Poème:Carnet De Voyage

Je me lèves aux aurore car je ne peux réaliser
Qu’aujourd’hui mon rêve va commencer.
Il est quatre heure du matin lorsque je réveille ma sœur,
Ses cheveux éparpillés forme alors un écrin doré,
Et protége son visage qui plait tant à mon cœur.
Elle minaude mais se lève et je sais qu’au fond d’elle
Elle n’a pas encore conscience
De notre fabuleuse chance.
Elle se prépare et se parfume de cannelle,
Puis prête elle me sourit.
« Je suis belle ? » Qu’elle me dit. .
Et silencieusement je ris.
Il faut maintenant aller au restaurant
Pour pouvoir prendre notre déjeuner.
Et c’est le visage ensoleillé
Qu’elle descend les marches gracieusement.

Nous attendons maintenant dans l’entrée,
La navette qui doit arriver,
Vérifions les derniers papiers
Et si nous avons nos billets.
Ma sœur est endormit dans les coussins,
Sur un fauteuil, quand le bus arrive enfin.
Il nous conduit à l’aéroport.
Je sers ma sœur encore assoupi
Et caresse ses boucles d’or.
Il faut la réveiller, tant pis…

Dans les couloirs du terminal,
La porte « international »
Nous renseigne de notre erreur.
Et dehors le ciel pleur.
Et au haut-parleur,
L’on entend des destinations exquises.
Nous devons aller à paris, puis à Venise.
Et les vols intérieur
Sont de l’autre coté du bâtiment…

Nous embarquons à bort de l’avion
Et ma petite sœur Marion
Commence seulement
A réaliser que notre croisière va débuter.
J’ais le cœur tellement léger
Et je voudrais crier mon bonheur.

Nous arrivons à Paris à huit heures,
Et sommes à l’avance à la porte d’embarquement.
Mais voilà notre bonheur effacé,
Et notre humeur, un peu altéré
Car notre souhaité avion, inlassablement,
S’amuse à nous faire attendre…
Mais il faut le prendre,
De préférence maintenant,
Nous allons rater notre correspondance.
Mon petit cœur invente une danse
Et elle patiente gentiment.

*
Après deux heures d’avion, nous voilà arriver,
Et notre descente vert l’aéroport,
Passe tout près du port
Et des paquebot qu’on peut admirer.
Nous voyons le notre et rêvons d’y être.
Le grand bateau aux fenêtres
Luisant de reflets cyans.
Après tous ces ans,
Passer à rêver de ce voyage
Je crois à un mirage.

***

Ma sœur, les yeux brillant,
D’un sourire étincelant,
Vient me regarder,
Un merci à murmurer,
La croisière peut commencer.