Poème:Prométhée
Le Poème
Cette histoire remonte au début des temps
Les Dieux de l’Olympe s’ennuyaient dans leurs solitudes,
La Nature était vierge, sans habitants,
Personne ne les adorait, leur règne n’était que lassitude.
Zeus ordonna aux Titans de créer la vie,
D’offrir aux nouvelles créatures des dons
De leurs permettre de survivre ainsi
Et d’adorer les Dieux dans leurs Panthéons.
Deux frères Epiméthée et Prométhée
Par leur père Japet furent chargés de l’affaire.
Des quatre éléments, l’air, le feu, l’eau et la terre
A eux de créer des êtres vivants, à eux d’agir avec bonté.
Epiméthée avec altruisme commença son ouvrage
Au jeu de la création son esprit devint savant.
A chaque créatures, il fit des dons un bon partage
Offrant à chacune une douce vie dorénavant.
Les prédateurs n’étaient pas nombreux
Leurs gibiers possédaient la vitesse
Les oiseaux volaient dans les cieux,
Epiméthée agissait avec sagesse.
Pour survivre aux saisons
Il leurs donna plumes et fourrures
A chacun leurs nourritures
Carnivores ou herbivores auront leurs rations.
Mais dans le jeu de la création
Epiméthée épuisé avait oublié l’homme,
La pauvre et nue créature n’était qu’un brandillon
Sans force, sans dons, perdue dans le nouveau Royaume.
Il appela son frère Prométhée
Et lui ordonna de s’occuper de cette chose
Indigne de lui, sans aucune clarté,
Sans beauté dont on ne pouvait pas attendre grande chose.
Prométhée fut bien déconvenue de cette tache
Sans aucun talent particulier, sans les dons de son frère
Voilà un travail ingrat pour le pauvre potache.
Comment offrir à cette chose quelques lumières ?
En regardant les hommes, il aperçut leurs intelligences
Lui vint alors une douce clairvoyance
Pour ces êtres chétifs il irait chez Vulcain
Voler le plus grand trésor, le feu de l’Olympe.
En silence et adroitement sur l’ile de Lemnos
Prométhée vole le feu éternel
Aux hommes il l’offre en cadeau
Dans un silencieux cérémoniel.
Voilà les chétifs être égaux des Dieux
Supérieurs aux animaux grâce au feu
Eclairant les villes, cuisant les viandes,
Offrant chaleur, une miraculeuse prébende.
Zeus fit chercher Prométhée
Sa colère Divine était ouragan.
Sur le mont Caucase le Titan enchainé
Son foie dévoré par un aigle géant.
Mille ans de souffrance
Mais après trente années
La colère de Zeus apaisé
Le pauvre Prométhée fut libéré
Jurant devant tous les Dieux
Que plus jamais il ne jouera à leurs jeux.
Les Dieux de l’Olympe s’ennuyaient dans leurs solitudes,
La Nature était vierge, sans habitants,
Personne ne les adorait, leur règne n’était que lassitude.
Zeus ordonna aux Titans de créer la vie,
D’offrir aux nouvelles créatures des dons
De leurs permettre de survivre ainsi
Et d’adorer les Dieux dans leurs Panthéons.
Deux frères Epiméthée et Prométhée
Par leur père Japet furent chargés de l’affaire.
Des quatre éléments, l’air, le feu, l’eau et la terre
A eux de créer des êtres vivants, à eux d’agir avec bonté.
Epiméthée avec altruisme commença son ouvrage
Au jeu de la création son esprit devint savant.
A chaque créatures, il fit des dons un bon partage
Offrant à chacune une douce vie dorénavant.
Les prédateurs n’étaient pas nombreux
Leurs gibiers possédaient la vitesse
Les oiseaux volaient dans les cieux,
Epiméthée agissait avec sagesse.
Pour survivre aux saisons
Il leurs donna plumes et fourrures
A chacun leurs nourritures
Carnivores ou herbivores auront leurs rations.
Mais dans le jeu de la création
Epiméthée épuisé avait oublié l’homme,
La pauvre et nue créature n’était qu’un brandillon
Sans force, sans dons, perdue dans le nouveau Royaume.
Il appela son frère Prométhée
Et lui ordonna de s’occuper de cette chose
Indigne de lui, sans aucune clarté,
Sans beauté dont on ne pouvait pas attendre grande chose.
Prométhée fut bien déconvenue de cette tache
Sans aucun talent particulier, sans les dons de son frère
Voilà un travail ingrat pour le pauvre potache.
Comment offrir à cette chose quelques lumières ?
En regardant les hommes, il aperçut leurs intelligences
Lui vint alors une douce clairvoyance
Pour ces êtres chétifs il irait chez Vulcain
Voler le plus grand trésor, le feu de l’Olympe.
En silence et adroitement sur l’ile de Lemnos
Prométhée vole le feu éternel
Aux hommes il l’offre en cadeau
Dans un silencieux cérémoniel.
Voilà les chétifs être égaux des Dieux
Supérieurs aux animaux grâce au feu
Eclairant les villes, cuisant les viandes,
Offrant chaleur, une miraculeuse prébende.
Zeus fit chercher Prométhée
Sa colère Divine était ouragan.
Sur le mont Caucase le Titan enchainé
Son foie dévoré par un aigle géant.
Mille ans de souffrance
Mais après trente années
La colère de Zeus apaisé
Le pauvre Prométhée fut libéré
Jurant devant tous les Dieux
Que plus jamais il ne jouera à leurs jeux.
Poète Coburitc
Coburitc a publié sur le site 580 écrits. Coburitc est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète CoburitcSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Prométhée
cette=his=toi=re=re=mon=teau=dé=but=des=temps 11les=dieux=de=lo=lym=pe=sen=nuyaient=dans=leurs=so=li=tudes 13
la=na=tureé=tait=vier=ge=sans=ha=bi=tants 10
per=sonne=ne=les=a=do=rait=leur=rè=gne=né=tait=que=las=si=tude 16
zeus=or=don=na=aux=ti=tans=de=créer=la=vie 11
dof=frir=aux=nou=vel=les=cré=a=tures=des=dons 11
de=leurs=per=mettre=de=sur=vi=vre=ain=si 10
et=da=do=rer=les=dieux=dans=leurs=pan=théons 10
deux=frères=e=pi=mé=thée=et=pro=mé=thée 10
par=leur=père=ja=pet=fu=rent=char=gés=de=laf=faire 12
des=quatreélé=ments=lair=le=feu=leau=et=la=terre 10
a=eux=de=créer=des=êtres=vi=vants=à=eux=da=gir=a=vec=bon=té 16
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of=frant=à=cha=cuneu=ne=dou=ce=vie=do=ré=na=vant 13
les=pré=da=teurs=né=taient=pas=nom=breux 9
leurs=gi=bi=ers=pos=sé=daient=la=vi=tesse 10
les=oi=seaux=vo=laient=dans=les=cieux 8
epi=mé=thée=a=gis=sait=a=vec=sa=gesse 10
pour=sur=vi=vre=aux=sai=sons 7
il=leurs=don=na=plu=mes=et=four=ru=res 10
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mais=dans=le=jeu=de=la=cré=a=ti=on 10
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sans=force=sans=dons=per=due=dans=le=nou=veau=ro=yaume 12
il=ap=pe=la=son=frè=re=pro=mé=thée 10
et=lui=or=don=na=de=soc=cu=per=de=cette=chose 12
in=digne=de=lui=sans=au=cu=ne=clar=té 10
sans=beau=té=dont=on=ne=pou=vait=pas=at=tendre=gran=de=chose 14
pro=mé=thée=fut=bien=dé=conve=nue=de=cet=te=tache 12
sans=au=cun=talent=par=ti=cu=lier=sans=les=dons=de=son=frère 14
voi=là=un=tra=vail=in=grat=pour=le=pauvre=po=tache 12
comment=of=frir=à=cette=cho=se=quel=ques=lu=mières 11
en=re=gar=dant=les=hommes=il=a=per=çut=leurs=in=tel=li=gences 15
lui=vint=a=lors=u=ne=dou=ce=clair=voyance 10
pour=ces=êtres=ché=tifs=il=i=rait=chez=vul=cain 11
vo=ler=le=plus=grand=tré=sor=le=feu=de=lo=lympe 12
en=silen=ceet=a=droi=te=ment=sur=li=le=de=lem=nos 13
pro=mé=thée=vo=le=le=feu=é=ter=nel 10
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dans=un=si=len=cieux=cé=ré=mo=niel 9
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zeus=fit=cher=cher=pro=mé=thée 7
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que=plus=ja=mais=il=ne=joue=ra=à=leurs=jeux 11
Phonétique : Prométhée
sεtə istwaʁə ʁəmɔ̃tə o deby dε tɑ̃lε djø də lɔlɛ̃pə sɑ̃nyiε dɑ̃ lœʁ sɔlitydə,
la natyʁə etε vjεʁʒə, sɑ̃-abitɑ̃,
pεʁsɔnə nə lεz- adɔʁε, lœʁ ʁεɲə netε kə lasitydə.
zøsz- ɔʁdɔna o titɑ̃ də kʁee la vi,
dɔfʁiʁ o nuvεllə kʁeatyʁə dε dɔ̃
də lœʁ pεʁmεtʁə də syʁvivʁə ɛ̃si
e dadɔʁe lε djø dɑ̃ lœʁ pɑ̃teɔ̃.
dø fʁεʁəz- əpimete e pʁɔmete
paʁ lœʁ pεʁə ʒapε fyʁe ʃaʁʒe də lafεʁə.
dε katʁə elemɑ̃, lεʁ, lə fø, lo e la teʁə
a ø də kʁee dεz- εtʁə- vivɑ̃, a ø daʒiʁ avεk bɔ̃te.
əpimete avεk altʁɥismə kɔmɑ̃sa sɔ̃n- uvʁaʒə
o ʒø də la kʁeasjɔ̃ sɔ̃n- εspʁi dəvɛ̃ savɑ̃.
a ʃakə kʁeatyʁə, il fi dε dɔ̃z- œ̃ bɔ̃ paʁtaʒə
ɔfʁɑ̃ a ʃakynə ynə dusə vi dɔʁenavɑ̃.
lε pʁedatœʁ netε pa nɔ̃bʁø
lœʁ ʒibje pɔsedε la vitεsə
lεz- wazo vɔlε dɑ̃ lε sjø,
əpimete aʒisε avεk saʒεsə.
puʁ syʁvivʁə o sεzɔ̃
il lœʁ dɔna plyməz- e fuʁʁyʁə
a ʃakœ̃ lœʁ nuʁʁityʁə
kaʁnivɔʁəz- u εʁbivɔʁəz- oʁɔ̃ lœʁ ʁasjɔ̃.
mε dɑ̃ lə ʒø də la kʁeasjɔ̃
əpimete epɥize avε ublje lɔmə,
la povʁə e nɥ kʁeatyʁə netε kœ̃ bʁɑ̃dijɔ̃
sɑ̃ fɔʁsə, sɑ̃ dɔ̃, pεʁdɥ dɑ̃ lə nuvo ʁwajomə.
il apəla sɔ̃ fʁεʁə pʁɔmete
e lɥi ɔʁdɔna də sɔkype də sεtə ʃozə
ɛ̃diɲə də lɥi, sɑ̃z- okynə klaʁte,
sɑ̃ bote dɔ̃ ɔ̃ nə puvε pa atɑ̃dʁə ɡʁɑ̃də ʃozə.
pʁɔmete fy bjɛ̃ dekɔ̃vənɥ də sεtə taʃə
sɑ̃z- okœ̃ talɑ̃ paʁtikylje, sɑ̃ lε dɔ̃ də sɔ̃ fʁεʁə
vwala œ̃ tʁavaj ɛ̃ɡʁa puʁ lə povʁə pɔtaʃə.
kɔmɑ̃ ɔfʁiʁ a sεtə ʃozə kεlk lymjεʁə ?
ɑ̃ ʁəɡaʁdɑ̃ lεz- ɔmə, il apεʁsy lœʁz- ɛ̃tεlliʒɑ̃sə
lɥi vɛ̃ alɔʁz- ynə dusə klεʁvwajɑ̃sə
puʁ sεz- εtʁə- ʃetifz- il iʁε ʃe vylkɛ̃
vɔle lə plys ɡʁɑ̃ tʁezɔʁ, lə fø də lɔlɛ̃pə.
ɑ̃ silɑ̃sə e adʁwatəmɑ̃ syʁ lilə də lεmno
pʁɔmete vɔlə lə fø etεʁnεl
o ɔməz- il lɔfʁə ɑ̃ kado
dɑ̃z- œ̃ silɑ̃sjø seʁemɔnjεl.
vwala lε ʃetifz- εtʁə eɡo dε djø
sypeʁjœʁz- oz- animo ɡʁasə o fø
εklεʁɑ̃ lε vilə, kɥizɑ̃ lε vjɑ̃də,
ɔfʁɑ̃ ʃalœʁ, ynə miʁakyløzə pʁebɑ̃də.
zøs fi ʃεʁʃe pʁɔmete
sa kɔlεʁə divinə etε uʁaɡɑ̃.
syʁ lə mɔ̃ kokazə lə titɑ̃ ɑ̃ʃεne
sɔ̃ fwa devɔʁe paʁ œ̃n- εɡlə ʒeɑ̃.
milə ɑ̃ də sufʁɑ̃sə
mεz- apʁε tʁɑ̃tə ane
la kɔlεʁə də zøsz- apεze
lə povʁə pʁɔmete fy libeʁe
ʒyʁɑ̃ dəvɑ̃ tus lε djø
kə plys ʒamεz- il nə ʒuəʁa a lœʁ ʒø.
Syllabes Phonétique : Prométhée
sεtə=is=twa=ʁə=ʁə=mɔ̃=tə=o=de=by=dε=tɑ̃ 12lε=djødə=lɔ=lɛ̃=pə=sɑ̃=ny=i=ε=dɑ̃=lœʁ=sɔ=li=tydə 14
la=na=ty=ʁə=e=tε=vjεʁ=ʒə=sɑ̃-a=bi=tɑ̃ 12
pεʁ=sɔnə=nə=lε=za=dɔ=ʁε=lœʁ=ʁε=ɲə=ne=tε=kə=la=si=tydə 16
zøs=zɔʁ=dɔ=na=o=ti=tɑ̃=də=kʁe=e=la=vi 12
dɔ=fʁiʁ=o=nu=vεl=lə=kʁe=a=ty=ʁə=dε=dɔ̃ 12
də=lœ=ʁə=pεʁ=mε=tʁə=də=syʁ=vi=vʁə=ɛ̃=si 12
e=da=dɔ=ʁe=lε=dj=ø=dɑ̃=lœʁ=pɑ̃=te=ɔ̃ 12
dø=fʁε=ʁə=zə=pi=me=te=e=pʁɔ=me=te 11
paʁ=lœʁ=pεʁə=ʒa=pε=fy=ʁe=ʃaʁ=ʒe=də=la=fεʁə 12
dε=katʁə=e=le=mɑ̃=lεʁ=lə=fø=lo=e=la=teʁə 12
a=ødə=kʁe=e=dε=zε=tʁə=vi=vɑ̃=a=ø=da=ʒiʁ=a=vεk=bɔ̃=te 17
ə=pi=me=te=a=vεk=al=tʁɥismə=kɔ=mɑ̃=sa=sɔ̃=nu=vʁaʒə 14
o=ʒødə=la=kʁe=a=sjɔ̃=sɔ̃=nεs=pʁi=də=vɛ̃=sa=vɑ̃ 13
a=ʃakə=kʁe=a=ty=ʁə=il=fi=dε=dɔ̃=zœ̃=bɔ̃=paʁ=taʒə 14
ɔ=fʁɑ̃=a=ʃa=kynəynə=du=sə=vi=dɔ=ʁe=na=vɑ̃ 12
lε=pʁe=da=tœ=ʁə=ne=tε=pa=nɔ̃=bʁø 10
lœ=ʁə=ʒi=bj=e=pɔ=se=dε=la=vi=tε=sə 12
lε=zwa=zo=vɔ=lε=dɑ̃=lε=sj=ø 9
ə=pi=me=te=a=ʒi=sε=a=vεk=sa=ʒε=sə 12
puʁ=syʁ=vi=vʁə=o=sε=zɔ̃ 7
il=lœ=ʁə=dɔ=na=ply=mə=ze=fuʁ=ʁy=ʁə 11
a=ʃa=kœ̃=lœ=ʁə=nuʁ=ʁi=ty=ʁə 9
kaʁ=ni=vɔʁə=zu=εʁ=bi=vɔ=ʁə=zo=ʁɔ̃=lœʁ=ʁa=sjɔ̃ 13
mε=dɑ̃=lə=ʒø=də=la=kʁe=a=sj=ɔ̃ 10
ə=pi=me=te=ep=ɥi=ze=a=vε=u=blje=lɔmə 12
la=povʁəe=nɥ=kʁe=a=ty=ʁə=ne=tε=kœ̃=bʁɑ̃=di=jɔ̃ 13
sɑ̃=fɔʁ=sə=sɑ̃=dɔ̃=pεʁdɥ=dɑ̃=lə=nu=vo=ʁwa=jomə 12
il=a=pə=la=sɔ̃=fʁε=ʁə=pʁɔ=me=te 10
e=lɥi=ɔʁ=dɔ=nadə=sɔ=ky=pe=də=sε=tə=ʃozə 12
ɛ̃=di=ɲə=də=lɥi=sɑ̃=zo=ky=nə=klaʁ=te 11
sɑ̃=bo=te=dɔ̃=ɔ̃nə=pu=vε=pa=a=tɑ̃=dʁə=ɡʁɑ̃=də=ʃozə 14
pʁɔ=me=te=fy=bjɛ̃=de=kɔ̃=vənɥ=də=sε=tə=taʃə 12
sɑ̃=zo=kœ̃=ta=lɑ̃=paʁ=ti=ky=lje=sɑ̃=lε=dɔ̃də=sɔ̃=fʁεʁə 14
vwa=la=œ̃=tʁa=vaj=ɛ̃=ɡʁa=puʁlə=po=vʁə=pɔ=taʃə 12
kɔ=mɑ̃=ɔ=fʁiʁ=a=sεtə=ʃo=zə=kεl=kə=ly=mjεʁə 12
ɑ̃ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=lε=zɔ=mə=il=a=pεʁ=sy=lœʁ=zɛ̃=tεl=li=ʒɑ̃sə 15
lɥi=vɛ̃=a=lɔʁ=zy=nə=du=sə=klεʁ=vwa=jɑ̃=sə 12
puʁ=sε=zε=tʁə=ʃe=tif=zil=i=ʁε=ʃe=vyl=kɛ̃ 12
vɔ=le=lə=plys=ɡʁɑ̃=tʁe=zɔʁ=lə=fø=də=lɔ=lɛ̃pə 12
ɑ̃=si=lɑ̃səe=a=dʁwatə=mɑ̃=syʁ=li=lə=də=lεm=no 12
pʁɔ=me=te=vɔ=lə=lə=fø=e=tεʁ=nεl 10
o=ɔ=mə=zil=lɔ=fʁə=ɑ̃=ka=do 9
dɑ̃=zœ̃=si=lɑ̃=sj=ø=se=ʁe=mɔ=njεl 10
vwa=la=lε=ʃe=tif=zε=tʁə=e=ɡo=dε=dj=ø 12
sy=pe=ʁjœ=ʁə=zo=za=ni=mo=ɡʁa=sə=o=fø 12
ε=klε=ʁɑ̃=lε=vi=lə=kɥi=zɑ̃=lε=vj=ɑ̃=də 12
ɔ=fʁɑ̃=ʃa=lœʁ=ynə=mi=ʁa=ky=lø=zə=pʁe=bɑ̃də 12
zøs=fi=ʃεʁ=ʃe=pʁɔ=me=te 7
sa=kɔ=lε=ʁə=di=vi=nə=e=tε=u=ʁa=ɡɑ̃ 12
syʁ=lə=mɔ̃=ko=ka=zə=lə=ti=tɑ̃=ɑ̃=ʃε=ne 12
sɔ̃=fwa=de=vɔ=ʁe=paʁ=œ̃=nε=ɡlə=ʒe=ɑ̃ 11
mi=lə=ɑ̃=də=su=fʁɑ̃=sə 7
mε=za=pʁε=tʁɑ̃=tə=a=ne 7
la=kɔ=lε=ʁə=də=zøs=za=pε=ze 9
lə=po=vʁə=pʁɔ=me=te=fy=li=be=ʁe 10
ʒy=ʁɑ̃=də=vɑ̃=tus=lε=dj=ø 8
kə=plys=ʒa=mε=zil=nə=ʒu=ə=ʁa=a=lœʁ=ʒø 12
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
25/07/2014 13:15Alanna
Petit homme qui n’est qu’un pion
Quand il prend le pouvoir il s’approche des dieux
Hélas la sagesse lui manque
Les dieux ont mal joué
26/07/2014 10:53Lyse-Claire
Bonjour,
Dans ce Récit, je vois la Solitude de Géants ne sachant que faire ..
Puis, quand Un ne sait faire une Chose, Il passe le " boulot " et qu’importe Si ...
L’Autre se doit de prouver ; cherche .. et les Soucis lui tombent dessus ! et il en paie les Conséquences.. je vois ce Récit comme un Message à tout LECTEUR ;; Sous les Mots, tant de petites Choses innombrables apprend-on !
Bon, c’est juste mon Avis !
Bravo, cher Conteur !
Au Plaisir,
Amitié,
Lyse.
30/07/2014 17:25Elodie.Henos.7
Très intéressant et original !!!
20/01/2020 18:22Gramo
Merci d’avoir vulgarisé cette noble histoire et de l’avoir ainsi rendue compréhensible sans trop de recherches.
Emile/Gramo
Poème Mythologie
Du 25/07/2014 11:02
L'écrit contient 404 mots qui sont répartis dans 14 strophes.