Poème:Les Voleurs D’organe (3)

Les greffes d’organes condamnés en 1945 par le tribunal de Nuremberg
Jugeant après la défaite nazie, les tortionnaires, criminels chefs de guerre
Les pires horreurs dans les camps de concentration, les déportés traités comme des animaux de laboratoire
Hommes, femmes, et enfants servant de cobayes, martyrisés, assassinés par des médecins fous, barbares
Les médecins ne sont pas tous bons, généreux, au service des malades, pour certains l’homme est un champ d’expériences
Inoculant des vaccins dangereux, transformant les patients en zombis par la prise obligés de psychotropes les privant d’existence
Des médecins plus fous que les fous qu’ils sont supposés soigner, des médecins qui aliènent les personnes qui leur résistent
Des médecins accusés de crimes de guerre, qui tuent leur famille, des médecins faisant les plus folles expériences, hélas, ils existent !
La médecine aujourd’hui peut faire peur
Elle se prend pour Dieu le Créateur
Et si vous dites pas comme eux
Vous êtes un malade, un être impétueux
Les médecins prélèvent toutes sortes d’organes sur les corps
Matérialistes, athées ne croyant pas à la vie après la mort…
L’homme n’est pas des rouages mécaniques, chaque cellule contient la mémoire du vivant
L’esprit des morts pourrait hanter les personnes greffées, y croire, y penser c’est éprouvant.
Un médecin déjanté envisage de greffer une tête humaine !
C’est lui qui perd la tête et mériterait qu’on l’enchaîne…
Ce n’est pas parce que c’est possible que c’est souhaitable
Chimères et monstres déshumanisés des créatures du diable.
Vu dur internet qu’un pénis avait été avec succès greffé
Baiser sa femme avec le sexe d’un mort, drôle d’effet !
Comme avoir la main, une jambe, le visage d’un autre
C’est diabolique ! Même si l’on se veut bon apôtre…
« » Peau pour peau tout ce que l’homme possède il abandonne pour sauver sa vie « Livre de Job, Bible
Avoir le cœur d’un mort dans sa poitrine ce n’est pas tolérable ! Un corps étranger c’est horrible.
Je n’ai pas envie que moi ou mes proches finissent en pièces détachées pour des inconnus
Donner ou recevoir un organe, je refuse, n’ayant pas le cœur accroché, l’idée est malvenue
Je comprends très bien la souffrance de celui qui attend un organe pour continuer à vivre
La vie est cruelle mais l’homme n’est pas que de la viande à découper que l’hôpital livre.
Les personnes hospitalisées vont vivre dans la crainte
De se faire déposséder de leur corps, sans une plainte !
Les médecins ayant tout pouvoir, passant outre le refus des familles
Une sorte de cannibalisme moderne que le secteur médical estampille !
Dans les médias la propagande pour le don d’organe bat son plein
Culpabilisant les personnes refusant de donner leur cœur, rein
Quand ce n’est pas un membre, un visage, voire un pénis…
Tout est bon dans le cochon, la mort en libre service
Les pompes funèbres peuvent commettre des fautes professionnelles, morales
Les morts ne peuvent pas se révolter, la presse parfois dénonce les scandales
Des mises en bière, douteuses et descente du cercueil dans le caveau, incorrecte
Des ossements jetés à la décharge, des prestations arrangées, factures incorrectes
Pompes funèbres : se faire enterrer ou incinérer coûte cher, la mort est un commerce
Et tout ça pour une courte cérémonie, le mort s’en fiche, plus rien ne le bouleverse !
Une fois le cercueil mis en terre ou le corps réduit, brûlé il n’en reste plus rien
Quelque soit le mort, pauvre ou riche, finissant dans la caisse comme un chien
S’il n’y a pas de vie après la mort, alors profitons de la vie
Donnons-nous du plaisir, satisfaisons nos désirs, envies…
Mais comme le néant n’est pas une certitude, il faut se garder
Menant une vie digne, respectant la vie, les personnes décédées
Lu dans » Science & Vie : Le monde existe-t-il vraiment ? De plus en plus de physiciens en doutent
Et si tout n’était qu’une hallucination ? Temps, espace… des notions à réinventer… somme toute…
Alors, l’esprit, le corps, l’âme… des mondes virtuels, multidimensionnels, des univers parallèles
La métaphysique rejoindrait-elle la physique ? Les matérialistes confrontés au spirituel, à l’immatériel.
Les gens programmés pour donner leurs organes à leur décès, un manque de civisme pour les objecteurs !
Au lieu de les jeter dans la fosse les laissant pourrir ou de les brûler, c’est l’expression des bons docteurs !
Pour eux, ce ne sont que des pièces, déchets anatomiques, de la plomberie, et le cœur, qu’une pompe mécanique
Pourtant le cœur artificiel n’est rien comparable, ayant des ratés, le fonctionnement n’étant pas assuré, pratique
Pour Michel LE VAN QUYEN spécialiste du cerveau, celui-ci n’est pas un ordinateur conscient mais un esprit
« Je pense donc je suis » disait Descartes, l’homme ne fonctionne pas avec des algorithmes, est-ce bien compris…
Les médecins se prennent pour des dieux ayant la science infuse. La médecine doit-être adorée comme une religion
Le peuple n’a pas le droit de penser autrement, de voir ailleurs, les grands prêtres réclament notre totale adhésion…