Poème:Je T’ai Enfin Tuer ! ! !

Toi,

Tu est si impure
Tu m’a causer tellement de problème dans ce monde
Que rien ni personne, maintenant, en ce printemps chaud, trop chaud, ne pourras m’empeché de te tuer

J’étais la, assise, sur cette balançoire quand, tout un coup, j’ai entendu ce bruit,
Ce bruit qui, encore maintenant, résonne dans mes oreilles
Je me suis levée, tremblante, et j’ai laisser tomber quelque chose

Quoi, quesque c’est ? HO NON ! ! ! ! !
Comment as-tu pu, toi, fillette si gentille, douce
Prendre ce… ce fusil et tirer
Tirer si sechement qu’un seul coup a suffi

Et maintenant, je l’ai lacher, mais il est trop tard
J’ai comis un acte, un acte inpardonnable,
Je t’ai tuer, toi, boureaux, qui est entrer en moi, sans honte, sans peur

Mais maintenant, toi qui n’avait pas honte, toi qui n’avait pas peur
Tu t’es avancé vers cette balançoire, ou moi, par malchance je me trouvais
Tu m’as regarder, surpris, et m’a lancé un regard froid

Depuis le jour ou tu m’a fait pleurer de mal, par ton geste si impure,
Je tiens ce fusil en main, en attendant de te revoir et pour, à ton tour, te faire pleurer de mal

Mais maintenant, toi qui n’avait pas honte, toi qui n’avait pas peur
Tu t’es avancé vers cette balançoire, ou moi par malchance je me trouvais
Tu m’as regarder, surpris, et m’a lancé un regard froid
J’ai levé la main, et, du desous de ma paume, j’ai retirer cet petite chose,
Qui, enfin, à servi à appaiser ma soufrance

Ce fusil, que je tenais depuis si longtemps dans ma main
T’as enfin tuer

Que ton âme sois en paix
Et que dieu t’ai pardonner

Amen