Poème:La Poésie - I - L’aube
Le Poème
1 - L’ AUBE
Comme tous les jeunes de sa tribu venait le temps du Voyage,
Il avait embrassé as mère, ses frères, ses sœurs, ses amis,
Regardé dans les yeux de son père, écouté les conseils des sages,
C’était un jour d’été dans une Terre sans Pays.
La veille son père lui avait indiqué la route à suivre,
Comment en suivant la rivière le voyage serait plus facile,
Bien sur il devait se méfier de l’effroyable vouivre,
De quelques tribus plus ou moins dociles.
Le Voyage était un grand moment pour le jeune garçon :
Ai début du printemps, chaque village envoyait sur les chemins
Les jeunes à la découverte des autres à l’unisson,
Des aventures, des jeunes filles vers de beaux lendemains.
Après deux mois d’aventure, des visites aux autres tribus
Il arriva à la Caverne Sacrée, l’étape obligée.
Chaman était son père comme toute sa lignée,
Du destin de sa famille li avait le tribut.
L’accueil fut souriant et bienveillant,
Les sorciers, les chamans, les guérisseurs, les artisans
Venaient le saluer, le Voyage et sa saison
Etaient pour tous un moment de floraison.
Un des ses oncles lui fit visiter la Caverne Sacrée,
Depuis quelques saisons sur ses parois il dessinait.
Il lui montra les différents pigments :
L’ocre, les charbons, le rouge du sang.
Il contempla pendant des heurs les animaux,
Les rhinocéros, les bisons, les chevaux,
S’émerveilla de la course des aurochs,
De toutes les bêtes s’enfuyant sur les rocs.
Plus tard il s’assit prés des sculpteurs,
Regarda leurs mains habiles taillées la pierre,
S’émerveilla de la femme au ventre rond en quelques heures,
D’un rocher sans forme devenir statuaire.
Le lendemain, il apprit à fabriquer des instruments,
Avec un os de vautour il fit une flute,
Il souffla dans son instrument à vent,
Fit rire ses maitres avec sa pauvre turlutte.
Avec d’autres voyageurs, il assista à une répétition,
Les musiciens faisaient tourner les rhombes à toute vitesse,
D’autres frottaient leurs racleurs sans hésitations,
Sur des tambours d’autres tapaient avec souplesse.
Des danseurs jouant de la flute virevoltaient,
Des jeunes filles tournaient autour du feu
Entrainant les voyageurs dans le jeu.
Souriantes, joyeuses prés de la Caverne Sacrée.
Ce soir là il apprit dans les bras d’une douce blonde
Le jeu de l’amour, découvrant l’art des caresses,
Toute la nuit il resta prés d’elle, loin du Monde
Devenant enfin Homme, cette nuit pleine de promesses
Comme tous les jeunes de sa tribu venait le temps du Voyage,
Il avait embrassé as mère, ses frères, ses sœurs, ses amis,
Regardé dans les yeux de son père, écouté les conseils des sages,
C’était un jour d’été dans une Terre sans Pays.
La veille son père lui avait indiqué la route à suivre,
Comment en suivant la rivière le voyage serait plus facile,
Bien sur il devait se méfier de l’effroyable vouivre,
De quelques tribus plus ou moins dociles.
Le Voyage était un grand moment pour le jeune garçon :
Ai début du printemps, chaque village envoyait sur les chemins
Les jeunes à la découverte des autres à l’unisson,
Des aventures, des jeunes filles vers de beaux lendemains.
Après deux mois d’aventure, des visites aux autres tribus
Il arriva à la Caverne Sacrée, l’étape obligée.
Chaman était son père comme toute sa lignée,
Du destin de sa famille li avait le tribut.
L’accueil fut souriant et bienveillant,
Les sorciers, les chamans, les guérisseurs, les artisans
Venaient le saluer, le Voyage et sa saison
Etaient pour tous un moment de floraison.
Un des ses oncles lui fit visiter la Caverne Sacrée,
Depuis quelques saisons sur ses parois il dessinait.
Il lui montra les différents pigments :
L’ocre, les charbons, le rouge du sang.
Il contempla pendant des heurs les animaux,
Les rhinocéros, les bisons, les chevaux,
S’émerveilla de la course des aurochs,
De toutes les bêtes s’enfuyant sur les rocs.
Plus tard il s’assit prés des sculpteurs,
Regarda leurs mains habiles taillées la pierre,
S’émerveilla de la femme au ventre rond en quelques heures,
D’un rocher sans forme devenir statuaire.
Le lendemain, il apprit à fabriquer des instruments,
Avec un os de vautour il fit une flute,
Il souffla dans son instrument à vent,
Fit rire ses maitres avec sa pauvre turlutte.
Avec d’autres voyageurs, il assista à une répétition,
Les musiciens faisaient tourner les rhombes à toute vitesse,
D’autres frottaient leurs racleurs sans hésitations,
Sur des tambours d’autres tapaient avec souplesse.
Des danseurs jouant de la flute virevoltaient,
Des jeunes filles tournaient autour du feu
Entrainant les voyageurs dans le jeu.
Souriantes, joyeuses prés de la Caverne Sacrée.
Ce soir là il apprit dans les bras d’une douce blonde
Le jeu de l’amour, découvrant l’art des caresses,
Toute la nuit il resta prés d’elle, loin du Monde
Devenant enfin Homme, cette nuit pleine de promesses
Poète Coburitc
Coburitc a publié sur le site 580 écrits. Coburitc est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète CoburitcSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: La Poésie - I - L’aube
un=lau=be 3comme=tous=les=jeu=nes=de=sa=tri=bu=ve=nait=le=temps=du=voy=age 16
il=a=vait=em=bras=sé=as=mère=ses=frè=res=ses=sœurs=ses=a=mis 16
re=gar=dé=dans=les=yeux=de=son=père=é=cou=té=les=con=seils=des=sages 17
cé=tait=un=jour=dé=té=dans=une=ter=re=sans=pa=ys 13
la=veille=son=pè=re=lui=a=vait=in=di=qué=la=rou=te=à=suivre 16
comment=en=sui=vant=la=ri=viè=re=le=voya=ge=se=rait=plus=fa=cile 16
bien=sur=il=de=vait=se=mé=fi=er=de=lef=froy=a=ble=voui=vre 16
de=quel=ques=tri=bus=plus=ou=moins=do=ci=les 11
le=voy=a=ge=é=tait=un=grand=mo=ment=pour=le=jeu=ne=gar=çon 16
ai=dé=but=du=prin=temps=cha=que=vil=lageen=vo=yait=sur=les=che=mins 16
les=jeu=nes=à=la=dé=cou=ver=te=des=au=tres=à=lu=nis=son 16
des=a=ven=tu=res=des=jeu=nes=fi=lles=vers=de=beaux=len=de=mains 16
après=deux=mois=da=ven=tu=re=des=vi=si=tes=aux=au=tres=tri=bus 16
il=ar=ri=va=à=la=ca=verne=sa=crée=lé=ta=pe=o=bli=gée 16
cha=man=é=tait=son=pè=re=com=me=tou=te=sa=li=gnée 14
du=des=tin=de=sa=fa=mil=le=li=a=vait=le=tri=but 14
lac=cueil=fut=sou=ri=ant=et=bien=veillant 9
les=sor=ci=ers=les=cha=mans=les=gué=ris=seurs=les=ar=ti=sans 15
ve=naient=le=sa=luer=le=voy=a=ge=et=sa=sai=son 13
etaient=pour=tous=un=mo=ment=de=flo=rai=son 10
un=des=ses=on=cles=lui=fit=vi=si=ter=la=ca=ver=ne=sa=crée 16
de=puis=quel=ques=sai=sons=sur=ses=pa=rois=il=des=si=nait 14
il=lui=mon=tra=les=dif=fé=rents=pig=ments 10
lo=cre=les=char=bons=le=rou=ge=du=sang 10
il=con=tem=pla=pen=dant=des=heurs=les=a=ni=maux 12
les=rhi=no=cé=ros=les=bi=sons=les=che=vaux 11
sé=mer=veilla=de=la=cour=se=des=au=rochs 10
de=tou=tes=les=bê=tes=sen=fu=y=ant=sur=les=rocs 13
plus=tard=il=sas=sit=prés=des=s=culp=teurs 10
re=gar=da=leurs=mains=ha=bi=les=tail=lées=la=pi=er=re 14
sé=mer=veilla=de=la=fem=me=au=ven=tre=rond=en=quel=ques=heu=res 16
dun=ro=cher=sans=for=me=de=ve=nir=sta=tuai=re 12
le=len=de=main=il=ap=prit=à=fa=bri=quer=des=ins=tru=ments 15
a=vec=un=os=de=vau=tour=il=fit=u=ne=flu=te 13
il=souf=fla=dans=son=ins=tru=ment=à=vent 10
fit=ri=re=ses=mai=tres=a=vec=sa=pau=vre=tur=lu=tte 14
a=vec=dautres=voya=geurs=il=as=sis=ta=à=u=ne=ré=pé=ti=tion 16
les=mu=si=ciens=fai=saient=tour=ner=les=rhombes=à=tou=te=vi=tes=se 16
dau=tres=frot=taient=leurs=ra=cleurs=sans=hé=si=ta=ti=ons 13
sur=des=tam=bours=dau=tres=ta=paient=a=vec=sou=plesse 12
des=dan=seurs=jou=ant=de=la=flu=te=vi=re=vol=taient 13
des=jeu=nes=fi=lles=tour=naient=au=tour=du=feu 11
en=trai=nant=les=voy=a=geurs=dans=le=jeu 10
sou=ri=an=tes=joyeu=ses=prés=de=la=ca=ver=ne=sa=crée 14
ce=soir=là=il=ap=prit=dans=les=bras=du=ne=dou=ce=blon=de 15
le=jeu=de=la=mour=dé=cou=vrant=lart=des=ca=res=ses 13
tou=te=la=nuit=il=res=ta=prés=del=le=loin=du=mon=de 14
de=ve=nant=en=fin=hom=me=cet=te=nuit=plei=ne=de=pro=messes 15
Phonétique : La Poésie - I - L’aube
œ̃ lobəkɔmə tus lε ʒənə də sa tʁiby vənε lə tɑ̃ dy vwajaʒə,
il avε ɑ̃bʁase a mεʁə, sε fʁεʁə, sε sœʁ, sεz- ami,
ʁəɡaʁde dɑ̃ lεz- iø də sɔ̃ pεʁə, ekute lε kɔ̃sεj dε saʒə,
setε œ̃ ʒuʁ dete dɑ̃z- ynə teʁə sɑ̃ pεi.
la vεjə sɔ̃ pεʁə lɥi avε ɛ̃dike la ʁutə a sɥivʁə,
kɔmɑ̃ ɑ̃ sɥivɑ̃ la ʁivjεʁə lə vwajaʒə səʁε plys fasilə,
bjɛ̃ syʁ il dəvε sə mefje də lefʁwajablə vuivʁə,
də kεlk tʁibys plysz- u mwɛ̃ dɔsilə.
lə vwajaʒə etε œ̃ ɡʁɑ̃ mɔmɑ̃ puʁ lə ʒənə ɡaʁsɔ̃ :
ε deby dy pʁɛ̃tɑ̃, ʃakə vilaʒə ɑ̃vwajε syʁ lε ʃəmɛ̃
lε ʒənəz- a la dekuvεʁtə dεz- otʁəz- a lynisɔ̃,
dεz- avɑ̃tyʁə, dε ʒənə fijə vεʁ də bo lɑ̃dəmɛ̃.
apʁε dø mwa davɑ̃tyʁə, dε vizitəz- oz- otʁə- tʁibys
il aʁiva a la kavεʁnə sakʁe, letapə ɔbliʒe.
ʃamɑ̃ etε sɔ̃ pεʁə kɔmə tutə sa liɲe,
dy dεstɛ̃ də sa famijə li avε lə tʁiby.
lakœj fy suʁjɑ̃ e bjɛ̃vεjɑ̃,
lε sɔʁsje, lε ʃamɑ̃, lε ɡeʁisœʁ, lεz- aʁtizɑ̃
vənε lə salɥe, lə vwajaʒə e sa sεzɔ̃
ətε puʁ tusz- œ̃ mɔmɑ̃ də flɔʁεzɔ̃.
œ̃ dε sεz- ɔ̃klə lɥi fi vizite la kavεʁnə sakʁe,
dəpɥi kεlk sεzɔ̃ syʁ sε paʁwaz- il desinε.
il lɥi mɔ̃tʁa lε difeʁɑ̃ piɡmɑ̃ :
lɔkʁə, lε ʃaʁbɔ̃, lə ʁuʒə dy sɑ̃.
il kɔ̃tɑ̃pla pɑ̃dɑ̃ dεz- œʁ lεz- animo,
lε ʁinɔseʁo, lε bizɔ̃, lε ʃəvo,
semεʁvεja də la kuʁsə dεz- oʁok,
də tutə lε bεtə sɑ̃fyiɑ̃ syʁ lε ʁɔk.
plys taʁ il sasi pʁe dε skylptœʁ,
ʁəɡaʁda lœʁ mɛ̃-abilə taje la pjeʁə,
semεʁvεja də la famə o vɑ̃tʁə ʁɔ̃t- ɑ̃ kεlkz- œʁ,
dœ̃ ʁoʃe sɑ̃ fɔʁmə dəvəniʁ statɥεʁə.
lə lɑ̃dəmɛ̃, il apʁi a fabʁike dεz- ɛ̃stʁymɑ̃,
avεk œ̃n- os də votuʁ il fi ynə flytə,
il sufla dɑ̃ sɔ̃n- ɛ̃stʁymɑ̃ a vɑ̃,
fi ʁiʁə sε mεtʁəz- avεk sa povʁə tyʁlytə.
avεk dotʁə- vwajaʒœʁ, il asista a ynə ʁepetisjɔ̃,
lε myzisjɛ̃ fəzε tuʁne lε ʁɔ̃bəz- a tutə vitεsə,
dotʁə- fʁɔtε lœʁ ʁaklœʁ sɑ̃z- ezitasjɔ̃,
syʁ dε tɑ̃buʁ dotʁə- tapε avεk suplεsə.
dε dɑ̃sœʁ ʒuɑ̃ də la flytə viʁəvɔltε,
dε ʒənə fijə tuʁnε otuʁ dy fø
ɑ̃tʁεnɑ̃ lε vwajaʒœʁ dɑ̃ lə ʒø.
suʁjɑ̃tə, ʒwajøzə pʁe də la kavεʁnə sakʁe.
sə swaʁ la il apʁi dɑ̃ lε bʁa dynə dusə blɔ̃də
lə ʒø də lamuʁ, dekuvʁɑ̃ laʁ dε kaʁesə,
tutə la nɥi il ʁεsta pʁe dεllə, lwɛ̃ dy mɔ̃də
dəvənɑ̃ ɑ̃fɛ̃ ɔmə, sεtə nɥi plεnə də pʁɔmesə
Syllabes Phonétique : La Poésie - I - L’aube
œ̃=lo=bə 3kɔmə=tus=lε=ʒə=nə=də=sa=tʁi=by=və=nε=lə=tɑ̃=dy=vwa=jaʒə 16
il=a=vε=ɑ̃=bʁase=a=mε=ʁə=sε=fʁε=ʁə=sε=sœʁ=sε=za=mi 16
ʁə=ɡaʁ=de=dɑ̃=lε=zi=ødə=sɔ̃=pε=ʁə=e=ku=te=lε=kɔ̃=sεj=dε=saʒə 18
se=tε=œ̃=ʒuʁ=de=te=dɑ̃=zy=nə=te=ʁə=sɑ̃=pε=i 14
la=vε=jə=sɔ̃=pεʁə=lɥi=a=vε=ɛ̃=di=ke=la=ʁu=tə=a=sɥivʁə 16
kɔ=mɑ̃=ɑ̃=sɥi=vɑ̃=la=ʁi=vjεʁə=lə=vwa=ja=ʒə=sə=ʁε=plys=fa=silə 17
bjɛ̃=syʁ=il=də=vε=sə=me=fje=də=le=fʁwa=ja=blə=vu=i=vʁə 16
də=kεl=kə=tʁi=bys=plys=zu=mwɛ̃=dɔ=si=lə 11
lə=vwa=ja=ʒə=e=tε=œ̃=ɡʁɑ̃=mɔ=mɑ̃=puʁ=lə=ʒə=nə=ɡaʁ=sɔ̃ 16
ε=de=by=dy=pʁɛ̃=tɑ̃=ʃakə=vi=la=ʒəɑ̃=vwa=jε=syʁ=lε=ʃə=mɛ̃ 16
lε=ʒə=nə=za=la=de=ku=vεʁ=tə=dε=zo=tʁə=za=ly=ni=sɔ̃ 16
dε=za=vɑ̃=ty=ʁə=dε=ʒə=nə=fi=jə=vεʁ=də=bo=lɑ̃=də=mɛ̃ 16
a=pʁε=dø=mwa=da=vɑ̃=tyʁə=dε=vi=zi=tə=zo=zo=tʁə=tʁi=bys 16
il=a=ʁi=va=a=la=ka=vεʁnə=sa=kʁe=le=ta=pə=ɔ=bli=ʒe 16
ʃa=mɑ̃=e=tε=sɔ̃=pε=ʁə=kɔ=mə=tu=tə=sa=li=ɲe 14
dy=dεs=tɛ̃=də=sa=fa=mi=jə=li=a=vε=lə=tʁi=by 14
la=kœj=fy=su=ʁj=ɑ̃=e=bjɛ̃=vε=j=ɑ̃ 11
lε=sɔʁ=sj=e=lε=ʃa=mɑ̃=lε=ɡe=ʁi=sœ=ʁə=lε=zaʁ=ti=zɑ̃ 16
və=nε=lə=sal=ɥe=lə=vwa=ja=ʒə=e=sa=sε=zɔ̃ 13
ə=tε=puʁ=tus=zœ̃=mɔ=mɑ̃=də=flɔ=ʁε=zɔ̃ 11
œ̃=dε=sε=zɔ̃=klə=lɥi=fi=vi=zi=te=la=ka=vεʁ=nə=sa=kʁe 16
dəp=ɥi=kεl=kə=sε=zɔ̃=syʁ=sε=pa=ʁwa=zil=de=si=nε 14
il=lɥi=mɔ̃=tʁa=lε=di=fe=ʁɑ̃=piɡ=mɑ̃ 10
lɔ=kʁə=lε=ʃaʁ=bɔ̃=lə=ʁu=ʒə=dy=sɑ̃ 10
il=kɔ̃=tɑ̃=pla=pɑ̃=dɑ̃=dε=zœ=ʁə=lε=za=ni=mo 13
lε=ʁi=nɔ=se=ʁo=lε=bi=zɔ̃=lε=ʃə=vo 11
se=mεʁ=vε=ja=də=la=kuʁ=sə=dε=zo=ʁok 11
də=tu=tə=lε=bε=tə=sɑ̃=fy=i=ɑ̃=syʁ=lε=ʁɔk 13
plys=taʁ=il=sa=si=pʁe=dε=skyl=ptœ=ʁə 10
ʁə=ɡaʁ=da=lœ=ʁə=mɛ̃-a=bi=lə=ta=j=e=la=pj=e=ʁə 16
se=mεʁ=vε=ja=də=la=fa=mə=o=vɑ̃=tʁə=ʁɔ̃=tɑ̃=kεl=kzœ=ʁə 16
dœ̃=ʁo=ʃe=sɑ̃=fɔʁ=mə=də=və=niʁ=stat=ɥεʁ=ə 12
lə=lɑ̃=də=mɛ̃=il=a=pʁi=a=fa=bʁi=ke=dε=zɛ̃s=tʁy=mɑ̃ 15
a=vεk=œ̃=nos=də=vo=tuʁ=il=fi=y=nə=fly=tə 13
il=su=fla=dɑ̃=sɔ̃=nɛ̃s=tʁy=mɑ̃=a=vɑ̃ 10
fi=ʁi=ʁə=sε=mε=tʁə=za=vεk=sa=po=vʁə=tyʁ=ly=tə 14
a=vεk=dotʁə=vwa=ja=ʒœʁ=il=a=sis=ta=a=y=nə=ʁe=pe=ti=sjɔ̃ 17
lε=my=zi=sjɛ̃=fə=zε=tuʁ=ne=lε=ʁɔ̃=bə=za=tu=tə=vi=tεsə 16
do=tʁə=fʁɔ=tε=lœ=ʁə=ʁa=klœʁ=sɑ̃=ze=zi=ta=sj=ɔ̃ 14
syʁ=dε=tɑ̃=buʁ=do=tʁə=ta=pε=a=vεk=su=plεs=ə 13
dε=dɑ̃=sœ=ʁə=ʒu=ɑ̃=də=la=fly=tə=vi=ʁə=vɔl=tε 14
dε=ʒə=nə=fij=ə=tuʁ=nε=o=tuʁ=dy=fø 11
ɑ̃=tʁε=nɑ̃=lε=vwa=ja=ʒœ=ʁə=dɑ̃=lə=ʒø 11
su=ʁj=ɑ̃=tə=ʒwa=jø=zə=pʁe=də=la=ka=vεʁ=nə=sa=kʁe 15
sə=swaʁ=la=il=a=pʁi=dɑ̃=lε=bʁa=dy=nə=du=sə=blɔ̃=də 15
lə=ʒø=də=la=muʁ=de=ku=vʁɑ̃=laʁ=dε=ka=ʁe=sə 13
tu=tə=la=nɥi=il=ʁεs=ta=pʁe=dεl=lə=lwɛ̃=dy=mɔ̃=də 14
də=və=nɑ̃=ɑ̃=fɛ̃=ɔ=mə=sε=tə=nɥi=plε=nə=də=pʁɔ=me=sə 16
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
04/05/2015 10:59L'eau
Un écrit absolument sublime. Tu m’as fait voyager. C’est une sacrée atmosphère que tu nous partages là! Bravo.
05/05/2015 08:55Coburitc
Merci pour vos commentaires.
Amitiés
Jean-Pierre
05/05/2015 17:53Jean-Marc Emirkhanian
J’aime bien le feuilleton harmonieux des strophes composant ce voyage humain.
Poème - Sans Thème -
Du 04/05/2015 10:50
L'écrit contient 418 mots qui sont répartis dans 13 strophes.