Poème:M. F

Je ne sais quoi lui dire. Je ne sais par quoi commencé. Face à elle je perds mes moyens. L’absence de toute compréhension est présente en moi. Rationnelle n’est pas cette situation. Explication je ne trouve pas. Pourtant j’ai aimée tant de femme. Cette légende est donc vraie. Cette femme existerait donc. Femme qui aurait tout contrôle sur les penseurs, les rêveurs, les idéalistes, les personnes sensible a ce qui est beau. Femme dont la grandeur et la beauté n’ont pu être associe a un nom pour la désignée. D’égale elle n’avait pas parmi les déesses.
Mortel elle n’était pas.
Déesse elle n’était pas.
Au dessus de ce rang elle était.
Divine elle était.
Diviniser elle était.
Divinatoire était ces formes.
La vision de cette femme est réservée au dieu. Le simple mortel que je suis ne peut avoir ce privilège suprême.
Tant hommes ont bravés les océans, les mers, le ciel, la terre nul n’a eu ce privilège.
Est-ce l’escapade de mon esprit qui me joue des tours ?
Ou trouver la force, l’intelligence et les mots pour lui dire de devenir ma musée.
Toute cohérence est absente de moi.
De moi je suis absent.
Dieu des poètes vient à mon aide.