure Et regarde ce qu’elle fait à la famille et au foyer
Regarde celui qui veut tout de ce bas-monde Ne le quitte-t-il pas avec son seul baume et un linceul ?
Prends ce qui te suffit de cette vie et contente-toi de cela Même si tu n’as pour toi que la santé
Ô toi qui sème le bien ! Récoltes-en les fruits Ô toi qui sème le mal ! Tu ne reposes sur rien
Ô âme ! Arrête la désobéissance et tire profit D’une bonne oeuvre en espérant qu’Allah me fera miséricorde
Ô âme ! Malheur à toi, repens toi et fait une bonne oeuvre Afin que tu sois récompensée après la mort par un bien
Et que les prières soient sur notre maître Sur tout ce que l’éclair illumine au Cham et au Yémen
Et la louange est à Allah qui nous fait atteindre le soir et le matin Dans le bien, le pardon, la bienfaisance et les faveurs
Certes l’étranger a un droit pour son étrangeté Sur les résidents des villes et des demeures
Ne repousse pas un étranger pour son étrangeté Le temps le repousse déjà par l’humiliation et les épreuves
Mon voyage est long et mes provisions ne me permettront pas d’atteindre ma destination Mes forces faiblissent et la mort me demande
Et j’ai encore des péchés que je ne connais pas Allah les connaît, qu’ils soient secrets ou publics
Comme Allah est clément envers moi de m’impartir un délai Et certes, j’ai persisté dans mon péché et Il me protège
Les heures de mes jours passent sans regrets Sans pleurs, ni peur, ni tristesse
Je suis celui qui ferme les portes en persistant Dans la désobéissance et l’œil d’Allah me regarde
Ô erreurs écrites dans l’insouciance désormais envolée Ô regrets qui restent dans le cœur qui me consume
Laisse-moi me lamenter sur moi-même et regretter Je passe mon temps dans le rappel et la tristesse
Cesse tes reproches, toi qui me critiques Si tu connaissais vraiment ma situation tu me trouverais des excuses
Laisse-moi verser des larmes sans fin Peut être que l’une d’elles me délivrera
Comme si je gisais parmi ces gens, Sur le lit, et que leurs mains me retournent
Et se sont réunis autour de moi celui qui se lamente Qui pleure sur moi, qui annonce mon décès et celui qui gémit
Ils sont venus avec un médecin pour me soigner Et je ne pense pas que la médecine me profitera aujourd’hui
Mon agonie s’intensifie et la mort m’entraîne De chaque veine, sans douceur et sans bonté
On a retiré mon âme dans son dernier souffle Et ma salive est devenue amère dans mon dernier râle
Ils m’ont fermé les yeux et sont tous partis Après le désespoir, ils ont fait l’effort d’acheter le linceul
Le meilleur d’entre eux s’est levé avec empressement Vers le laveur des morts afin de me laver
Et il a dit ô gens ! Nous voulons un laveur adroit Libre, sagace, intelligent, connaisseur, perspicace
Un homme parmi eux est venu et m’a dépouillé De mes vêtements, m’a mis à nu et m’a laissé
Ils m’ont allongé sur les feuilles Et au-dessus de moi, le murmure de l’eau qui me lave
Il versa de l’eau sur moi et me lava Par trois fois, puis demanda aux gens qu’on lui apporte le linceul
Ils m’ont habillé d’un vêtement sans manche Et lorsqu’il m’a embaumé, je n’avais plus que cela pour moi
Ils m’ont sorti de ce bas-monde – désolé D’être parti sans provisions qui me permettent d’atteindre ma destination
M’ont porté sur leurs épaules quatre Parmi les hommes et derrière moi le convoi funéraire
Ils m’ont amené au mihrab et se sont mis Derrière l’imam qui a prié puis m’a fait ses adieux
Ils ont accompli sur moi une prière sans ruku’ Ni sujud, en espérant qu’Allah me fera miséricorde
Ils m’ont descendu doucement dans ma tombe Et l’un d’entre eux s’est avancé pour m’y déposer
Il a dévoilé mon visage pour me voir Et les larmes coulèrent de ses yeux et me noyèrent
Puis se leva avec respect et résolution Et aligna les briques au-dessus de moi et me laissa
Et il dit : couvrez-le de terre et profitez De la meilleure récompense du Miséricordieux qui possède tous les bienfaits
Dans les ténèbres de la tombe, pas de mère Ni de père tendre, ni de frère qui me tienne compagnie
J’ai été effrayé par ce que mon œil a vu De l’horreur de ce qui m’arrivait
De ce que je vais dire à Mounkir et Nakir Certes cela m a terrifié et épouvanté
Ils m’assirent et s’acharnèrent dans leur interrogation Je n’ai personne d’autre que Toi, mon Dieu, qui puisse me libérer
Accorde-moi un pardon de Toi, ô ! mon espoir Je suis ligoté par le péché, endetté
En revenant, les proches se sont partagés mes biens Mon fardeau est posé sur mon dos et pèse sur moi
Mon épouse a pris un autre mari à ma place Et lui a donné le contrôle des biens et de la maison
Elle a fait de mon fils un esclave afin qu’il la serve Et mes biens leur ont été donnés sans contre-partie
Ne sois donc pas trompé par la vie d’ici-bas et sa parure Et regarde ce qu’elle fait à la famille et au foyer
Regarde celui qui veut tout de ce bas-monde Ne le quitte-t-il pas avec son seul baume et un linceul ?
Prends ce qui te suffit de cette vie et contente-toi de cela Même si tu n’as pour toi que la santé
Ô toi qui sème le bien ! Récoltes-en les fruits Ô toi qui sème le mal ! Tu ne reposes sur rien
Ô âme ! Arrête la désobéissance et tire profit D’une bonne oeuvre en espérant qu’Allah me fera miséricorde
Ô âme ! Malheur à toi, repens toi et fait une bonne oeuvre Afin que tu sois récompensée après la mort par un bien
Et que les prières soient sur notre maître Sur tout ce que l’éclair illumine au Cham et au Yémen
Et la louange est à Allah qui nous fait atteindre le soir et le matin Dans le bien, le pardon, la bienfaisance et les faveurs
Poète Am
Am a publié sur le site 3 écrits. Am est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète AmSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: L’étranger
lé=tran=ger=nest=pas=lé=tran=ger=du=cham=ou=du=yémen=as=té=ris=que=lé=tran=ger=est=plu=tôt=lé=tran=ger=de=la=tom=beet=du=lin=ceul 33cer=tes=lé=tran=ger=a=un=droit=pour=son=é=tran=ge=té=as=té=ris=que=sur=les=ré=si=dents=des=vil=les=et=des=de=meures 30
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commeal=lah=est=clé=ment=en=vers=moi=de=mim=par=tir=un=dé=lai=as=té=ris=que=et=cer=tes=jai=per=sis=té=dans=mon=pé=ché=et=il=me=pro=tège 35
les=heu=res=de=mes=jours=pas=sent=sans=re=grets=as=té=ris=que=sans=pleurs=ni=peur=ni=tris=tesse 22
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laisse=moi=me=la=men=ter=sur=moi=mê=meet=re=gret=ter=as=té=ris=que=je=pas=se=mon=temps=dans=le=rap=pel=et=la=tris=tesse 30
ces=se=tes=re=proches=toi=qui=me=cri=ti=ques=as=té=ris=que=si=tu=con=nais=sais=vrai=ment=ma=si=tua=tion=tu=me=trou=ve=rais=des=ex=cuses 34
lais=se=moi=ver=ser=des=lar=mes=sans=fin=as=té=ris=que=peut=ê=tre=que=lu=ne=del=les=me=dé=li=vre=ra 27
com=me=si=je=gi=sais=par=mi=ces=gens=as=té=ris=que=sur=le=lit=et=que=leurs=mains=me=re=tournent 24
et=se=sont=ré=u=nis=au=tour=de=moi=ce=lui=qui=se=lamen=teas=té=ris=que=qui=pleu=re=sur=moi=qui=an=non=ce=mon=dé=cès=et=ce=lui=qui=gé=mit 37
ils=sont=ve=nus=a=vec=un=méde=cin=pour=me=soi=gner=as=té=ris=queet=je=ne=pen=se=pas=que=la=mé=de=ci=ne=me=pro=fi=te=ra=au=jourdhui 35
mon=a=go=nie=sin=ten=si=fie=et=la=mort=men=traî=ne=as=té=ris=que=de=cha=que=vei=ne=sans=dou=ceur=et=sans=bon=té 30
on=a=re=ti=ré=mon=â=me=dans=son=der=nier=souf=fleas=té=ris=que=et=ma=sa=live=est=de=ve=nue=a=mè=re=dans=mon=der=nier=râle 33
ils=mont=fer=mé=les=yeux=et=sont=tous=par=tis=as=té=ris=quea=près=le=déses=poir=ils=ont=fait=lef=fort=da=che=ter=le=lin=ceul 30
le=meilleur=den=tre=eux=sest=le=vé=a=vec=em=pres=se=ment=as=té=ris=que=vers=le=la=veur=des=morts=a=fin=de=me=la=ver 30
et=il=a=dit=ô=gens=nous=vou=lons=un=la=veur=a=droit=as=té=ris=que=libre=sa=ga=ce=in=tel=li=gent=con=nais=seur=pers=pi=cace 32
un=hom=me=par=mi=eux=est=ve=nu=et=ma=dé=pouillé=as=té=ris=que=de=mes=vê=te=ments=ma=mis=à=nu=et=ma=lais=sé 30
ils=mont=al=lon=gé=sur=les=feu=i=lles=as=té=ris=que=et=au=des=sus=de=moi=le=mur=mu=re=de=leau=qui=me=la=ve 30
il=ver=sa=de=leau=sur=moi=et=me=la=va=as=té=ris=que=par=trois=fois=puis=de=man=da=aux=gens=quon=lui=ap=porte=le=lin=ceul 31
ils=mont=ha=billé=dun=vête=ment=sans=man=che=as=té=ris=que=et=lors=quil=ma=em=bau=mé=je=na=vais=plus=que=ce=la=pour=moi 30
ils=mont=sor=ti=de=ce=bas=monde=dé=so=lé=as=té=ris=que=dê=tre=par=ti=sans=pro=vi=sions=qui=me=per=met=tent=dat=tein=dre=ma=des=ti=na=tion 36
mont=por=té=sur=leurs=é=pau=les=qua=tre=as=té=ris=que=par=mi=les=hom=mes=et=der=riè=re=moi=le=con=voi=fu=né=raire 30
ils=mont=ame=né=au=mih=rab=et=se=sont=mis=as=té=ris=que=der=riè=re=li=mam=qui=a=pri=é=puis=ma=fait=ses=a=dieux 30
ils=ont=ac=com=pli=sur=moi=une=priè=re=sans=ru=kuas=té=ris=que=ni=su=jud=en=es=pé=rant=qual=lah=me=fe=ra=mi=sé=ri=corde 32
ils=mont=des=cen=du=dou=ce=ment=dans=ma=tom=be=as=té=ris=que=et=lun=den=tre=eux=sest=a=van=cé=pour=my=dé=po=ser 30
il=a=dé=voi=lé=mon=vi=sa=ge=pour=me=voir=as=té=ris=que=et=les=lar=mes=cou=lè=rent=de=ses=y=eux=et=me=noyèrent 30
puis=se=le=va=a=vec=res=pect=et=ré=so=lu=tion=as=té=ris=queet=a=li=gna=les=bri=ques=au=des=sus=de=moi=et=me=lais=sa 32
et=il=dit=cou=vrez=le=de=terreet=pro=fi=tez=as=té=ris=que=de=la=meilleu=re=ré=com=pen=se=du=mi=sé=ri=cor=dieux=qui=pos=sè=de=tous=les=bien=faits 37
dans=les=té=nèbres=de=la=tom=be=pas=de=mè=reas=té=ris=que=ni=de=pè=re=ten=dre=ni=de=frè=re=qui=me=tien=ne=com=pa=gnie 32
jai=é=té=ef=fray=é=par=ce=que=mon=œil=a=vu=as=té=ris=que=de=l=hor=reur=de=ce=qui=mar=ri=vait 27
de=ce=que=je=vais=dire=à=moun=kir=et=na=kir=as=té=ris=que=cer=tes=ce=la=m=a=ter=ri=fié=et=é=pou=van=té 30
ils=mas=sirent=et=sa=char=nè=rent=dans=leur=in=ter=ro=ga=tion=as=té=ris=que=je=nai=per=son=ne=dau=tre=que=toi=mon=dieu=qui=puis=se=me=li=bé=rer 37
ac=cor=de=moi=un=par=don=de=toi=ô=mon=es=poir=as=té=ris=que=je=suis=li=go=té=par=le=pé=ché=en=det=té 29
en=re=ve=nant=les=proches=se=sont=par=ta=gés=mes=biens=as=té=ris=que=mon=far=deau=est=po=sé=sur=mon=dos=et=pè=se=sur=moi 31
mon=é=pousea=pris=un=au=tre=ma=ri=à=ma=pla=ce=as=té=ris=que=et=lui=a=don=né=le=con=trô=le=des=biens=et=de=la=mai=son 33
ellea=fait=de=mon=fils=un=es=clave=a=fin=quil=la=ser=ve=as=té=ris=que=et=mes=biens=leur=ont=é=té=don=nés=sans=con=tre=par=tie 32
ne=sois=donc=pas=trom=pé=par=la=vie=di=ci=bas=et=sa=pa=rureas=té=ris=que=et=re=gar=de=ce=quel=le=fait=à=la=fa=mille=et=au=foyer 34
re=gar=de=ce=lui=qui=veut=tout=de=ce=bas=mondeas=té=ris=que=ne=le=quit=te=til=pas=a=vec=son=seul=bau=me=et=un=lin=ceul 31
prends=ce=qui=te=suf=fit=de=cette=vieet=con=ten=te=toi=de=ce=la=as=té=ris=que=mê=me=si=tu=nas=pour=toi=que=la=san=té 31
ô=toi=qui=sème=le=bien=ré=col=tes=en=les=fruits=as=té=ris=que=ô=toi=qui=sè=me=le=mal=tu=ne=re=po=ses=sur=rien 30
ô=â=me=ar=rête=la=dé=so=béis=san=ceet=ti=re=pro=fit=as=té=ris=que=du=ne=bon=ne=oeu=vre=en=es=pé=rant=qual=lah=me=fe=ra=mi=sé=ri=corde 38
ô=â=me=malheur=à=toi=re=pens=toi=et=fait=une=bon=neoeu=vre=a=fin=que=tu=sois=ré=com=pen=sée=a=près=la=mort=par=un=bien 31
et=que=les=pri=è=res=soient=sur=no=tre=maî=tre=sur=tout=ce=que=lé=clair=il=lu=mi=ne=au=cham=et=au=yé=men 28
et=la=lou=angeest=à=al=lah=qui=nous=fait=at=tein=dre=le=soir=et=le=ma=tin=as=té=ris=que=dans=le=bien=le=par=don=la=bien=fai=san=ce=et=les=fa=veurs 38
Phonétique : L’étranger
letʁɑ̃ʒe nε pa letʁɑ̃ʒe dy ʃam u dy iemɛ̃ asteʁiskə letʁɑ̃ʒe ε plyto letʁɑ̃ʒe də la tɔ̃bə e dy lɛ̃səlsεʁtə- letʁɑ̃ʒe a œ̃ dʁwa puʁ sɔ̃n- etʁɑ̃ʒəte asteʁiskə syʁ lε ʁezidɑ̃ dε viləz- e dε dəməʁə
nə ʁəpusə pa œ̃n- etʁɑ̃ʒe puʁ sɔ̃n- etʁɑ̃ʒəte asteʁiskə lə tɑ̃ lə ʁəpusə deʒa paʁ lymiljasjɔ̃ e lεz- epʁəvə
mɔ̃ vwajaʒə ε lɔ̃ e mε pʁɔvizjɔ̃ nə mə pεʁmεtʁɔ̃ pa datɛ̃dʁə ma dεstinasjɔ̃ asteʁiskə mε fɔʁsə- fεblise e la mɔʁ mə dəmɑ̃də
e ʒε ɑ̃kɔʁə dε peʃe kə ʒə nə kɔnε pa asteʁiskə ala lε kɔnε, kil swae sεkʁεz- u pyblik
kɔmə ala ε klemɑ̃ ɑ̃vεʁ mwa də mɛ̃paʁtiʁ œ̃ delε asteʁiskə e sεʁtə, ʒε pεʁsiste dɑ̃ mɔ̃ peʃe e il mə pʁɔtεʒə
lεz- œʁ də mε ʒuʁ pase sɑ̃ ʁəɡʁεz- asteʁiskə sɑ̃ plœʁ, ni pœʁ, ni tʁistεsə
ʒə sɥi səlɥi ki fεʁmə lε pɔʁtəz- ɑ̃ pεʁsistɑ̃ asteʁiskə dɑ̃ la dezɔbeisɑ̃sə e lœj dala mə ʁəɡaʁdə
o eʁœʁz- ekʁitə dɑ̃ lɛ̃susjɑ̃sə dezɔʁmεz- ɑ̃vɔle asteʁiskə o ʁəɡʁε ki ʁεste dɑ̃ lə kœʁ ki mə kɔ̃symə
lεsə mwa mə lamɑ̃te syʁ mwa mεmə e ʁəɡʁεte asteʁiskə ʒə pasə mɔ̃ tɑ̃ dɑ̃ lə ʁapεl e la tʁistεsə
sεsə tε ʁəpʁoʃə, twa ki mə kʁitikz- asteʁiskə si ty kɔnεsε vʁεmɑ̃ ma sitɥasjɔ̃ ty mə tʁuvəʁε dεz- εkskyzə
lεsə mwa vεʁse dε laʁmə- sɑ̃ fɛ̃ asteʁiskə pø εtʁə kə lynə dεllə mə delivʁəʁa
kɔmə si ʒə ʒizε paʁmi sε ʒɑ̃, asteʁiskə syʁ lə li, e kə lœʁ mɛ̃ mə ʁətuʁne
e sə sɔ̃ ʁeyniz- otuʁ də mwa səlɥi ki sə lamɑ̃tə asteʁiskə ki plœʁə syʁ mwa, ki anɔ̃sə mɔ̃ desεz- e səlɥi ki ʒemi
il sɔ̃ vənysz- avεk œ̃ medəsɛ̃ puʁ mə swaɲe asteʁiskə e ʒə nə pɑ̃sə pa kə la medəsinə mə pʁɔfitəʁa oʒuʁdɥi
mɔ̃n- aɡɔni sɛ̃tɑ̃sifi e la mɔʁ mɑ̃tʁεnə asteʁiskə də ʃakə vεnə, sɑ̃ dusœʁ e sɑ̃ bɔ̃te
ɔ̃n- a ʁətiʁe mɔ̃n- amə dɑ̃ sɔ̃ dεʁnje suflə asteʁiskə e ma salivə ε dəvənɥ amεʁə dɑ̃ mɔ̃ dεʁnje ʁalə
il mɔ̃ fεʁme lεz- iøz- e sɔ̃ tus paʁtiz- asteʁiskə apʁε lə dezεspwaʁ, ilz- ɔ̃ fε lefɔʁ daʃəte lə lɛ̃səl
lə mεjœʁ dɑ̃tʁə ø sε ləve avεk ɑ̃pʁəsəmɑ̃ asteʁiskə vεʁ lə lavœʁ dε mɔʁz- afɛ̃ də mə lave
e il a di o ʒɑ̃ ! nu vulɔ̃z- œ̃ lavœʁ adʁwa asteʁiskə libʁə, saɡasə, ɛ̃tεlliʒe, kɔnεsœʁ, pεʁspikasə
œ̃n- ɔmə paʁmi øz- ε vəny e ma depuje asteʁiskə də mε vεtəmɑ̃, ma miz- a ny e ma lεse
il mɔ̃ alɔ̃ʒe syʁ lε fœjəz- asteʁiskə e o dəsy də mwa, lə myʁmyʁə də lo ki mə lavə
il vεʁsa də lo syʁ mwa e mə lava asteʁiskə paʁ tʁwa fwa, pɥi dəmɑ̃da o ʒɑ̃ kɔ̃ lɥi apɔʁtə lə lɛ̃səl
il mɔ̃-abije dœ̃ vεtəmɑ̃ sɑ̃ mɑ̃ʃə asteʁiskə e lɔʁskil ma ɑ̃bome, ʒə navε plys kə səla puʁ mwa
il mɔ̃ sɔʁti də sə ba mɔ̃də dezɔle asteʁiskə dεtʁə paʁti sɑ̃ pʁɔvizjɔ̃ ki mə pεʁmεte datɛ̃dʁə ma dεstinasjɔ̃
mɔ̃ pɔʁte syʁ lœʁz- epolə katʁə asteʁiskə paʁmi lεz- ɔməz- e dəʁjεʁə mwa lə kɔ̃vwa fyneʁεʁə
il mɔ̃ aməne o miʁab e sə sɔ̃ miz- asteʁiskə dəʁjεʁə limam ki a pʁje pɥi ma fε sεz- adjø
ilz- ɔ̃ akɔ̃pli syʁ mwa ynə pʁjεʁə sɑ̃ ʁykyasteʁiskə ni syʒyd, ɑ̃n- εspeʁɑ̃ kala mə fəʁa mizeʁikɔʁdə
il mɔ̃ desɑ̃dy dusəmɑ̃ dɑ̃ ma tɔ̃bə asteʁiskə e lœ̃ dɑ̃tʁə ø sεt- avɑ̃se puʁ mi depoze
il a devwale mɔ̃ vizaʒə puʁ mə vwaʁ asteʁiskə e lε laʁmə- kulεʁe də sεz- iøz- e mə nwajεʁe
pɥi sə ləva avεk ʁεspε e ʁezɔlysjɔ̃ asteʁiskə e aliɲa lε bʁikz- o dəsy də mwa e mə lεsa
e il di : kuvʁe lə də teʁə e pʁɔfitez- asteʁiskə də la mεjəʁə ʁekɔ̃pɑ̃sə dy mizeʁikɔʁdjø ki pɔsεdə tus lε bjɛ̃fε
dɑ̃ lε tenεbʁə- də la tɔ̃bə, pa də mεʁə asteʁiskə ni də pεʁə tɑ̃dʁə, ni də fʁεʁə ki mə tjεnə kɔ̃paɲi
ʒε ete efʁεje paʁ sə kə mɔ̃n- œj a vy asteʁiskə də lɔʁœʁ də sə ki maʁivε
də sə kə ʒə vε diʁə a munkiʁ e nakiʁ asteʁiskə sεʁtə- səla εm a teʁifje e epuvɑ̃te
il masiʁe e saʃaʁnεʁe dɑ̃ lœʁ ɛ̃teʁɔɡasjɔ̃ asteʁiskə ʒə nε pεʁsɔnə dotʁə kə twa, mɔ̃ djø, ki pɥisə mə libeʁe
akɔʁdə mwa œ̃ paʁdɔ̃ də twa, o ! mɔ̃n- εspwaʁ asteʁiskə ʒə sɥi liɡɔte paʁ lə peʃe, ɑ̃dεte
ɑ̃ ʁəvənɑ̃, lε pʁoʃə sə sɔ̃ paʁtaʒe mε bjɛ̃z- asteʁiskə mɔ̃ faʁdo ε poze syʁ mɔ̃ doz- e pεzə syʁ mwa
mɔ̃n- epuzə a pʁiz- œ̃n- otʁə maʁi a ma plasə asteʁiskə e lɥi a dɔne lə kɔ̃tʁolə dε bjɛ̃z- e də la mεzɔ̃
εllə a fε də mɔ̃ fisz- œ̃n- εsklavə afɛ̃ kil la sεʁvə asteʁiskə e mε bjɛ̃ lœʁ ɔ̃ ete dɔne sɑ̃ kɔ̃tʁə paʁti
nə swa dɔ̃k pa tʁɔ̃pe paʁ la vi disi ba e sa paʁyʁə asteʁiskə e ʁəɡaʁdə sə kεllə fε a la famijə e o fwaje
ʁəɡaʁdə səlɥi ki vø tu də sə ba mɔ̃də asteʁiskə nə lə kitə til pa avεk sɔ̃ səl bomə e œ̃ lɛ̃səl ?
pʁɑ̃ sə ki tə syfi də sεtə vi e kɔ̃tɑ̃tə twa də səla asteʁiskə mεmə si ty na puʁ twa kə la sɑ̃te
o twa ki sεmə lə bjɛ̃ ! ʁekɔltəz- ɑ̃ lε fʁɥiz- asteʁiskə o twa ki sεmə lə mal ! ty nə ʁəpozə syʁ ʁjɛ̃
o amə ! aʁεtə la dezɔbeisɑ̃sə e tiʁə pʁɔfi asteʁiskə dynə bɔnə œvʁə ɑ̃n- εspeʁɑ̃ kala mə fəʁa mizeʁikɔʁdə
o amə ! malœʁ a twa, ʁəpɛ̃ twa e fε ynə bɔnə œvʁə afɛ̃ kə ty swa ʁekɔ̃pɑ̃se apʁε la mɔʁ paʁ œ̃ bjɛ̃
e kə lε pʁjεʁə swae syʁ nɔtʁə mεtʁə syʁ tu sə kə leklεʁ ilyminə o ʃam e o iemɛ̃
e la lwɑ̃ʒə εt- a ala ki nu fε atɛ̃dʁə lə swaʁ e lə matɛ̃ asteʁiskə dɑ̃ lə bjɛ̃, lə paʁdɔ̃, la bjɛ̃fəzɑ̃sə e lε favœʁ
Syllabes Phonétique : L’étranger
le=tʁɑ̃=ʒe=nε=pa=le=tʁɑ̃=ʒe=dy=ʃam=u=dy=i=e=mɛ̃=as=te=ʁiskə=le=tʁɑ̃=ʒe=ε=ply=to=le=tʁɑ̃=ʒe=də=la=tɔ̃=bəe=dy=lɛ̃=səl 34sεʁ=tə=le=tʁɑ̃=ʒe=a=œ̃=dʁwa=puʁ=sɔ̃=ne=tʁɑ̃=ʒə=te=as=te=ʁis=kə=syʁ=lε=ʁe=zi=dɑ̃=dε=vi=lə=ze=dε=də=mə=ʁə 31
nə=ʁə=pusə=pa=œ̃=ne=tʁɑ̃=ʒe=puʁ=sɔ̃=ne=tʁɑ̃=ʒə=te=as=te=ʁis=kə=lə=tɑ̃=lə=ʁə=pu=sə=de=ʒa=paʁ=ly=mi=lja=sjɔ̃=e=lε=ze=pʁə=və 36
mɔ̃=vwa=jaʒəε=lɔ̃=e=mε=pʁɔ=vi=zjɔ̃=nə=mə=pεʁ=mε=tʁɔ̃=pa=da=tɛ̃=dʁə=ma=dεs=ti=na=sjɔ̃=as=te=ʁis=kə=mε=fɔʁ=sə=fε=bli=se=e=la=mɔʁ=mə=də=mɑ̃də 39
e=ʒε=ɑ̃=kɔ=ʁə=dε=pe=ʃe=kə=ʒə=nə=kɔ=nε=pa=as=te=ʁis=kə=a=la=lε=kɔ=nε=kil=swa=sε=kʁε=zu=py=blik 30
kɔməa=la=ε=kle=mɑ̃=ɑ̃=vεʁ=mwa=də=mɛ̃=paʁ=tiʁ=œ̃=de=lε=as=te=ʁis=kə=e=sεʁ=tə=ʒε=pεʁ=sis=te=dɑ̃=mɔ̃=pe=ʃe=e=il=mə=pʁɔ=tεʒə 35
lε=zœ=ʁə=də=mε=ʒuʁ=pa=se=sɑ̃=ʁə=ɡʁε=zas=te=ʁis=kə=sɑ̃=plœʁ=ni=pœʁ=ni=tʁis=tε=sə 23
ʒə=sɥi=səl=ɥi=ki=fεʁ=mə=lε=pɔʁ=tə=zɑ̃=pεʁ=sis=tɑ̃=as=te=ʁis=kə=dɑ̃=la=de=zɔ=be=i=sɑ̃=sə=e=lœj=da=la=mə=ʁə=ɡaʁ=də 34
o=e=ʁœʁ=ze=kʁi=tə=dɑ̃=lɛ̃=su=sjɑ̃=sə=de=zɔʁ=mε=zɑ̃=vɔ=le=as=te=ʁis=kə=o=ʁə=ɡʁε=ki=ʁεs=te=dɑ̃=lə=kœʁ=ki=mə=kɔ̃=symə 34
lε=sə=mwa=mə=la=mɑ̃=te=syʁ=mwa=mε=mə=e=ʁə=ɡʁε=te=as=te=ʁis=kə=ʒə=pa=sə=mɔ̃=tɑ̃=dɑ̃=lə=ʁa=pεl=e=la=tʁis=tε=sə 33
sε=sə=tε=ʁə=pʁo=ʃə=twa=ki=mə=kʁi=tik=zas=te=ʁis=kə=si=ty=kɔ=nε=sε=vʁε=mɑ̃=ma=sit=ɥa=sjɔ̃=ty=mə=tʁu=və=ʁε=dε=zεk=skyzə 34
lε=sə=mwa=vεʁ=se=dε=laʁ=mə=sɑ̃=fɛ̃=as=te=ʁis=kə=pø=ε=tʁə=kə=ly=nə=dεl=lə=mə=de=li=vʁə=ʁa 27
kɔ=mə=si=ʒə=ʒi=zε=paʁ=mi=sε=ʒɑ̃=as=te=ʁis=kə=syʁ=lə=li=e=kə=lœ=ʁə=mɛ̃=mə=ʁə=tuʁ=ne 26
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il=sɔ̃və=nys=za=vεk=œ̃=me=də=sɛ̃=puʁ=mə=swa=ɲe=as=te=ʁis=kəe=ʒə=nə=pɑ̃=sə=pa=kə=la=me=də=si=nə=mə=pʁɔ=fi=tə=ʁa=o=ʒuʁ=dɥi 36
mɔ̃=na=ɡɔ=ni=sɛ̃=tɑ̃=si=fi=e=la=mɔʁ=mɑ̃=tʁε=nə=as=te=ʁis=kə=də=ʃa=kə=vε=nə=sɑ̃=du=sœ=ʁə=e=sɑ̃=bɔ̃=te 31
ɔ̃=na=ʁə=ti=ʁe=mɔ̃=na=mə=dɑ̃=sɔ̃=dεʁ=nje=su=flə=as=te=ʁis=kə=e=ma=sa=li=və=ε=də=vənɥ=a=mε=ʁə=dɑ̃=mɔ̃=dεʁ=nje=ʁalə 34
il=mɔ̃=fεʁ=me=lε=zi=ø=ze=sɔ̃=tus=paʁ=ti=zas=te=ʁis=kə=a=pʁε=lə=de=zεs=pwaʁ=il=zɔ̃=fε=le=fɔʁ=da=ʃə=te=lə=lɛ̃=səl 33
lə=mε=jœ=ʁə=dɑ̃=tʁə=ø=sε=lə=ve=a=vεk=ɑ̃=pʁə=sə=mɑ̃=as=te=ʁis=kə=vεʁ=lə=la=vœʁ=dε=mɔʁ=za=fɛ̃=də=mə=la=ve 32
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œ̃=nɔ=mə=paʁ=mi=ø=zε=və=ny=e=ma=de=pu=j=e=as=te=ʁis=kə=də=mε=vε=tə=mɑ̃=ma=mi=za=ny=e=ma=lε=se 32
il=mɔ̃=a=lɔ̃=ʒe=syʁ=lε=fœ=jə=zas=te=ʁis=kə=e=o=də=sy=də=mwa=lə=myʁ=my=ʁə=də=lo=ki=mə=la=və 29
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il=mɔ̃-a=bi=j=e=dœ̃=vε=tə=mɑ̃=sɑ̃=mɑ̃=ʃə=as=te=ʁis=kə=e=lɔʁ=skil=ma=ɑ̃=bo=me=ʒə=na=vε=plys=kə=sə=la=puʁ=mwa 33
il=mɔ̃=sɔʁ=tidə=sə=ba=mɔ̃=də=de=zɔ=le=as=te=ʁis=kə=dε=tʁə=paʁ=ti=sɑ̃=pʁɔ=vi=zjɔ̃=ki=mə=pεʁ=mε=te=da=tɛ̃=dʁə=ma=dεs=ti=na=sjɔ̃ 36
mɔ̃=pɔʁ=te=syʁ=lœ=ʁə=ze=po=lə=ka=tʁə=as=te=ʁis=kə=paʁ=mi=lε=zɔ=mə=ze=də=ʁj=ε=ʁə=mwa=lə=kɔ̃=vwa=fy=ne=ʁε=ʁə 33
il=mɔ̃=a=mə=ne=o=mi=ʁab=e=sə=sɔ̃=mi=zas=te=ʁis=kə=də=ʁj=ε=ʁə=li=mam=ki=a=pʁj=e=pɥi=ma=fε=sε=za=dj=ø 33
il=zɔ̃=a=kɔ̃=pli=syʁ=mwa=y=nə=pʁi=jεʁ=sɑ̃=ʁy=ky=as=te=ʁis=kə=ni=sy=ʒyd=ɑ̃=nεs=pe=ʁɑ̃=ka=la=mə=fə=ʁa=mi=ze=ʁi=kɔʁdə 34
il=mɔ̃=de=sɑ̃=dy=du=sə=mɑ̃=dɑ̃=ma=tɔ̃=bə=as=te=ʁis=kə=e=lœ̃=dɑ̃=tʁə=ø=sε=ta=vɑ̃=se=puʁ=mi=de=po=ze 30
il=a=de=vwa=le=mɔ̃=vi=za=ʒə=puʁ=mə=vwaʁ=as=te=ʁis=kə=e=lε=laʁ=mə=ku=lε=ʁe=də=sε=zi=ø=ze=mə=nwa=j=ε=ʁe 33
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e=il=di=ku=vʁe=lə=də=te=ʁəe=pʁɔ=fi=te=zas=te=ʁiskə=də=la=mεjə=ʁə=ʁe=kɔ̃=pɑ̃=sə=dy=mi=ze=ʁi=kɔʁ=djø=ki=pɔ=sε=də=tus=lε=bjɛ̃=fε 37
dɑ̃=lε=te=nε=bʁə=də=la=tɔ̃=bə=pa=də=mε=ʁə=as=te=ʁis=kə=ni=də=pε=ʁə=tɑ̃=dʁə=ni=də=fʁε=ʁə=ki=mə=tjε=nə=kɔ̃=pa=ɲi 34
ʒε=e=te=e=fʁε=j=e=paʁ=sə=kə=mɔ̃=nœj=a=vy=as=te=ʁis=kə=də=lɔ=ʁœ=ʁə=də=sə=ki=ma=ʁi=vε 28
də=sə=kə=ʒə=vε=di=ʁə=a=mun=kiʁ=e=na=kiʁ=as=te=ʁis=kə=sεʁ=tə=sə=la=εm=a=te=ʁi=fj=e=e=e=pu=vɑ̃=te 32
il=ma=si=ʁe=e=sa=ʃaʁ=nε=ʁe=dɑ̃=lœʁ=ɛ̃=te=ʁɔ=ɡa=sjɔ̃=as=te=ʁiskə=ʒə=nε=pεʁ=sɔ=nə=do=tʁə=kə=twa=mɔ̃=djø=ki=pɥi=sə=mə=li=be=ʁe 37
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ɑ̃=ʁə=və=nɑ̃=lε=pʁo=ʃə=sə=sɔ̃=paʁ=ta=ʒe=mε=bj=ɛ̃=zas=te=ʁis=kə=mɔ̃=faʁ=do=ε=po=ze=syʁ=mɔ̃=do=ze=pε=zə=syʁ=mwa 33
mɔ̃=ne=puzə=a=pʁi=zœ̃=no=tʁə=ma=ʁi=a=ma=pla=sə=as=te=ʁis=kə=e=lɥi=a=dɔ=ne=lə=kɔ̃=tʁo=lə=dε=bjɛ̃=ze=də=la=mε=zɔ̃ 34
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nə=swa=dɔ̃k=pa=tʁɔ̃=pe=paʁ=la=vi=di=si=ba=e=sa=pa=ʁyʁəas=te=ʁis=kə=e=ʁə=ɡaʁ=də=sə=kεllə=fε=a=la=fa=mi=jə=e=o=fwa=je 35
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o=a=mə=ma=lœʁ=a=twa=ʁə=pɛ̃=twa=e=fε=y=nə=bɔ=nə=œ=vʁə=a=fɛ̃=kə=ty=swa=ʁe=kɔ̃=pɑ̃=se=a=pʁε=la=mɔʁ=paʁ=œ̃=bjɛ̃ 34
e=kə=lε=pʁi=jεʁ=swa=syʁ=nɔ=tʁə=mε=tʁə=syʁ=tu=sə=kə=le=klεʁ=i=ly=mi=nə=o=ʃam=e=o=i=e=mɛ̃ 28
e=la=lwɑ̃ʒəε=ta=a=la=ki=nu=fε=a=tɛ̃=dʁə=lə=swaʁ=e=lə=ma=tɛ̃=as=te=ʁis=kə=dɑ̃=lə=bjɛ̃=lə=paʁ=dɔ̃=la=bjɛ̃=fə=zɑ̃=sə=e=lε=fa=vœʁ 37
Récompense
Poesie sans commentaire
28/03/2024Poeme-France
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Poème Mort
Du 13/02/2014 18:38
L'écrit contient 964 mots qui sont répartis dans 47 strophes.