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Poème:Sirène Du Sud

Le Poème

Je suis derrière toi et je te serre dans mes bras. Nous regardons la mer bleue qui scintille sous le soleil. Je caresse ton cou tout en embrassant tes oreilles, je respire ton charmant parfum de lavande. Nous ne parlons pas, seul le cri des mouettes brise le silence.
Nous nous levons, tu me prends par la taille et nous nous dirigeons vers la maison au bord de la plage. Tu prends ma main et tu me guides vers la chambre. Tu es habillée d’une robe légère, des petites sandales aux pieds. Ta robe d’été dévoile tes épaules bronzées, tu ne portes qu’une petite culotte.
Tu poses mes mains sur tes seins, je sens les tétons durcir sous mes doigts, nos lèvres se rapprochent et nous nous embrassons passionnément. Tu as le goût salé de la mer, ta peau respire l’iode marin. Nous sommes soudés l’un à l’autre.
Tu sens mon désir poindre sous mon short, il gonfle au contact de ton ventre. J’ôte ta robe en embrassant ta peau nue, je te porte sur la couche. Tu es couchée, mes lèvres parcourent ton vendre, tes seins, mes mains caressent tes cuisses. Je continue à descendre et j’ôte ta culotte avec mes dents. Hum je sens déjà ton parfum du désir. Tu te relèves en riant et tu me pousses sur le lit, je me retrouve couché à ta place.
Tu es nue devant moi, j’admire les courbes de ton corps. Ensuite, telle une panthère tu rampes vers moi, tu enlèves mon short, et tu distingues sous mon maillot de bain la divine bosse. Je suis toujours couché, tu viens près de moi et tu embrasses ma poitrine, tu me caresses les cuisses et l’aine. Je sens ton souffle chaud sur mon ventre, tu me déshabilles complètement. Tes yeux brillent d’envie à la vue de ma hampe dressée pour toi.
Tes lèvres se rapprochent davantage de ma verge, celle-ci tressaute devant tes yeux. Tu me regardes dans les yeux pendant que ta langue s’enroule autour du gland. Ta bouche ensuite embrasse parcelle par parcelle mon sexe, ta langue taquine les veines violettes gonflées.
Ensuite ta bouche m’avale complètement, je regarde tes lèvres soudées à moi qui vont et viennent, tu m’aspires divinement. Tes mains douces caressent mes bourses. Je sens monter en moi un plaisir inouï, on entend uniquement le bruit de ta succion.
Je grandis encore davantage dans ta bouche, tu sens les soubresauts annonciateurs du plaisir. Mes mains griffent le drap, je me tends comme un arc, mes muscles sont bandés. Je voudrais résister et ne pas lâcher ma semence de suite, mais ta caresse et trop bonne.
Nos regards se croisent à nouveau, je lis dans tes yeux ton ravissement, toi tu accélères encore ta succion, tes joues se creusent davantage et dans un tourbillon de plaisir je sursaute en criant.
Tu sens ta bouche se remplir de ma lave chaude en fusion, tu y recueilles plusieurs jets puissants, tu écartes ta bouche et d’autres giclées atterrissent sur tes seins. J’ai l’impression de me vider complètement, cela dure une éternité.
Toi, tu bois ce nectar en te léchant comme une chatte féline. Ensuite tu te rapproches de moi et nous nous embrassons fougueusement, ta bouche me dévore littéralement. Tu me glisses dans l’oreille : « je savais que tu aimerais, c’est pour toi ».
Ensuite tu remarques que ma vigueur n’a pas baissé, je te glisse dans l’oreille : « j’ai envie de te prendre comme un lion prendrait sa lionne ».
Tu te positionnes à quatre pattes en levrette, j’agrippe par derrière tes fesses de déesse, tu me guides vers ton puis d’amour et d’un coup je te pénètre jusqu’à la garde. Tu es déjà prête à combler mes assauts, je suis dans un nid de miel, nous nous regardons dans le miroir de la chambre.
Mes vas et viens vont de plus en plus profondément en toi, tu te sens complètement remplie, ton ventre se crispe, je m’agrippe à tes hanches pour ne pas ressortir de toi car tu viens à ma rencontre à chaque pénétration, tes fesses claquent contre mon pubis.
Une pellicule de sueur se dépose sur nos corps imbriqués, j’accélère encore mon pistonnage, tu râles, tu halètes, ta respiration est saccadée, tu mords l’oreiller pour étouffer tes rugissements de Lionne. Tout ton corps est en feu, tu sens les vagues de plaisir te submerger, ma hampe cogne très profondément en toi.
Enfin la libération. Nous rugissons ensemble, je me déverse en toi par torrents entiers, tu sens la divine sève chaude inonder ton ventre, ton vagin se crispe pour m’essorer complètement et tu repars vers une autre vague orgasmique tout en hurlant ton plaisir.
Le vent fait voltiger les rideaux de la chambre, nous sommes enlacés et buvons du champagne, je verse mon verre au creux de ton ventre et je lèche ce nectar sur ta peau, j’en déverse l’autre partie entres tes seins et je te bois entièrement.
Balou, en souvenir d’un amour perdu
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PostScriptum

En souvenir d’un amour perdu

Poeme de Balou

Poète Balou

Balou a publié sur le site 5 écrits. Balou est membre du site depuis l'année 2006.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Sirène Du Sudje=suis=der=rière=toi=et=je=te=ser=re=dans=mes=bras=nous=re=gar=dons=la=mer=bleue=qui=s=cin=tille=sous=le=so=leil=je=ca=res=se=ton=cou=tout=en=em=bras=sant=tes=o=rei=lles=je=res=pi=re=ton=char=mant=par=fum=de=la=vande=nous=ne=par=lons=pas=seul=le=cri=des=mouet=tes=bri=se=le=si=lence 71
nous=nous=le=vons=tu=me=prends=par=la=tailleet=nous=nous=di=ri=geons=vers=la=mai=son=au=bord=de=la=plage=tu=prends=ma=main=et=tu=me=guides=vers=la=chambre=tu=es=ha=billée=du=ne=ro=be=lé=gè=re=des=pe=ti=tes=san=da=les=aux=pieds=ta=ro=be=dé=té=dé=voi=le=tes=é=pau=les=bron=zées=tu=ne=por=tes=quu=ne=pe=ti=te=cu=lotte 80
tu=po=ses=mes=mains=sur=tes=seins=je=sens=les=té=tons=dur=cir=sous=mes=doigts=nos=lè=vres=se=rap=pro=chent=et=nous=nous=em=bras=sons=pas=si=on=né=ment=tu=as=le=goût=sa=lé=de=la=mer=ta=peau=res=pi=re=lio=de=ma=rin=nous=som=mes=sou=dés=lun=à=lau=tre 63
tu=sens=mon=dé=sir=poindre=sous=mon=short=il=gon=fleau=con=tact=de=ton=ventre=jô=te=ta=ro=be=en=em=bras=sant=ta=peau=nue=je=te=por=te=sur=la=couche=tu=es=cou=chée=mes=lè=vres=par=cou=rent=ton=ven=dre=tes=seins=mes=mains=ca=res=sent=tes=cuisses=je=con=ti=nue=à=des=cen=dre=et=jô=te=ta=cu=lot=te=a=vec=mes=dents=hum=je=sens=dé=jà=ton=par=fum=du=dé=sir=tu=te=re=lè=ves=en=riant=et=tu=me=pous=ses=sur=le=lit=je=me=re=trou=ve=cou=ché=à=ta=place 113
tu=es=nue=de=vant=moi=jad=mire=les=cour=bes=de=ton=corps=en=sui=te=tel=leu=ne=pan=thè=re=tu=ram=pes=vers=moi=tu=en=lè=ves=mon=short=et=tu=dis=tin=gues=sous=mon=maillot=de=bain=la=di=vi=ne=bosse=je=suis=tou=jours=cou=ché=tu=viens=près=de=moi=et=tu=em=bras=ses=ma=poi=tri=ne=tu=me=ca=res=ses=les=cuis=ses=et=laine=je=sens=ton=souf=fle=chaud=sur=mon=ven=tre=tu=me=dé=sha=billes=com=plè=te=ment=tes=yeux=brillent=den=vie=à=la=vue=de=ma=ham=pe=dres=sée=pour=toi 114
tes=lè=vres=se=rap=pro=chent=da=van=ta=ge=de=ma=ver=ge=cel=le=ci=tres=sau=te=de=vant=tes=y=eux=tu=me=re=gar=des=dans=les=y=eux=pen=dant=que=ta=lan=gue=sen=rou=le=au=tour=du=gland=ta=bou=che=en=sui=te=em=bras=se=par=cel=le=par=par=cel=le=mon=sexe=ta=lan=gue=ta=qui=ne=les=vei=nes=vio=let=tes=gon=flées 80
en=sui=te=ta=bou=che=ma=va=le=com=plè=te=ment=je=re=gar=de=tes=lè=vres=sou=dées=à=moi=qui=vont=et=vien=nent=tu=mas=pi=res=di=vi=ne=ment=tes=mains=dou=ces=ca=res=sent=mes=bour=ses=je=sens=mon=ter=en=moi=un=plai=sir=i=nouï=on=en=tend=u=ni=que=ment=le=bruit=de=ta=suc=ci=on 72
je=gran=dis=en=co=re=da=van=ta=ge=dans=ta=bou=che=tu=sens=les=sou=bre=sauts=an=non=ci=a=teurs=du=plai=sir=mes=mains=grif=fent=le=drap=je=me=tends=com=me=un=arc=mes=mus=cles=sont=ban=dés=je=vou=drais=ré=sis=ter=et=ne=pas=lâ=cher=ma=se=men=ce=de=sui=te=mais=ta=ca=res=se=et=trop=bon=ne 74
nos=re=gards=se=croi=sent=à=nou=veau=je=lis=dans=tes=y=eux=ton=ra=vis=se=ment=toi=tu=ac=cé=lè=res=en=co=re=ta=suc=ci=on=tes=joues=se=creu=sent=da=van=ta=ge=et=dans=un=tour=bil=lon=de=plai=sir=je=sur=sau=te=en=cri=ant 58
tu=sens=ta=bou=che=se=rem=plir=de=ma=la=ve=chau=de=en=fu=si=on=tu=y=re=cuei=lles=plu=si=eurs=jets=puis=sants=tu=é=car=tes=ta=bou=che=et=dau=tres=gi=clées=at=ter=ris=sent=sur=tes=seins=jai=lim=pres=si=on=de=me=vi=der=com=plè=te=ment=ce=la=du=re=u=ne=é=ter=ni=té 71
toi=tu=bois=ce=nec=tar=en=te=lé=chant=com=me=u=ne=chat=te=fé=li=ne=en=sui=te=tu=te=rap=pro=ches=de=moi=et=nous=nous=em=bras=sons=fou=gu=eu=se=ment=ta=bou=che=me=dé=vo=re=lit=té=ra=le=ment=tu=me=glis=ses=dans=lo=rei=lle=je=sa=vais=que=tu=ai=me=rais=cest=pour=toi 71
en=sui=te=tu=re=mar=ques=que=ma=vi=gueur=na=pas=bais=sé=je=te=glis=se=dans=lo=rei=lle=jai=en=vie=de=te=pren=dre=com=me=un=li=on=pren=drait=sa=li=on=ne 41
tu=te=po=si=ti=onnes=à=qua=tre=pat=tes=en=le=vret=te=ja=grip=pe=par=der=riè=re=tes=fes=ses=de=dées=se=tu=me=gui=des=vers=ton=puis=da=mour=et=dun=coup=je=te=pé=nè=tre=jus=quà=la=garde=tu=es=dé=jà=prê=te=à=com=bler=mes=as=sauts=je=suis=dans=un=nid=de=miel=nous=nous=re=gar=dons=dans=le=mi=roir=de=la=chambre 80
mes=vas=et=viens=vont=de=plus=en=plus=pro=fon=dé=ment=en=toi=tu=te=sens=com=plè=te=ment=rem=plie=ton=ven=tre=se=cris=pe=je=ma=grip=pe=à=tes=han=ches=pour=ne=pas=res=sor=tir=de=toi=car=tu=viens=à=ma=ren=con=tre=à=cha=que=pé=né=tra=ti=on=tes=fes=ses=cla=quent=con=tre=mon=pu=bis 72
une=pel=li=cu=le=de=sueur=se=dé=po=se=sur=nos=corps=im=bri=qués=jac=cé=lè=reen=co=re=mon=pis=ton=na=ge=tu=râ=les=tu=ha=lè=tes=ta=res=pi=ra=tion=est=sac=ca=dée=tu=mords=lo=reiller=pour=é=touf=fer=tes=ru=gis=se=ments=de=lionne=tout=ton=corps=est=en=feu=tu=sens=les=va=gues=de=plai=sir=te=sub=mer=ger=ma=ham=pe=co=gne=très=pro=fon=dé=ment=en=toi 89
en=fin=la=li=bé=ra=ti=on=nous=ru=gis=sons=en=sem=ble=je=me=dé=ver=se=en=toi=par=tor=rents=en=ti=ers=tu=sens=la=di=vi=ne=sè=ve=chau=de=i=non=der=ton=ven=tre=ton=va=gin=se=cris=pe=pour=mes=so=rer=com=plè=te=ment=et=tu=re=pars=vers=u=ne=au=tre=va=gue=or=gas=mi=que=tout=en=hur=lant=ton=plai=sir 80
le=vent=fait=vol=ti=ger=les=ri=deaux=de=la=cham=bre=nous=som=mes=en=la=cés=et=bu=vons=du=cham=pa=gne=je=ver=se=mon=ver=re=au=creux=de=ton=ven=tre=et=je=lè=che=ce=nec=tar=sur=ta=peau=jen=dé=ver=se=lau=tre=par=tie=en=tres=tes=seins=et=je=te=bois=en=ti=è=re=ment 69
ba=lou=en=sou=ve=nir=dun=a=mour=per=du 11
Phonétique : Sirène Du Sudʒə sɥi dəʁjεʁə twa e ʒə tə seʁə dɑ̃ mε bʁa. nu ʁəɡaʁdɔ̃ la mεʁ blø ki sɛ̃tijə su lə sɔlεj. ʒə kaʁεsə tɔ̃ ku tut- ɑ̃n- ɑ̃bʁasɑ̃ tεz- ɔʁεjə, ʒə ʁεspiʁə tɔ̃ ʃaʁmɑ̃ paʁfœ̃ də lavɑ̃də. nu nə paʁlɔ̃ pa, səl lə kʁi dε muεtə bʁizə lə silɑ̃sə.
nu nu ləvɔ̃, ty mə pʁɑ̃ paʁ la tajə e nu nu diʁiʒɔ̃ vεʁ la mεzɔ̃ o bɔʁ də la plaʒə. ty pʁɑ̃ ma mɛ̃ e ty mə ɡidə vεʁ la ʃɑ̃bʁə. ty ε-abije dynə ʁɔbə leʒεʁə, dε pətitə sɑ̃daləz- o pje. ta ʁɔbə dete devwalə tεz- epolə bʁɔ̃ze, ty nə pɔʁtə- kynə pətitə kylɔtə.
ty pozə mε mɛ̃ syʁ tε sɛ̃, ʒə sɑ̃s lε tetɔ̃ dyʁsiʁ su mε dwa, no lεvʁə- sə ʁapʁoʃe e nu nuz- ɑ̃bʁasɔ̃ pasjɔnemɑ̃. ty a lə ɡu sale də la mεʁ, ta po ʁεspiʁə ljɔdə maʁɛ̃. nu sɔmə sude lœ̃n- a lotʁə.
ty sɑ̃s mɔ̃ deziʁ pwɛ̃dʁə su mɔ̃ ʃɔʁ, il ɡɔ̃flə o kɔ̃takt də tɔ̃ vɑ̃tʁə. ʒotə ta ʁɔbə ɑ̃n- ɑ̃bʁasɑ̃ ta po nɥ, ʒə tə pɔʁtə syʁ la kuʃə. ty ε kuʃe, mε lεvʁə- paʁkuʁe tɔ̃ vɑ̃dʁə, tε sɛ̃, mε mɛ̃ kaʁəse tε kɥisə. ʒə kɔ̃tinɥ a desɑ̃dʁə e ʒotə ta kylɔtə avεk mε dɑ̃. ɔm ʒə sɑ̃s deʒa tɔ̃ paʁfœ̃ dy deziʁ. ty tə ʁəlεvəz- ɑ̃ ʁjɑ̃ e ty mə pusə syʁ lə li, ʒə mə ʁətʁuvə kuʃe a ta plasə.
ty ε nɥ dəvɑ̃ mwa, ʒadmiʁə lε kuʁbə- də tɔ̃ kɔʁ. ɑ̃sɥitə, tεllə ynə pɑ̃tεʁə ty ʁɑ̃pə vεʁ mwa, ty ɑ̃lεvə mɔ̃ ʃɔʁ, e ty distɛ̃ɡ su mɔ̃ majo də bɛ̃ la divinə bɔsə. ʒə sɥi tuʒuʁ kuʃe, ty vjɛ̃ pʁε də mwa e ty ɑ̃bʁasə ma pwatʁinə, ty mə kaʁesə lε kɥisəz- e lεnə. ʒə sɑ̃s tɔ̃ suflə ʃo syʁ mɔ̃ vɑ̃tʁə, ty mə dezabijə kɔ̃plεtəmɑ̃. tεz- iø bʁije dɑ̃vi a la vɥ də ma-ɑ̃pə dʁese puʁ twa.
tε lεvʁə- sə ʁapʁoʃe davɑ̃taʒə də ma vεʁʒə, sεllə si tʁəsotə dəvɑ̃ tεz- iø. ty mə ʁəɡaʁdə- dɑ̃ lεz- iø pɑ̃dɑ̃ kə ta lɑ̃ɡ sɑ̃ʁulə otuʁ dy ɡlɑ̃d. ta buʃə ɑ̃sɥitə ɑ̃bʁasə paʁsεllə paʁ paʁsεllə mɔ̃ sεksə, ta lɑ̃ɡ takinə lε vεnə vjɔlεtə ɡɔ̃fle.
ɑ̃sɥitə ta buʃə mavalə kɔ̃plεtəmɑ̃, ʒə ʁəɡaʁdə tε lεvʁə- sudez- a mwa ki vɔ̃ e vjεne, ty maspiʁə divinəmɑ̃. tε mɛ̃ dusə kaʁəse mε buʁsə. ʒə sɑ̃s mɔ̃te ɑ̃ mwa œ̃ plεziʁ inui, ɔ̃n- ɑ̃tɑ̃t- ynikəmɑ̃ lə bʁɥi də ta syksjɔ̃.
ʒə ɡʁɑ̃diz- ɑ̃kɔʁə davɑ̃taʒə dɑ̃ ta buʃə, ty sɑ̃s lε subʁəzoz- anɔ̃sjatœʁ dy plεziʁ. mε mɛ̃ ɡʁife lə dʁa, ʒə mə tɑ̃ kɔmə œ̃n- aʁk, mε mysklə sɔ̃ bɑ̃de. ʒə vudʁε ʁeziste e nə pa laʃe ma səmɑ̃sə də sɥitə, mε ta kaʁεsə e tʁo bɔnə.
no ʁəɡaʁd sə kʁwaze a nuvo, ʒə li dɑ̃ tεz- iø tɔ̃ ʁavisəmɑ̃, twa ty akselεʁəz- ɑ̃kɔʁə ta syksjɔ̃, tε ʒu sə kʁøze davɑ̃taʒə e dɑ̃z- œ̃ tuʁbijɔ̃ də plεziʁ ʒə syʁsotə ɑ̃ kʁjɑ̃.
ty sɑ̃s ta buʃə sə ʁɑ̃pliʁ də ma lavə ʃodə ɑ̃ fyzjɔ̃, ty i ʁəkœjə plyzjœʁ ʒεt pɥisɑ̃, ty ekaʁtə- ta buʃə e dotʁə- ʒiklez- ateʁise syʁ tε sɛ̃. ʒε lɛ̃pʁesjɔ̃ də mə vide kɔ̃plεtəmɑ̃, səla dyʁə ynə etεʁnite.
twa, ty bwa sə nεktaʁ ɑ̃ tə leʃɑ̃ kɔmə ynə ʃatə felinə. ɑ̃sɥitə ty tə ʁapʁoʃə də mwa e nu nuz- ɑ̃bʁasɔ̃ fuɡøzəmɑ̃, ta buʃə mə devɔʁə liteʁaləmɑ̃. ty mə ɡlisə dɑ̃ lɔʁεjə : « ʒə savε kə ty εməʁε, sε puʁ twa ».
ɑ̃sɥitə ty ʁəmaʁk kə ma viɡœʁ na pa bεse, ʒə tə ɡlisə dɑ̃ lɔʁεjə : « ʒε ɑ̃vi də tə pʁɑ̃dʁə kɔmə œ̃ ljɔ̃ pʁɑ̃dʁε sa ljɔnə ».
ty tə pozisjɔnəz- a katʁə patəz- ɑ̃ ləvʁεtə, ʒaɡʁipə paʁ dəʁjεʁə tε fesə də deεsə, ty mə ɡidə vεʁ tɔ̃ pɥi damuʁ e dœ̃ ku ʒə tə penεtʁə ʒyska la ɡaʁdə. ty ε deʒa pʁεtə a kɔ̃ble mεz- aso, ʒə sɥi dɑ̃z- œ̃ nid də mjεl, nu nu ʁəɡaʁdɔ̃ dɑ̃ lə miʁwaʁ də la ʃɑ̃bʁə.
mε va e vjɛ̃ vɔ̃ də plysz- ɑ̃ plys pʁɔfɔ̃demɑ̃ ɑ̃ twa, ty tə sɑ̃s kɔ̃plεtəmɑ̃ ʁɑ̃pli, tɔ̃ vɑ̃tʁə sə kʁispə, ʒə maɡʁipə a tεz- ɑ̃ʃə puʁ nə pa ʁəsɔʁtiʁ də twa kaʁ ty vjɛ̃z- a ma ʁɑ̃kɔ̃tʁə a ʃakə penetʁasjɔ̃, tε fesə klake kɔ̃tʁə mɔ̃ pybi.
ynə pεllikylə də sɥœʁ sə depozə syʁ no kɔʁz- ɛ̃bʁike, ʒakselεʁə ɑ̃kɔʁə mɔ̃ pistɔnaʒə, ty ʁalə, ty-alεtə, ta ʁεspiʁasjɔ̃ ε sakade, ty mɔʁd lɔʁεje puʁ etufe tε ʁyʒisəmɑ̃ də ljɔnə. tu tɔ̃ kɔʁz- εt- ɑ̃ fø, ty sɑ̃s lε vaɡ də plεziʁ tə sybmεʁʒe, ma-ɑ̃pə kɔɲə tʁε pʁɔfɔ̃demɑ̃ ɑ̃ twa.
ɑ̃fɛ̃ la libeʁasjɔ̃. nu ʁyʒisɔ̃z- ɑ̃sɑ̃blə, ʒə mə devεʁsə ɑ̃ twa paʁ tɔʁɑ̃z- ɑ̃tje, ty sɑ̃s la divinə sεvə ʃodə inɔ̃de tɔ̃ vɑ̃tʁə, tɔ̃ vaʒɛ̃ sə kʁispə puʁ mesɔʁe kɔ̃plεtəmɑ̃ e ty ʁəpaʁ vεʁz- ynə otʁə vaɡ ɔʁɡasmikə tut- ɑ̃n- yʁlɑ̃ tɔ̃ plεziʁ.
lə vɑ̃ fε vɔltiʒe lε ʁido də la ʃɑ̃bʁə, nu sɔməz- ɑ̃lasez- e byvɔ̃ dy ʃɑ̃paɲə, ʒə vεʁsə mɔ̃ veʁə o kʁø də tɔ̃ vɑ̃tʁə e ʒə lεʃə sə nεktaʁ syʁ ta po, ʒɑ̃ devεʁsə lotʁə paʁti ɑ̃tʁə- tε sɛ̃z- e ʒə tə bwaz- ɑ̃tjεʁəmɑ̃.
balu, ɑ̃ suvəniʁ dœ̃n- amuʁ pεʁdy
Syllabes Phonétique : Sirène Du Sudʒə=sɥi=də=ʁjε=ʁə=twa=e=ʒə=tə=se=ʁə=dɑ̃=mε=bʁa=nu=ʁə=ɡaʁ=dɔ̃=la=mεʁ=blø=ki=sɛ̃=ti=jə=su=lə=sɔ=lεj=ʒə=ka=ʁε=sə=tɔ̃=ku=tu=tɑ̃=nɑ̃=bʁa=sɑ̃=tε=zɔ=ʁε=jə=ʒə=ʁεs=pi=ʁə=tɔ̃=ʃaʁ=mɑ̃=paʁ=fœ̃=də=la=vɑ̃=də=nu=nə=paʁ=lɔ̃=pa=səl=lə=kʁi=dε=mu=ε=tə=bʁi=zə=lə=si=lɑ̃sə 74
nu=nulə=vɔ̃=ty=mə=pʁɑ̃=paʁ=la=tajəe=nu=nu=di=ʁi=ʒɔ̃=vεʁ=la=mε=zɔ̃=o=bɔʁ=də=la=pla=ʒə=ty=pʁɑ̃=ma=mɛ̃=e=ty=mə=ɡi=də=vεʁ=la=ʃɑ̃=bʁə=ty=ε-a=bi=je=dy=nə=ʁɔ=bə=le=ʒε=ʁə=dε=pə=ti=tə=sɑ̃=da=lə=zo=pje=ta=ʁɔ=bə=de=te=de=vwa=lə=tε=ze=po=lə=bʁɔ̃=ze=ty=nə=pɔʁ=tə=ky=nə=pə=ti=tə=ky=lɔtə 83
ty=po=zə=mε=mɛ̃=syʁ=tε=sɛ̃=ʒə=sɑ̃s=lε=te=tɔ̃=dyʁ=siʁ=su=mε=dwa=no=lε=vʁə=sə=ʁa=pʁo=ʃe=e=nu=nu=zɑ̃=bʁa=sɔ̃=pa=sj=ɔ=ne=mɑ̃=ty=a=lə=ɡu=sa=le=də=la=mεʁ=ta=po=ʁεs=pi=ʁə=ljɔ=də=ma=ʁɛ̃=nu=sɔ=mə=su=de=lœ̃=na=lo=tʁə 63
ty=sɑ̃s=mɔ̃=de=ziʁ=pwɛ̃dʁə=su=mɔ̃=ʃɔʁ=il=ɡɔ̃=fləo=kɔ̃=takt=də=tɔ̃=vɑ̃=tʁə=ʒo=tə=ta=ʁɔ=bə=ɑ̃=nɑ̃=bʁa=sɑ̃=ta=po=nɥ=ʒə=tə=pɔʁ=tə=syʁ=la=ku=ʃə=ty=ε=ku=ʃe=mε=lε=vʁə=paʁ=ku=ʁe=tɔ̃=vɑ̃=dʁə=tε=sɛ̃=mε=mɛ̃=ka=ʁə=se=tε=kɥi=sə=ʒə=kɔ̃=tinɥ=a=de=sɑ̃=dʁə=e=ʒo=tə=ta=ky=lɔ=tə=a=vεk=mε=dɑ̃=ɔm=ʒə=sɑ̃s=de=ʒa=tɔ̃=paʁ=fœ̃=dy=de=ziʁ=ty=tə=ʁə=lε=və=zɑ̃=ʁjɑ̃=e=ty=mə=pu=sə=syʁ=lə=li=ʒə=mə=ʁə=tʁu=və=ku=ʃe=a=ta=plasə 115
ty=ε=nɥ=də=vɑ̃=mwa=ʒad=miʁə=lε=kuʁ=bə=də=tɔ̃=kɔʁ=ɑ̃s=ɥi=tə=tεl=ləy=nə=pɑ̃=tε=ʁə=ty=ʁɑ̃=pə=vεʁ=mwa=ty=ɑ̃=lε=və=mɔ̃=ʃɔʁ=e=ty=dis=tɛ̃ɡ=su=mɔ̃=ma=jo=də=bɛ̃=la=di=vi=nə=bɔ=sə=ʒə=sɥi=tu=ʒuʁ=ku=ʃe=ty=vjɛ̃=pʁε=də=mwa=e=ty=ɑ̃=bʁa=sə=ma=pwa=tʁi=nə=ty=mə=ka=ʁe=sə=lε=kɥi=sə=ze=lε=nə=ʒə=sɑ̃s=tɔ̃=su=flə=ʃo=syʁ=mɔ̃=vɑ̃=tʁə=ty=mə=de=za=bi=jə=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=tε=ziø=bʁi=je=dɑ̃=vi=a=la=vɥ=də=ma-ɑ̃=pə=dʁe=se=puʁ=twa 118
tε=lεvʁə=sə=ʁa=pʁo=ʃe=da=vɑ̃=ta=ʒə=də=ma=vεʁ=ʒə=sεl=lə=si=tʁə=so=tə=də=vɑ̃=tε=zi=ø=ty=mə=ʁə=ɡaʁ=də=dɑ̃=lε=zi=ø=pɑ̃=dɑ̃=kə=ta=lɑ̃ɡ=sɑ̃=ʁu=lə=o=tuʁ=dy=ɡlɑ̃d=ta=bu=ʃə=ɑ̃s=ɥi=tə=ɑ̃=bʁa=sə=paʁ=sεl=lə=paʁ=paʁ=sεl=lə=mɔ̃=sεk=sə=ta=lɑ̃ɡ=ta=ki=nə=lε=vε=nə=vjɔ=lε=tə=ɡɔ̃=fle 78
ɑ̃s=ɥi=tə=ta=bu=ʃə=ma=va=lə=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=ʒə=ʁə=ɡaʁ=də=tε=lε=vʁə=su=de=za=mwa=ki=vɔ̃=e=vj=ε=ne=ty=mas=pi=ʁə=di=vi=nə=mɑ̃=tε=mɛ̃=du=sə=ka=ʁə=se=mε=buʁ=sə=ʒə=sɑ̃s=mɔ̃=te=ɑ̃=mwa=œ̃=plε=ziʁ=i=nu=i=ɔ̃=nɑ̃=tɑ̃=ty=ni=kə=mɑ̃=lə=bʁɥi=də=ta=syk=sj=ɔ̃ 74
ʒə=ɡʁɑ̃=di=zɑ̃=kɔ=ʁə=da=vɑ̃=ta=ʒə=dɑ̃=ta=bu=ʃə=ty=sɑ̃s=lε=su=bʁə=zo=za=nɔ̃=sj=a=tœʁ=dy=plε=ziʁ=mε=mɛ̃=ɡʁi=fe=lə=dʁa=ʒə=mə=tɑ̃=kɔ=mə=œ̃=naʁk=mε=mys=klə=sɔ̃=bɑ̃=de=ʒə=vu=dʁε=ʁe=zis=te=e=nə=pa=la=ʃe=ma=sə=mɑ̃=sə=də=sɥi=tə=mε=ta=ka=ʁε=sə=e=tʁo=bɔ=nə 74
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ty=sɑ̃s=ta=bu=ʃə=sə=ʁɑ̃=pliʁ=də=ma=la=və=ʃo=də=ɑ̃=fy=zj=ɔ̃=ty=i=ʁə=kœ=jə=ply=zjœ=ʁə=ʒεt=pɥi=sɑ̃=ty=e=kaʁ=tə=ta=bu=ʃə=e=do=tʁə=ʒi=kle=za=te=ʁi=se=syʁ=tε=sɛ̃=ʒε=lɛ̃=pʁe=sj=ɔ̃=də=mə=vi=de=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=sə=la=dy=ʁə=y=nə=e=tεʁ=ni=te 71
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ɑ̃s=ɥi=tə=ty=ʁə=maʁk=kə=ma=vi=ɡœ=ʁə=na=pa=bε=se=ʒə=tə=ɡli=sə=dɑ̃=lɔ=ʁε=jə=ʒε=ɑ̃=vi=də=tə=pʁɑ̃=dʁə=kɔ=mə=œ̃=lj=ɔ̃=pʁɑ̃=dʁε=sa=ljɔ=nə 40
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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
06/09/2006 08:28Hubalex

dommage que tu l as perdu on y sent bien l’amour des deux cotés ton poeme et encore tres charmant 😚 😚 ^^ ^^

Auteur de Poésie
06/09/2006 13:06Balou

elle m’a tant inspiré et donné. . . . .

Poème Amour
Du 06/09/2006 07:59

L'écrit contient 861 mots qui sont répartis dans 1 strophes.