Poème:La Lumière Du Destin

Mes yeux brûlent dans cette pièce suffocante…
Mon corps hurle, use les liesses encombrantes,
La nuit mue doucement, maintenant tout sera différent ;
La pluie sombrera, fusionnant avec la cruauté du sang !

Mon corps se crispe, mon sang sort,
Il coule en dehors de mon corps.
J’ai froid, je tremble de partout,
Et la je deviens comme doux.

Le ressentis sucré du cracha, de l’acide dégoulinant…
Le vautour noir se posa, de ses yeux obscurs troublant,
Il me guettait toujours plus loin, toujours plus serein.
L’animal sourd mais malin, s’amusait sans rien !

Mon cœur commence a partir,
Mais je n’arrive pas encore a mourir.
Un mal de tête arrive,
Et je suis très pensive

Tout se détruis, tout s’unis pour que je m’envole vers l’inconnu,
Là où vécurent tout mes rêves d’avant, seule a présent je m’y rend.
Il y eut une vie dans tout infini, mais quel fut mon rôle sans vue ?
Ce goût amer, cette sève, cueille le souffle du vent cerné de sang…

Je commence à disparaître,
Et je regarde par la fenêtre.
Je ne vois plus que du blanc,
Je suis morte en me regardant.