Univers de poésie d'un auteur

Poème:Belle Hellène

Le Poème

Tu es là assise sur la couche, je suis près de toi et mon regard se noie dans la pureté de tes yeux en amande. Tu prends ma main, tu déposes un baiser au creux de la paume, ensuite tu déposes ma main sur ton ventre et tu fermes les yeux.

Tu t’allonges tout en gardant ma main dans la tienne. Je te prends dans mes bras, j’ôte délicatement tous tes vêtements, tu souris en me regardant faire. Je te sens très excitée, ton parfum m’enivre, tes brunes cuisses je les embrasse, ta soyeuse toison attire ma bouche, j’adore ce nectar annonçant ton envie de moi.

Tu es nue, je suis encore habillé, tu te fais un malin plaisir de me déshabiller.

Là debout devant toi, livré à tes caresses, à ta bouche, à tes mains, tu ôtes mon caleçon très doucement.
Tes yeux brillent, ma hampe tressaute devant ta bouche, je ferme les yeux d’aise lorsque tes lèvres se déposent sur mon gland, je sens ton souffle chaud, tes mains me caressant amoureusement mes cuisses et mon membre.

Ta langue me titille, je continue à grossir sous tes caresses de déesse, tu admires l’objet de ton désir, celui-ci aussi te désire amoureusement.
Tout mon corps, toute mon âme a envie de toi. Nous ne parlons pas, je m’approche de toi et te porte dans mes bras pour te déposer sur la couche.

Nos cuisses s’entremêlent, nos mains caressent nos corps, nos lèvres sont soudées dans un baiser passionné.
Tu me pousses doucement, je me retrouve couché sur le dos face à toi, tu t’agenouilles entre mes cuisses, et tu reprends ta délicieuse caresse. Oh mon Amie tes lèvres douces m’enserrent, ta langue virevolte partout, ta brune chevelure va et vient sur mon ventre, je gémis, je sens le feu du plaisir remonter entre mes reins, ta bouche se fait encore plus aspirante car tu ressens les soubresauts annonciateurs du plaisir dans ma hampe.

Ta délicieuse bouche est soudée à moi, je n’en puis plus, je voulais te résister mais ta caresse est trop délicieuse.
Je râle, je m’arc-boute, un spasme me traverse au moment de la divine libération, une exposition de plaisir irradie mon âme et mon corps. Je me déverse à longs jets, je hurle ton prénom, oui je hurle car la violence, la puissance de ce plaisir que tu me donnes démultiplie mes sensations.

Ma chaude sève envahit ta bouche, tu la bois goulûment.

Tes yeux brillent toujours, je m’approche de toi et nous nous embrassons, je te glisse un « merci » dans le creux de l’oreille, tu prends ma tête entre tes mains en me redonnant un baiser passionné, et tu me dis « c’est pour toi, rien que pour toi, je savais que tu adorerai ».

Je te redonne ton baiser, nos langues s’enroulent, elles jouent avec nos bouches.
Tu prends ma hampe entre tes mains, ravie de constater que ma vigueur n’a pas faiblît, j’embrasse tes seins, je suce tes tétons qui durcissent joliment.

Je sens que tu as envie de moi, je me couche sur toi, tu me reçois entre tes cuisses, je te pénètre amoureusement. Tu te sens complètement envahie, une douce chaleur irradie ton ventre, tes joues rosissent, tes bras agrippent mes épaules, tes jambes enserrent ma taille, tu râles, tu gémis sous mes coups, j’accélère progressivement mon pistonnage, tu te crispes et enfin tu jouis de bonheur en cascade

La chaleur embrase ton ventre, les tétons de tes seins bourgeonnent. Ma bouche happe les perles de sueur sur ton front. Je continue mes vas et viens, tes ongles griffent mon dos lors de la seconde vague de plaisir qui t’envahit, ta respiration est saccadée, tu manges ma bouche avant de repartir vers une autre vague du Merveilleux.

Nos corps ne forment plus qu’un, une légère pellicule de sueur nous recouvre. Tu me regardes au fond des yeux et tu me dis « je t’aime vas y », cela déclenche un immense plaisir et mon éjaculation en toi. Je me vide complètement en gémissant. Tu sens ma chaude lave inonder ton ventre, tu me mordilles les lobes des oreilles, ton ventre tient à me conserver en toi, tu te contractes comme si tu voulais m’essorer jusqu’à la dernière goutte de sève.

Je me retire doucement, toi tu restes allongée, j’admire cette femme son corps fait pour l’amour, je vois également ton âme dans tes brunes prunelles et j’y lis la joie et l’amour.

Une douce félicité nous envahit. Tu es relevée sur tes coudes, couchée sur le ventre à coté de moi, ta main droite caresse ma poitrine, tes doigts jouent avec les poils, je caresse tes épaules, ma bouche embrasse tes cheveux. Tu relèves la tête et tu me dis « est-ce un rêve ? ». Non te dis-je, nous communiquons, nous échangeons, nous nous donnons de la joie simplement. Nos âmes sont au même niveau, leur communion passe également par le plaisir des sens.
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Poeme de Balou

Poète Balou

Balou a publié sur le site 5 écrits. Balou est membre du site depuis l'année 2006.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Belle Hellènetu=es=là=as=sise=sur=la=couche=je=suis=près=de=toi=et=mon=re=gard=se=noie=dans=la=pu=re=té=de=tes=y=eux=en=a=mande=tu=prends=ma=main=tu=dé=po=ses=un=bai=ser=au=creux=de=la=pau=me=en=sui=te=tu=dé=po=ses=ma=main=sur=ton=ven=tre=et=tu=fer=mes=les=y=eux 68

tu=tal=longes=tout=en=gar=dant=ma=main=dans=la=tienne=je=te=prends=dans=mes=bras=jô=te=dé=li=ca=te=ment=tous=tes=vê=te=ments=tu=sou=ris=en=me=re=gar=dant=faire=je=te=sens=très=ex=ci=tée=ton=par=fum=men=i=vre=tes=bru=nes=cuis=ses=je=les=em=bras=se=ta=soyeu=se=toi=son=at=ti=re=ma=bouche=ja=do=re=ce=nec=tar=an=non=çant=ton=en=vie=de=moi 86

tu=es=nue=je=suis=en=co=re=ha=bil=lé=tu=te=fais=un=ma=lin=plai=sir=de=me=dé=sha=biller 24

là=de=bout=de=vant=toi=li=vré=à=tes=ca=res=ses=à=ta=bou=che=à=tes=mains=tu=ô=tes=mon=ca=le=çon=très=dou=ce=ment 31
tes=y=eux=bril=lent=ma=ham=pe=tres=sau=te=de=vant=ta=bou=che=je=fer=me=les=y=eux=dai=se=lors=que=tes=lè=vres=se=dé=po=sent=sur=mon=gland=je=sens=ton=souf=fle=chaud=tes=mains=me=ca=res=sant=a=mou=reu=se=ment=mes=cuis=ses=et=mon=membre 59

ta=lan=gue=me=ti=ti=lle=je=con=ti=nue=à=gros=sir=sous=tes=ca=res=ses=de=dées=se=tu=ad=mi=res=lob=jet=de=ton=dé=sir=ce=lui=ci=aus=si=te=dé=si=re=a=mou=reu=se=ment 46
tout=mon=corps=tou=te=mon=â=me=a=en=vie=de=toi=nous=ne=par=lons=pas=je=map=pro=che=de=toi=et=te=por=te=dans=mes=bras=pour=te=dé=po=ser=sur=la=cou=che 40

nos=cuis=ses=sen=tre=mê=lent=nos=mains=ca=res=sent=nos=corps=nos=lè=vres=sont=sou=dées=dans=un=bai=ser=pas=si=on=né 28
tu=me=pous=ses=douce=ment=je=me=re=trou=ve=cou=ché=sur=le=dos=fa=ceà=toi=tu=ta=ge=nouilles=en=tre=mes=cuis=ses=et=tu=re=prends=ta=dé=li=cieu=se=ca=resse=oh=mon=a=mie=tes=lè=vres=dou=ces=men=ser=rent=ta=lan=gue=vi=re=vol=te=par=tout=ta=bru=ne=che=ve=lu=re=va=et=vient=sur=mon=ven=tre=je=gé=mis=je=sens=le=feu=du=plai=sir=re=mon=ter=en=tre=mes=reins=ta=bou=che=se=fait=en=co=re=plus=as=pi=ran=te=car=tu=res=sens=les=sou=bre=sauts=an=non=cia=teurs=du=plai=sir=dans=ma=hampe 122

ta=dé=li=cieu=se=bou=che=est=sou=dée=à=moi=je=nen=puis=plus=je=vou=lais=te=ré=sis=ter=mais=ta=ca=res=se=est=trop=dé=li=cieu=se 34
je=râ=le=je=marc=boute=un=s=pas=me=me=tra=ver=seau=mo=ment=de=la=di=vi=ne=li=bé=ra=tion=u=ne=ex=po=si=tion=de=plai=sir=ir=ra=die=mon=â=me=et=mon=corps=je=me=dé=ver=se=à=longs=jets=je=hur=le=ton=pré=nom=oui=je=hur=le=car=la=vio=len=ce=la=puis=san=ce=de=ce=plai=sir=que=tu=me=don=nes=dé=mul=ti=plie=mes=sen=sa=tions 87

ma=chau=de=sè=ve=en=va=hit=ta=bou=che=tu=la=bois=gou=lû=ment 17

tes=yeux=brillent=tou=jours=je=map=proche=de=toi=et=nous=nous=em=bras=sons=je=te=glis=seun=mer=ci=dans=le=creux=de=lo=rei=lle=tu=prends=ma=tê=te=en=tre=tes=mains=en=me=re=don=nant=un=bai=ser=pas=sion=né=et=tu=me=dis=cest=pour=toi=rien=que=pour=toi=je=sa=vais=que=tu=a=do=re=rai 69

je=te=re=don=ne=ton=bai=ser=nos=lan=gues=sen=rou=lent=el=les=jouent=a=vec=nos=bou=ches 22
tu=prends=ma=ham=pe=en=tre=tes=mains=ra=vie=de=cons=ta=ter=que=ma=vi=gueur=na=pas=fai=blît=jem=bras=se=tes=seins=je=su=ce=tes=té=tons=qui=dur=cis=sent=jo=li=ment 41

je=sens=que=tu=as=en=vie=de=moi=je=me=couche=sur=toi=tu=me=re=çois=en=tre=tes=cuis=ses=je=te=pé=nè=trea=mou=reu=se=ment=tu=te=sens=com=plè=te=ment=en=va=hie=u=ne=dou=ce=cha=leur=ir=ra=die=ton=ven=tre=tes=joues=ro=sis=sent=tes=bras=a=grip=pent=mes=é=pau=les=tes=jam=bes=en=ser=rent=ma=taille=tu=râ=les=tu=gé=mis=sous=mes=coups=jac=cé=lè=re=pro=gres=si=ve=ment=mon=pis=ton=na=ge=tu=te=cris=pes=et=en=fin=tu=jouis=de=bon=heur=en=cas=cade 114

la=cha=leur=em=brase=ton=ven=tre=les=té=tons=de=tes=seins=bour=geonnent=ma=bou=che=hap=pe=les=per=les=de=sueur=sur=ton=front=je=con=ti=nue=mes=vas=et=viens=tes=on=gles=grif=fent=mon=dos=lors=de=la=se=con=de=va=gue=de=plai=sir=qui=ten=va=hit=ta=res=pi=ra=tion=est=sac=ca=dée=tu=man=ges=ma=bou=chea=vant=de=re=par=tir=vers=u=ne=au=tre=va=gue=du=mer=veilleux 89

nos=corps=ne=forment=plus=quun=u=ne=lé=gè=re=pel=li=cu=le=de=sueur=nous=re=couvre=tu=me=re=gar=des=au=fond=des=yeux=et=tu=me=dis=je=tai=me=vas=y=ce=la=dé=clen=cheun=im=men=se=plai=sir=et=mon=é=ja=cu=la=tion=en=toi=je=me=vi=de=com=plè=te=ment=en=gé=mis=sant=tu=sens=ma=chau=de=la=ve=i=non=der=ton=ven=tre=tu=me=mor=dilles=les=lo=bes=des=o=rei=lles=ton=ven=tre=tient=à=me=con=ser=ver=en=toi=tu=te=con=trac=tes=com=me=si=tu=vou=lais=mes=so=rer=jus=quà=la=der=niè=re=gout=te=de=sève 128

je=me=re=ti=re=dou=ce=ment=toi=tu=res=tes=al=lon=gée=jad=mi=re=cet=te=fem=me=son=corps=fait=pour=la=mour=je=vois=é=ga=le=ment=ton=â=me=dans=tes=bru=nes=pru=nel=les=et=jy=lis=la=joie=et=la=mour 52

une=dou=ce=fé=li=ci=té=nous=en=va=hit=tu=es=re=le=vée=sur=tes=cou=des=cou=chée=sur=le=ven=treà=co=té=de=moi=ta=main=droi=te=ca=res=se=ma=poi=tri=ne=tes=doigts=jouent=a=vec=les=poils=je=ca=res=se=tes=é=pau=les=ma=bou=che=em=bras=se=tes=che=veux=tu=re=lè=ves=la=tê=te=et=tu=me=dis=est=ce=un=rê=ve=non=te=dis=je=nous=com=mu=ni=quons=nous=é=chan=geons=nous=nous=don=nons=de=la=joie=sim=ple=ment=nos=â=mes=sont=au=mê=me=ni=veau=leur=com=mu=nion=pas=se=é=ga=le=ment=par=le=plai=sir=des=sens 129
Phonétique : Belle Hellènety ε la asizə syʁ la kuʃə, ʒə sɥi pʁε də twa e mɔ̃ ʁəɡaʁ sə nwa dɑ̃ la pyʁəte də tεz- iøz- ɑ̃n- amɑ̃də. ty pʁɑ̃ ma mɛ̃, ty depozəz- œ̃ bεze o kʁø də la pomə, ɑ̃sɥitə ty depozə ma mɛ̃ syʁ tɔ̃ vɑ̃tʁə e ty fεʁmə- lεz- iø.

ty talɔ̃ʒə tut- ɑ̃ ɡaʁdɑ̃ ma mɛ̃ dɑ̃ la tjεnə. ʒə tə pʁɑ̃ dɑ̃ mε bʁa, ʒotə delikatəmɑ̃ tus tε vεtəmɑ̃, ty suʁiz- ɑ̃ mə ʁəɡaʁdɑ̃ fεʁə. ʒə tə sɑ̃s tʁεz- εksite, tɔ̃ paʁfœ̃ mɑ̃nivʁə, tε bʁynə kɥisə ʒə lεz- ɑ̃bʁasə, ta swajøzə twazɔ̃ atiʁə ma buʃə, ʒadɔʁə sə nεktaʁ anɔ̃sɑ̃ tɔ̃n- ɑ̃vi də mwa.

ty ε nɥ, ʒə sɥiz- ɑ̃kɔʁə-abije, ty tə fεz- œ̃ malɛ̃ plεziʁ də mə dezabije.

la dəbu dəvɑ̃ twa, livʁe a tε kaʁesə, a ta buʃə, a tε mɛ̃, ty otə mɔ̃ kaləsɔ̃ tʁε dusəmɑ̃.
tεz- iø bʁije, ma-ɑ̃pə tʁəsotə dəvɑ̃ ta buʃə, ʒə fεʁmə lεz- iø dεzə lɔʁskə tε lεvʁə- sə depoze syʁ mɔ̃ ɡlɑ̃d, ʒə sɑ̃s tɔ̃ suflə ʃo, tε mɛ̃ mə kaʁesɑ̃ amuʁøzəmɑ̃ mε kɥisəz- e mɔ̃ mɑ̃bʁə.

ta lɑ̃ɡ mə titijə, ʒə kɔ̃tinɥ a ɡʁɔsiʁ su tε kaʁesə də deεsə, ty admiʁə lɔbʒε də tɔ̃ deziʁ, səlɥi si osi tə deziʁə amuʁøzəmɑ̃.
tu mɔ̃ kɔʁ, tutə mɔ̃n- amə a ɑ̃vi də twa. nu nə paʁlɔ̃ pa, ʒə mapʁoʃə də twa e tə pɔʁtə dɑ̃ mε bʁa puʁ tə depoze syʁ la kuʃə.

no kɥisə sɑ̃tʁəmεle, no mɛ̃ kaʁəse no kɔʁ, no lεvʁə- sɔ̃ sude dɑ̃z- œ̃ bεze pasjɔne.
ty mə pusə dusəmɑ̃, ʒə mə ʁətʁuvə kuʃe syʁ lə do fasə a twa, ty taʒənujəz- ɑ̃tʁə mε kɥisə, e ty ʁəpʁɑ̃ ta delisjøzə kaʁεsə. ɔ mɔ̃n- ami tε lεvʁə- dusə mɑ̃seʁe, ta lɑ̃ɡ viʁəvɔltə paʁtu, ta bʁynə ʃəvəlyʁə va e vjɛ̃ syʁ mɔ̃ vɑ̃tʁə, ʒə ʒemi, ʒə sɑ̃s lə fø dy plεziʁ ʁəmɔ̃te ɑ̃tʁə mε ʁɛ̃, ta buʃə sə fε ɑ̃kɔʁə plysz- aspiʁɑ̃tə kaʁ ty ʁəsɛ̃ lε subʁəzoz- anɔ̃sjatœʁ dy plεziʁ dɑ̃ ma-ɑ̃pə.

ta delisjøzə buʃə ε sude a mwa, ʒə nɑ̃ pɥi plys, ʒə vulε tə ʁeziste mε ta kaʁεsə ε tʁo delisjøzə.
ʒə ʁalə, ʒə maʁk butə, œ̃ spasmə mə tʁavεʁsə o mɔmɑ̃ də la divinə libeʁasjɔ̃, ynə εkspozisjɔ̃ də plεziʁ iʁadi mɔ̃n- amə e mɔ̃ kɔʁ. ʒə mə devεʁsə a lɔ̃ɡ ʒεt, ʒə yʁlə tɔ̃ pʁenɔ̃, ui ʒə yʁlə kaʁ la vjɔlɑ̃sə, la pɥisɑ̃sə də sə plεziʁ kə ty mə dɔnə demyltipli mε sɑ̃sasjɔ̃.

ma ʃodə sεvə ɑ̃vai ta buʃə, ty la bwa ɡulyme.

tεz- iø bʁije tuʒuʁ, ʒə mapʁoʃə də twa e nu nuz- ɑ̃bʁasɔ̃, ʒə tə ɡlisə yn « mεʁsi » dɑ̃ lə kʁø də lɔʁεjə, ty pʁɑ̃ ma tεtə ɑ̃tʁə tε mɛ̃z- ɑ̃ mə ʁədɔnɑ̃ œ̃ bεze pasjɔne, e ty mə dis « sε puʁ twa, ʁjɛ̃ kə puʁ twa, ʒə savε kə ty adɔʁəʁε ».

ʒə tə ʁədɔnə tɔ̃ bεze, no lɑ̃ɡ sɑ̃ʁule, εllə ʒue avεk no buʃə.
ty pʁɑ̃ ma-ɑ̃pə ɑ̃tʁə tε mɛ̃, ʁavi də kɔ̃state kə ma viɡœʁ na pa fεbli, ʒɑ̃bʁasə tε sɛ̃, ʒə sysə tε tetɔ̃ ki dyʁsise ʒɔlime.

ʒə sɑ̃s kə ty a ɑ̃vi də mwa, ʒə mə kuʃə syʁ twa, ty mə ʁəswaz- ɑ̃tʁə tε kɥisə, ʒə tə penεtʁə amuʁøzəmɑ̃. ty tə sɑ̃s kɔ̃plεtəmɑ̃ ɑ̃vai, ynə dusə ʃalœʁ iʁadi tɔ̃ vɑ̃tʁə, tε ʒu ʁozise, tε bʁaz- aɡʁipe mεz- epolə, tε ʒɑ̃bəz- ɑ̃seʁe ma tajə, ty ʁalə, ty ʒemi su mε ku, ʒakselεʁə pʁɔɡʁesivəmɑ̃ mɔ̃ pistɔnaʒə, ty tə kʁispəz- e ɑ̃fɛ̃ ty ʒui də bɔnœʁ ɑ̃ kaskadə

la ʃalœʁ ɑ̃bʁazə tɔ̃ vɑ̃tʁə, lε tetɔ̃ də tε sɛ̃ buʁʒɔne. ma buʃə-apə lε pεʁlə- də sɥœʁ syʁ tɔ̃ fʁɔ̃. ʒə kɔ̃tinɥ mε va e vjɛ̃, tεz- ɔ̃ɡlə ɡʁife mɔ̃ do lɔʁ də la səɡɔ̃də vaɡ də plεziʁ ki tɑ̃vai, ta ʁεspiʁasjɔ̃ ε sakade, ty mɑ̃ʒə ma buʃə avɑ̃ də ʁəpaʁtiʁ vεʁz- ynə otʁə vaɡ dy mεʁvεjø.

no kɔʁ nə fɔʁme plys kœ̃, ynə leʒεʁə pεllikylə də sɥœʁ nu ʁəkuvʁə. ty mə ʁəɡaʁdəz- o fɔ̃ dεz- iøz- e ty mə dis « ʒə tεmə va i », səla deklɑ̃ʃə œ̃n- imɑ̃sə plεziʁ e mɔ̃n- eʒakylasjɔ̃ ɑ̃ twa. ʒə mə vidə kɔ̃plεtəmɑ̃ ɑ̃ ʒemisɑ̃. ty sɑ̃s ma ʃodə lavə inɔ̃de tɔ̃ vɑ̃tʁə, ty mə mɔʁdijə lε lɔbə dεz- ɔʁεjə, tɔ̃ vɑ̃tʁə tjɛ̃ a mə kɔ̃sεʁve ɑ̃ twa, ty tə kɔ̃tʁaktə kɔmə si ty vulε mesɔʁe ʒyska la dεʁnjεʁə ɡutə də sεvə.

ʒə mə ʁətiʁə dusəmɑ̃, twa ty ʁεstəz- alɔ̃ʒe, ʒadmiʁə sεtə famə sɔ̃ kɔʁ fε puʁ lamuʁ, ʒə vwaz- eɡaləmɑ̃ tɔ̃n- amə dɑ̃ tε bʁynə pʁynεlləz- e ʒi li la ʒwa e lamuʁ.

ynə dusə felisite nuz- ɑ̃vai. ty ε ʁələve syʁ tε kudə, kuʃe syʁ lə vɑ̃tʁə a kɔte də mwa, ta mɛ̃ dʁwatə kaʁεsə ma pwatʁinə, tε dwa ʒue avεk lε pwal, ʒə kaʁεsə tεz- epolə, ma buʃə ɑ̃bʁasə tε ʃəvø. ty ʁəlεvə la tεtə e ty mə dis « εst sə œ̃ ʁεvə ? ». nɔ̃ tə di ʒə, nu kɔmynikɔ̃, nuz- eʃɑ̃ʒɔ̃, nu nu dɔnɔ̃ də la ʒwa sɛ̃pləmɑ̃. noz- amə sɔ̃t- o mεmə nivo, lœʁ kɔmynjɔ̃ pasə eɡaləmɑ̃ paʁ lə plεziʁ dε sɑ̃s.
Syllabes Phonétique : Belle Hellènety=ε=la=a=sizə=syʁ=la=ku=ʃə=ʒə=sɥi=pʁε=də=twa=e=mɔ̃=ʁə=ɡaʁ=sə=nwa=dɑ̃=la=py=ʁə=te=də=tε=zi=ø=zɑ̃=na=mɑ̃=də=ty=pʁɑ̃=ma=mɛ̃=ty=de=po=zə=zœ̃=bε=ze=o=kʁø=də=la=po=mə=ɑ̃s=ɥi=tə=ty=de=po=zə=ma=mɛ̃=syʁ=tɔ̃=vɑ̃=tʁə=e=ty=fεʁ=mə=lε=zi=ø 70

ty=ta=lɔ̃ʒə=tu=tɑ̃=ɡaʁ=dɑ̃=ma=mɛ̃=dɑ̃=la=tjε=nə=ʒə=tə=pʁɑ̃=dɑ̃=mε=bʁa=ʒo=tə=de=li=ka=tə=mɑ̃=tus=tε=vε=tə=mɑ̃=ty=su=ʁi=zɑ̃=mə=ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=fε=ʁə=ʒə=tə=sɑ̃s=tʁε=zεk=si=te=tɔ̃=paʁ=fœ̃=mɑ̃=ni=vʁə=tε=bʁy=nə=kɥi=sə=ʒə=lε=zɑ̃=bʁa=sə=ta=swa=jø=zə=twa=zɔ̃=a=ti=ʁə=ma=bu=ʃə=ʒa=dɔ=ʁə=sə=nεk=taʁ=a=nɔ̃=sɑ̃=tɔ̃=nɑ̃=vi=də=mwa 90

ty=ε=nɥ=ʒə=sɥi=zɑ̃=kɔ=ʁə-a=bi=j=e=ty=tə=fε=zœ̃=ma=lɛ̃=plε=ziʁ=də=mə=de=za=bi=je 26

la=də=bu=də=vɑ̃=twa=li=vʁe=a=tε=ka=ʁe=sə=a=ta=bu=ʃə=a=tε=mɛ̃=ty=o=tə=mɔ̃=ka=lə=sɔ̃=tʁε=du=sə=mɑ̃ 31
tε=zi=ø=bʁi=j=e=ma-ɑ̃=pə=tʁə=so=tə=də=vɑ̃=ta=bu=ʃə=ʒə=fεʁ=mə=lε=zi=ø=dε=zə=lɔʁ=skə=tε=lε=vʁə=sə=de=po=ze=syʁ=mɔ̃=ɡlɑ̃d=ʒə=sɑ̃s=tɔ̃=su=flə=ʃo=tε=mɛ̃=mə=ka=ʁe=sɑ̃=a=mu=ʁø=zə=mɑ̃=mε=kɥi=sə=ze=mɔ̃=mɑ̃=bʁə 61

ta=lɑ̃ɡ=mə=ti=ti=jə=ʒə=kɔ̃=tinɥ=a=ɡʁɔ=siʁ=su=tε=ka=ʁe=sə=də=de=ε=sə=ty=ad=mi=ʁə=lɔb=ʒε=də=tɔ̃=de=ziʁ=səl=ɥi=si=o=si=tə=de=zi=ʁə=a=mu=ʁø=zə=mɑ̃ 45
tu=mɔ̃=kɔʁ=tu=tə=mɔ̃=na=mə=a=ɑ̃=vi=də=twa=nu=nə=paʁ=lɔ̃=pa=ʒə=ma=pʁo=ʃə=də=twa=e=tə=pɔʁ=tə=dɑ̃=mε=bʁa=puʁ=tə=de=po=ze=syʁ=la=ku=ʃə 40

no=kɥi=sə=sɑ̃=tʁə=mε=le=no=mɛ̃=ka=ʁə=se=no=kɔʁ=no=lε=vʁə=sɔ̃=su=de=dɑ̃=zœ̃=bε=ze=pa=sj=ɔ=ne 28
tymə=pu=sə=du=sə=mɑ̃=ʒə=mə=ʁə=tʁu=və=ku=ʃe=syʁ=lə=do=fa=səa=twa=ty=ta=ʒə=nu=jə=zɑ̃=tʁə=mε=kɥi=sə=e=ty=ʁə=pʁɑ̃=ta=de=li=sjø=zə=ka=ʁε=sə=ɔ=mɔ̃=na=mi=tε=lε=vʁə=du=sə=mɑ̃=se=ʁe=ta=lɑ̃ɡ=vi=ʁə=vɔl=tə=paʁ=tu=ta=bʁy=nə=ʃə=və=ly=ʁə=va=e=vjɛ̃=syʁ=mɔ̃=vɑ̃=tʁə=ʒə=ʒe=mi=ʒə=sɑ̃s=lə=fø=dy=plε=ziʁ=ʁə=mɔ̃=te=ɑ̃=tʁə=mε=ʁɛ̃=ta=bu=ʃə=sə=fε=ɑ̃=kɔ=ʁə=plys=zas=pi=ʁɑ̃=tə=kaʁ=ty=ʁə=sɛ̃=lε=su=bʁə=zo=za=nɔ̃=sja=tœʁ=dy=plε=ziʁ=dɑ̃=ma-ɑ̃pə 123

ta=de=li=sj=ø=zə=bu=ʃə=ε=su=de=a=mwa=ʒə=nɑ̃=pɥi=plys=ʒə=vu=lε=tə=ʁe=zis=te=mε=ta=ka=ʁε=sə=ε=tʁo=de=li=sjø=zə 35
ʒə=ʁalə=ʒə=maʁk=bu=tə=œ̃=spas=mə=mə=tʁa=vεʁ=səo=mɔ=mɑ̃=də=la=di=vi=nə=li=be=ʁa=sjɔ̃=y=nə=εk=spo=zi=sjɔ̃=də=plε=ziʁ=i=ʁa=di=mɔ̃=na=mə=e=mɔ̃=kɔʁ=ʒə=mə=de=vεʁ=sə=a=lɔ̃ɡ=ʒεt=ʒə=yʁ=lə=tɔ̃=pʁe=nɔ̃=ui=ʒə=yʁ=lə=kaʁ=la=vjɔ=lɑ̃=sə=la=pɥi=sɑ̃=sə=də=sə=plε=ziʁ=kə=ty=mə=dɔ=nə=de=myl=ti=pli=mε=sɑ̃=sa=sjɔ̃ 86

ma=ʃo=də=sε=və=ɑ̃=va=i=ta=bu=ʃə=ty=la=bwa=ɡu=ly=me 17

tε=ziø=bʁi=je=tu=ʒuʁ=ʒə=ma=pʁoʃə=də=twa=e=nu=nu=zɑ̃=bʁa=sɔ̃=ʒə=tə=ɡli=sə=yn=mεʁ=si=dɑ̃=lə=kʁø=də=lɔ=ʁεjə=ty=pʁɑ̃=ma=tε=tə=ɑ̃=tʁə=tε=mɛ̃=zɑ̃=mə=ʁə=dɔ=nɑ̃=œ̃=bε=ze=pa=sjɔ=ne=e=ty=mə=dis=sε=puʁ=twa=ʁjɛ̃=kə=puʁ=twa=ʒə=sa=vε=kə=ty=a=dɔ=ʁə=ʁε 70

ʒə=tə=ʁə=dɔ=nə=tɔ̃=bε=ze=no=lɑ̃ɡ=sɑ̃=ʁu=le=εl=lə=ʒu=e=a=vεk=no=bu=ʃə 22
ty=pʁɑ̃=ma-ɑ̃=pə=ɑ̃=tʁə=tε=mɛ̃=ʁa=vi=də=kɔ̃s=ta=te=kə=ma=vi=ɡœ=ʁə=na=pa=fε=bli=ʒɑ̃=bʁa=sə=tε=sɛ̃=ʒə=sy=sə=tε=te=tɔ̃=ki=dyʁ=si=se=ʒɔ=li=me 42

ʒə=sɑ̃s=kə=ty=a=ɑ̃=vidə=mwa=ʒə=mə=ku=ʃə=syʁ=twa=ty=mə=ʁə=swa=zɑ̃=tʁə=tε=kɥi=sə=ʒə=tə=pe=nε=tʁəa=mu=ʁø=zə=mɑ̃=ty=tə=sɑ̃s=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=ɑ̃=va=i=y=nə=du=sə=ʃa=lœʁ=i=ʁa=di=tɔ̃=vɑ̃=tʁə=tε=ʒu=ʁo=zi=se=tε=bʁa=za=ɡʁi=pe=mε=ze=po=lə=tε=ʒɑ̃=bə=zɑ̃=se=ʁe=ma=tajə=ty=ʁa=lə=ty=ʒe=mi=su=mε=ku=ʒak=se=lε=ʁə=pʁɔ=ɡʁe=si=və=mɑ̃=mɔ̃=pis=tɔ=na=ʒə=ty=tə=kʁis=pə=ze=ɑ̃=fɛ̃=ty=ʒui=də=bɔ=nœʁ=ɑ̃=kas=kadə 114

la=ʃa=lœʁ=ɑ̃=bʁazə=tɔ̃=vɑ̃=tʁə=lε=te=tɔ̃=də=tε=sɛ̃=buʁ=ʒɔ=ne=ma=bu=ʃə-a=pə=lε=pεʁ=lə=də=sɥœʁ=syʁ=tɔ̃=fʁɔ̃=ʒə=kɔ̃=tinɥ=mε=va=e=vjɛ̃=tε=zɔ̃=ɡlə=ɡʁi=fe=mɔ̃=do=lɔʁ=də=la=sə=ɡɔ̃=də=va=ɡə=də=plε=ziʁ=ki=tɑ̃=va=i=ta=ʁεs=pi=ʁa=sjɔ̃=ε=sa=ka=de=ty=mɑ̃=ʒə=ma=bu=ʃəa=vɑ̃=də=ʁə=paʁ=tiʁ=vεʁ=zy=nə=o=tʁə=va=ɡə=dy=mεʁ=vε=jø 90

no=kɔʁnə=fɔʁ=me=plys=kœ̃=y=nə=le=ʒε=ʁə=pεl=li=ky=lə=də=sɥœʁ=nu=ʁə=ku=vʁə=ty=mə=ʁə=ɡaʁ=də=zo=fɔ̃=dε=ziø=ze=ty=mə=dis=ʒə=tε=mə=va=i=sə=la=de=klɑ̃=ʃəœ̃=ni=mɑ̃=sə=plε=ziʁ=e=mɔ̃=ne=ʒa=ky=la=sjɔ̃=ɑ̃=twa=ʒə=mə=vi=də=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=ɑ̃=ʒe=mi=sɑ̃=ty=sɑ̃s=ma=ʃo=də=la=və=i=nɔ̃=de=tɔ̃=vɑ̃=tʁə=ty=mə=mɔʁ=di=jə=lε=lɔ=bə=dε=zɔ=ʁεjə=tɔ̃=vɑ̃=tʁə=tjɛ̃=a=mə=kɔ̃=sεʁ=ve=ɑ̃=twa=ty=tə=kɔ̃=tʁak=tə=kɔ=mə=si=ty=vu=lε=me=sɔ=ʁe=ʒys=ka=la=dεʁ=njε=ʁə=ɡu=tə=də=sεvə 129

ʒə=mə=ʁə=ti=ʁə=du=sə=mɑ̃=twa=ty=ʁεs=tə=za=lɔ̃=ʒe=ʒad=mi=ʁə=sε=tə=fa=mə=sɔ̃=kɔʁ=fε=puʁ=la=muʁ=ʒə=vwa=ze=ɡa=lə=mɑ̃=tɔ̃=na=mə=dɑ̃=tε=bʁy=nə=pʁy=nεl=lə=ze=ʒi=li=la=ʒwa=e=la=muʁ 52

ynə=du=sə=fe=li=si=te=nu=zɑ̃=va=i=ty=ε=ʁə=lə=ve=syʁ=tε=ku=də=ku=ʃe=syʁ=lə=vɑ̃=tʁəa=kɔ=te=də=mwa=ta=mɛ̃=dʁwa=tə=ka=ʁε=sə=ma=pwa=tʁi=nə=tε=dwa=ʒu=e=a=vεk=lε=pwal=ʒə=ka=ʁε=sə=tε=ze=po=lə=ma=bu=ʃə=ɑ̃=bʁa=sə=tε=ʃə=vø=ty=ʁə=lε=və=la=tε=tə=e=ty=mə=dis=εst=sə=œ̃=ʁε=və=nɔ̃=tə=di=ʒə=nu=kɔ=my=ni=kɔ̃=nu=ze=ʃɑ̃=ʒɔ̃=nu=nu=dɔ=nɔ̃=də=la=ʒwa=sɛ̃=plə=mɑ̃=no=za=mə=sɔ̃=to=mε=mə=ni=vo=lœʁ=kɔ=my=njɔ̃=pa=sə=e=ɡa=lə=mɑ̃=paʁ=lə=plε=ziʁ=dε=sɑ̃s 130

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Poesie sans commentaire

Commentaire poème
28/03/2024Poeme-France
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Poème Amour
Du 06/09/2006 08:07

L'écrit contient 849 mots qui sont répartis dans 15 strophes.