Poème:Aprés Waterloo, Un Soir À Paris
Le Poème
Dans le bureau de la sureté, François Vidocq attend le chef Flambard :
Vidocq : - « Enfin vous voilà Flambard, venez avec moi immédiatement
Nous avons rendez vous avec des grands personnages,
L’Empereur a tout perdu dans la défaite de Waterloo il est sage
De se préparer au retour de Roi, Une réunion nous attend. »
Flambard :
- « Monsieur Vidocq, je ne tiens pas à vous accompagner
Je préfère éviter la Politique, je ne suis qu’un policier ! »
Vidocq :
- « Et croyez vous que je crains pas de retourner au bagne,
Fouché risque sa tête, je ne veux pas faire partie de la charrette.
C’est la fin de Napoléon, de la folie de ses campagnes
Vous serez mon témoin, si vous refusez à la rue je vous jette ! »
Flambard :
- « Bien Monsieur, je vous accompagne, je ne suis qu’un fonctionnaire
Mais ne me criez pas dessus, Paris ce soir a un drôle d’air. »
Vidocq :
- « C’est la fin de l’Empire, nous aurons un nouveau maitre
Allez dans le fiacre, pas une seconde à perdre. »
Le fiacre file dans Paris, après une course de vingt minutes il s’arrête au Tuileries.
Les deux hommes se présentent aux gardes, un officier les accompagne dans un bureau.
Fouché les attend, assis dans un fauteuil prés d’une cheminée.
Fouché :
- « Ah Vidocq vous voilà enfin ! vous avez un témoin ?
Cet idiot de Flambard ! Au moins il ne sera pas bavard.
L’Empereur s’est rendu au anglais, je ne suis plus rien
Mais je ne tiens pas à perdre la vie, il me reste un zeste de pouvoir. »
Entre dans la pièce le Diable boiteux Talleyrand ;
- « Je ne suis que le seul garant de votre vie Fouché !
Belle revanche face à mon pire ennemi !
Vidocq vous êtes ici, vous restez chef de la sureté
Vous serez le glaive du Roi face aux Bonapartistes ! »
Fouché :
- « Bien que nous soyons ennemi, nous avons qu’une passion
La France. Vous savez bien que vous n’effacerez jamais
Les fondations de l’Empire, de la Révolution !
Je vous laisse le meilleur des Policiers, un vrai limier »
Vidocq :
- « Je peux que me courber devant la décision des puissants,
La police n’a qu’un ennemi, celui de la France !
La période qui arrive sera trouble, je sens un vent de revanche
Avec les Anglais, accourent les exilés, la revanche des chouans ! »
Talleyrand :
- « C’est pourquoi que je vous garde à mon service !
Il est temps que la raison gouverne ce Pays,
Venez à mon bras Fouché, nous allons chez le Roi !
Cet idiot de Chateaubriand va en rester coi »
Fouché :
- « Je sens déjà sa maxime, le vice accompagnant le crime !
Vous nous suivez Vidocq, vous restez mon ami
Demain je serai loin de Paris… »
Fouché se lève, se tiens au bras de Talleyrand, ils vont vers le salon du Roi
Vidocq :
- « Vous voyer Flambard, un moment historique et je reste votre chef !
Un grand souvenir que vous raconterez à vos enfants !
Et mon Dieu enlevez moi ce couvre-chef : »
Fin
Vidocq : - « Enfin vous voilà Flambard, venez avec moi immédiatement
Nous avons rendez vous avec des grands personnages,
L’Empereur a tout perdu dans la défaite de Waterloo il est sage
De se préparer au retour de Roi, Une réunion nous attend. »
Flambard :
- « Monsieur Vidocq, je ne tiens pas à vous accompagner
Je préfère éviter la Politique, je ne suis qu’un policier ! »
Vidocq :
- « Et croyez vous que je crains pas de retourner au bagne,
Fouché risque sa tête, je ne veux pas faire partie de la charrette.
C’est la fin de Napoléon, de la folie de ses campagnes
Vous serez mon témoin, si vous refusez à la rue je vous jette ! »
Flambard :
- « Bien Monsieur, je vous accompagne, je ne suis qu’un fonctionnaire
Mais ne me criez pas dessus, Paris ce soir a un drôle d’air. »
Vidocq :
- « C’est la fin de l’Empire, nous aurons un nouveau maitre
Allez dans le fiacre, pas une seconde à perdre. »
Le fiacre file dans Paris, après une course de vingt minutes il s’arrête au Tuileries.
Les deux hommes se présentent aux gardes, un officier les accompagne dans un bureau.
Fouché les attend, assis dans un fauteuil prés d’une cheminée.
Fouché :
- « Ah Vidocq vous voilà enfin ! vous avez un témoin ?
Cet idiot de Flambard ! Au moins il ne sera pas bavard.
L’Empereur s’est rendu au anglais, je ne suis plus rien
Mais je ne tiens pas à perdre la vie, il me reste un zeste de pouvoir. »
Entre dans la pièce le Diable boiteux Talleyrand ;
- « Je ne suis que le seul garant de votre vie Fouché !
Belle revanche face à mon pire ennemi !
Vidocq vous êtes ici, vous restez chef de la sureté
Vous serez le glaive du Roi face aux Bonapartistes ! »
Fouché :
- « Bien que nous soyons ennemi, nous avons qu’une passion
La France. Vous savez bien que vous n’effacerez jamais
Les fondations de l’Empire, de la Révolution !
Je vous laisse le meilleur des Policiers, un vrai limier »
Vidocq :
- « Je peux que me courber devant la décision des puissants,
La police n’a qu’un ennemi, celui de la France !
La période qui arrive sera trouble, je sens un vent de revanche
Avec les Anglais, accourent les exilés, la revanche des chouans ! »
Talleyrand :
- « C’est pourquoi que je vous garde à mon service !
Il est temps que la raison gouverne ce Pays,
Venez à mon bras Fouché, nous allons chez le Roi !
Cet idiot de Chateaubriand va en rester coi »
Fouché :
- « Je sens déjà sa maxime, le vice accompagnant le crime !
Vous nous suivez Vidocq, vous restez mon ami
Demain je serai loin de Paris… »
Fouché se lève, se tiens au bras de Talleyrand, ils vont vers le salon du Roi
Vidocq :
- « Vous voyer Flambard, un moment historique et je reste votre chef !
Un grand souvenir que vous raconterez à vos enfants !
Et mon Dieu enlevez moi ce couvre-chef : »
Fin
Poète Coburitc
Coburitc a publié sur le site 580 écrits. Coburitc est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète CoburitcSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Aprés Waterloo, Un Soir À Paris
dans=le=bu=reau=de=la=sure=té=fran=çois=vi=docq=at=tend=le=chef=flam=bard 18vi=doc=q=en=fin=vous=voi=là=flam=bard=ve=nez=a=vec=moi=im=mé=diate=ment 19
nous=a=vons=ren=dez=vous=a=vec=des=grands=per=son=na=ges 14
lem=pe=reur=a=tout=per=du=dans=la=dé=faite=de=wa=ter=loo=il=est=sage 18
de=se=pré=pa=rer=au=re=tour=de=roi=une=réu=nion=nous=at=tend 16
flam=bard 2
mon=sieur=vi=doc=q=je=ne=tiens=pas=à=vous=ac=com=pa=gner 16
je=pré=fèreé=vi=ter=la=po=li=ti=que=je=ne=suis=quun=po=li=cier 17
vi=doc=q 3
et=croyez=vous=que=je=crains=pas=de=re=tour=ner=au=bagne 14
fou=ché=ris=que=sa=tête=je=ne=veux=pas=fai=re=par=tie=de=la=char=rette 18
cest=la=fin=de=na=po=léon=de=la=fo=lie=de=ses=cam=pagnes 15
vous=se=rez=mon=té=moin=si=vous=re=fu=sez=à=la=rue=je=vous=jette 17
flam=bard 2
bien=mon=sieur=je=vous=ac=com=pagne=je=ne=suis=quun=fonc=tion=naire 16
mais=ne=me=criez=pas=des=sus=pa=ris=ce=soir=a=un=drôle=dair 15
vi=doc=q 3
cest=la=fin=de=lem=pire=nous=au=rons=un=nou=veau=maitre 14
al=lez=dans=le=fia=cre=pas=u=ne=se=con=de=à=perdre 14
le=fiacre=fi=le=dans=pa=ris=a=près=u=ne=cour=se=de=vingt=mi=nu=tes=il=sar=rê=teau=tui=le=ries 25
les=deux=hommes=se=pré=sen=tent=aux=gar=des=un=of=fi=cier=les=ac=com=pa=gne=dans=un=bu=reau 23
fou=ché=les=at=tend=as=sis=dans=un=fau=teuil=prés=dune=che=mi=née 16
fou=ché 2
ah=vi=docq=vous=voi=là=en=fin=vous=a=vez=un=té=moin 15
cet=i=diot=de=flam=bard=au=moins=il=ne=se=ra=pas=ba=vard 15
lem=pe=reur=sest=ren=du=au=an=glais=je=ne=suis=plus=rien 14
mais=je=ne=tiens=pas=à=perdre=la=vie=il=me=res=teun=zes=te=de=pou=voir 18
en=tre=dans=la=piè=ce=le=dia=ble=boi=teux=tal=ley=rand 14
je=ne=suis=que=le=seul=ga=rant=de=votre=vie=fou=ché 14
bel=le=re=van=che=fa=ce=à=mon=pi=re=en=ne=mi 14
vi=docq=vous=êtes=i=ci=vous=res=tez=chef=de=la=su=re=té 15
vous=se=rez=le=glaive=du=roi=fa=ceaux=bo=na=par=tis=tes 14
fou=ché 2
bien=que=nous=soyons=enne=mi=nous=a=vons=quu=ne=pas=sion 14
la=france=vous=sa=vez=bien=que=vous=nef=fa=ce=rez=ja=mais 14
les=fon=da=tions=de=lem=pi=re=de=la=ré=vo=lu=tion 14
je=vous=lais=se=le=meilleur=des=po=li=ciers=un=vrai=li=mier 14
vi=doc=q 3
je=peux=que=me=cour=ber=de=vant=la=dé=ci=sion=des=puis=sants 16
la=po=li=ce=na=quun=en=ne=mi=ce=lui=de=la=france 14
la=pé=riode=qui=ar=ri=ve=se=ra=trou=ble=je=sens=un=vent=de=re=vanche 18
a=vec=les=an=glais=ac=courent=les=exi=lés=la=re=van=che=des=chou=ans 17
tal=ley=rand 3
cest=pour=quoi=que=je=vous=gar=de=à=mon=ser=vi=ce 14
il=est=temps=que=la=rai=son=gou=ver=ne=ce=pa=ys 13
ve=nez=à=mon=bras=fou=ché=nous=al=lons=chez=le=roi 13
cet=i=di=ot=de=cha=teau=briand=va=en=res=ter=coi 13
fou=ché 2
je=sens=dé=jà=sa=maxime=le=vi=ceac=com=pa=gnant=le=crime 15
vous=nous=sui=vez=vi=doc=q=vous=res=tez=mon=a=mi 13
de=main=je=se=rai=loin=de=pa=ris 9
fou=ché=se=lève=se=tiens=au=bras=de=tal=ley=rand=ils=vont=vers=le=sa=lon=du=roi 20
vi=doc=q 3
vous=voyer=flam=bard=un=moment=his=to=ri=queet=je=res=te=vo=tre=chef 17
un=grand=souve=nir=que=vous=ra=con=te=rez=à=vos=en=fants 14
et=mon=dieu=en=le=vez=moi=ce=cou=vre=chef 11
fin 1
Phonétique : Aprés Waterloo, Un Soir À Paris
dɑ̃ lə byʁo də la syʁəte, fʁɑ̃swa vidɔk atɑ̃ lə ʃεf flɑ̃baʁ :vidɔk : « ɑ̃fɛ̃ vu vwala flɑ̃baʁ, vənez- avεk mwa imedjatəmɑ̃
nuz- avɔ̃ ʁɑ̃de vuz- avεk dε ɡʁɑ̃ pεʁsɔnaʒə,
lɑ̃pəʁœʁ a tu pεʁdy dɑ̃ la defεtə də watεʁlu il ε saʒə
də sə pʁepaʁe o ʁətuʁ də ʁwa, ynə ʁeynjɔ̃ nuz- atɑ̃. »
flɑ̃baʁ :
« məsjø vidɔk, ʒə nə tjɛ̃ pa a vuz- akɔ̃paɲe
ʒə pʁefεʁə evite la pɔlitikə, ʒə nə sɥi kœ̃ pɔlisje ! »
vidɔk :
« εt kʁwaje vu kə ʒə kʁɛ̃ pa də ʁətuʁne o baɲə,
fuʃe ʁiskə sa tεtə, ʒə nə vø pa fεʁə paʁti də la ʃaʁεtə.
sε la fɛ̃ də napɔleɔ̃, də la fɔli də sε kɑ̃paɲə
vu səʁe mɔ̃ temwɛ̃, si vu ʁəfyzez- a la ʁy ʒə vu ʒεtə ! »
flɑ̃baʁ :
« bjɛ̃ məsjø, ʒə vuz- akɔ̃paɲə, ʒə nə sɥi kœ̃ fɔ̃ksjɔnεʁə
mε nə mə kʁje pa dəsy, paʁi sə swaʁ a œ̃ dʁolə dεʁ. »
vidɔk :
« sε la fɛ̃ də lɑ̃piʁə, nuz- oʁɔ̃z- œ̃ nuvo mεtʁə
ale dɑ̃ lə fjakʁə, pa ynə səɡɔ̃də a pεʁdʁə. »
lə fjakʁə filə dɑ̃ paʁi, apʁεz- ynə kuʁsə də vɛ̃ minytəz- il saʁεtə o tɥiləʁi.
lε dø ɔmə sə pʁezɑ̃te o ɡaʁdə, œ̃n- ɔfisje lεz- akɔ̃paɲə dɑ̃z- œ̃ byʁo.
fuʃe lεz- atɑ̃, asi dɑ̃z- œ̃ fotəj pʁe dynə ʃəmine.
fuʃe :
« a vidɔk vu vwala ɑ̃fɛ̃ ! vuz- avez- œ̃ temwɛ̃ ?
sεt idjo də flɑ̃baʁ ! o mwɛ̃z- il nə səʁa pa bavaʁ.
lɑ̃pəʁœʁ sε ʁɑ̃dy o ɑ̃ɡlε, ʒə nə sɥi plys ʁjɛ̃
mε ʒə nə tjɛ̃ pa a pεʁdʁə la vi, il mə ʁεstə œ̃ zεstə də puvwaʁ. »
ɑ̃tʁə dɑ̃ la pjεsə lə djablə bwatø taleʁɑ̃,
« ʒə nə sɥi kə lə səl ɡaʁɑ̃ də vɔtʁə vi fuʃe !
bεllə ʁəvɑ̃ʃə fasə a mɔ̃ piʁə εnəmi !
vidɔk vuz- εtəz- isi, vu ʁεste ʃεf də la syʁəte
vu səʁe lə ɡlεvə dy ʁwa fasə o bɔnapaʁtistə ! »
fuʃe :
« bjɛ̃ kə nu swajɔ̃z- εnəmi, nuz- avɔ̃ kynə pasjɔ̃
la fʁɑ̃sə. vu save bjɛ̃ kə vu nefasəʁe ʒamε
lε fɔ̃dasjɔ̃ də lɑ̃piʁə, də la ʁevɔlysjɔ̃ !
ʒə vu lεsə lə mεjœʁ dε pɔlisje, œ̃ vʁε limjəʁ »
vidɔk :
« ʒə pø kə mə kuʁbe dəvɑ̃ la desizjɔ̃ dε pɥisɑ̃,
la pɔlisə na kœ̃n- εnəmi, səlɥi də la fʁɑ̃sə !
la peʁjɔdə ki aʁivə səʁa tʁublə, ʒə sɑ̃sz- œ̃ vɑ̃ də ʁəvɑ̃ʃə
avεk lεz- ɑ̃ɡlε, akuʁe lεz- εɡzile, la ʁəvɑ̃ʃə dε ʃuɑ̃ ! »
taleʁɑ̃ :
« sε puʁkwa kə ʒə vu ɡaʁdə a mɔ̃ sεʁvisə !
il ε tɑ̃ kə la ʁεzɔ̃ ɡuvεʁnə sə pεi,
vənez- a mɔ̃ bʁa fuʃe, nuz- alɔ̃ ʃe lə ʁwa !
sεt idjo də ʃatobʁjɑ̃d va ɑ̃ ʁεste kwa »
fuʃe :
« ʒə sɑ̃s deʒa sa maksimə, lə visə akɔ̃paɲɑ̃ lə kʁimə !
vu nu sɥive vidɔk, vu ʁεste mɔ̃n- ami
dəmɛ̃ ʒə səʁε lwɛ̃ də paʁi… »
fuʃe sə lεvə, sə tjɛ̃z- o bʁa də taleʁɑ̃, il vɔ̃ vεʁ lə salɔ̃ dy ʁwa
vidɔk :
« vus vwaje flɑ̃baʁ, œ̃ mɔmɑ̃ istɔʁikə e ʒə ʁεstə vɔtʁə ʃεf !
œ̃ ɡʁɑ̃ suvəniʁ kə vu ʁakɔ̃təʁez- a voz- ɑ̃fɑ̃ !
e mɔ̃ djø ɑ̃ləve mwa sə kuvʁə ʃεf : »
fɛ̃
Syllabes Phonétique : Aprés Waterloo, Un Soir À Paris
dɑ̃lə=by=ʁo=də=la=sy=ʁə=te=fʁɑ̃=swa=vi=dɔk=a=tɑ̃=lə=ʃεf=flɑ̃=baʁ 18vi=dɔk=ɑ̃=fɛ̃=vu=vwa=la=flɑ̃=baʁ=və=ne=za=vεk=mwa=i=me=djatə=mɑ̃ 18
nu=za=vɔ̃=ʁɑ̃=de=vu=za=vεk=dε=ɡʁɑ̃=pεʁ=sɔnaʒə 12
lɑ̃pə=ʁœʁ=a=tu=pεʁ=dy=dɑ̃=la=de=fε=tə=də=wa=tεʁ=lu=il=ε=saʒə 18
də=sə=pʁe=pa=ʁe=oʁə=tuʁ=də=ʁwa=y=nə=ʁe=y=njɔ̃=nu=za=tɑ̃ 17
flɑ̃=baʁ 2
mə=sjø=vi=dɔk=ʒə=nə=tjɛ̃=pa=a=vu=za=kɔ̃=pa=ɲe 15
ʒə=pʁe=fεʁəe=vi=te=la=pɔ=li=ti=kə=ʒə=nə=sɥi=kœ̃=pɔ=li=sje 17
vi=dɔk 2
εt=kʁwa=je=vukə=ʒə=kʁɛ̃=pa=də=ʁə=tuʁ=ne=o=baɲə 14
fu=ʃe=ʁiskə=sa=tε=tə=ʒə=nə=vø=pa=fε=ʁə=paʁ=ti=də=la=ʃa=ʁεtə 18
sε=la=fɛ̃də=na=pɔ=le=ɔ̃=də=la=fɔ=li=də=sε=kɑ̃=paɲə 15
vusə=ʁe=mɔ̃=te=mwɛ̃=si=vu=ʁə=fy=ze=za=la=ʁy=ʒə=vu=ʒε=tə 17
flɑ̃=baʁ 2
bjɛ̃mə=sjø=ʒə=vu=za=kɔ̃=pa=ɲə=ʒə=nə=sɥi=kœ̃=fɔ̃k=sjɔ=nεʁə 16
mεnə=mə=kʁje=pa=də=sy=pa=ʁi=sə=swaʁ=a=œ̃=dʁo=lə=dεʁ 15
vi=dɔk 2
sε=la=fɛ̃də=lɑ̃=piʁə=nu=zo=ʁɔ̃=zœ̃=nu=vomεtʁə 12
a=le=dɑ̃lə=fja=kʁə=pa=y=nə=sə=ɡɔ̃=dəa=pεʁ=dʁə 13
lə=fjakʁə=fi=lə=dɑ̃=pa=ʁi=a=pʁε=zy=nə=kuʁ=sə=də=vɛ̃=mi=ny=tə=zil=sa=ʁε=təo=tɥi=lə=ʁi 25
lε=dø=ɔmə=sə=pʁe=zɑ̃=te=o=ɡaʁ=də=œ̃=nɔ=fi=sje=lε=za=kɔ̃=pa=ɲə=dɑ̃=zœ̃=by=ʁo 23
fu=ʃe=lε=za=tɑ̃=a=si=dɑ̃=zœ̃=fo=təj=pʁe=dynə=ʃə=mi=ne 16
fu=ʃe 2
a=vi=dɔk=vu=vwa=la=ɑ̃=fɛ̃=vu=za=ve=zœ̃=te=mwɛ̃ 15
sεt=i=djodə=flɑ̃=baʁ=o=mwɛ̃=zil=nə=sə=ʁa=pa=ba=vaʁ 14
lɑ̃pə=ʁœʁ=sε=ʁɑ̃=dy=o=ɑ̃=ɡlε=ʒə=nə=sɥi=plys=ʁjɛ̃ 13
mεʒə=nə=tjɛ̃=pa=a=pεʁ=dʁə=la=vi=il=mə=ʁεs=təœ̃=zεs=tə=də=pu=vwaʁ 18
ɑ̃tʁə=dɑ̃=la=pjε=sə=lə=dja=blə=bwa=tø=ta=le=ʁɑ̃ 13
ʒə=nə=sɥikə=lə=səl=ɡa=ʁɑ̃=də=vɔ=tʁə=vi=fu=ʃe 14
bεllə=ʁə=vɑ̃ʃə=fa=səa=mɔ̃=pi=ʁə=ε=nə=mi 11
vi=dɔk=vu=zεtə=zi=si=vu=ʁεs=te=ʃεf=də=la=sy=ʁə=te 15
vusə=ʁe=lə=ɡlε=və=dy=ʁwa=fa=səo=bɔ=na=paʁ=tis=tə 14
fu=ʃe 2
bjɛ̃kə=nu=swa=jɔ̃=zε=nə=mi=nu=za=vɔ̃=ky=nə=pa=sjɔ̃ 15
la=fʁɑ̃sə=vu=sa=ve=bjɛ̃kə=vu=ne=fa=sə=ʁe=ʒa=mε 13
lε=fɔ̃=da=sjɔ̃də=lɑ̃=pi=ʁə=də=la=ʁe=vɔ=ly=sjɔ̃ 13
ʒə=vu=lεsə=lə=mε=jœʁ=dε=pɔ=li=sje=œ̃=vʁε=li=mjəʁ 14
vi=dɔk 2
ʒə=pøkə=mə=kuʁ=be=də=vɑ̃=la=de=si=zjɔ̃=dε=pɥi=sɑ̃ 15
la=pɔ=lisə=na=kœ̃=nε=nə=mi=səl=ɥi=də=lafʁɑ̃sə 12
la=pe=ʁjɔdə=ki=a=ʁi=və=sə=ʁa=tʁu=blə=ʒə=sɑ̃s=zœ̃=vɑ̃=də=ʁə=vɑ̃ʃə 18
a=vεk=lε=zɑ̃=ɡlε=a=ku=ʁe=lε=zεɡ=zi=le=laʁə=vɑ̃=ʃə=dε=ʃu=ɑ̃ 18
ta=le=ʁɑ̃ 3
sε=puʁ=kwakə=ʒə=vu=ɡaʁ=dəa=mɔ̃=sεʁ=visə 11
il=ε=tɑ̃kə=la=ʁε=zɔ̃=ɡu=vεʁ=nə=sə=pε=i 12
və=ne=za=mɔ̃=bʁa=fu=ʃe=nu=za=lɔ̃=ʃe=lə=ʁwa 13
sεt=i=djodə=ʃa=to=bʁjɑ̃d=va=ɑ̃=ʁεs=te=kwa 11
fu=ʃe 2
ʒə=sɑ̃s=de=ʒa=sa=mak=simə=lə=vi=səa=kɔ̃=pa=ɲɑ̃=lə=kʁimə 16
vu=nu=sɥi=ve=vi=dɔk=vu=ʁεs=te=mɔ̃=na=mi 12
də=mɛ̃ʒə=sə=ʁε=lwɛ̃=də=pa=ʁi 8
fu=ʃe=sə=lεvə=sə=tjɛ̃=zo=bʁa=də=ta=le=ʁɑ̃=il=vɔ̃=vεʁ=lə=sa=lɔ̃=dy=ʁwa 20
vi=dɔk 2
vus=vwa=je=flɑ̃=baʁ=œ̃=mɔ=mɑ̃=is=tɔ=ʁikəe=ʒə=ʁεs=tə=vɔ=tʁə=ʃεf 18
œ̃=ɡʁɑ̃=suvə=niʁ=kə=vu=ʁa=kɔ̃=tə=ʁe=za=vo=zɑ̃=fɑ̃ 14
e=mɔ̃=djø=ɑ̃lə=ve=mwa=sə=ku=vʁə=ʃεf 10
fɛ̃ 1
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
18/06/2015 23:04Vortex965
Pas mal...
"Je ne peut que me courber",cela doit-être un oubli vu le français extrêmement correct écrit jusque-là.
18/06/2015 23:19Coburitc
Pardon pour l’oubli ! merci du commentaire.
Amitié
Jean-Pierre
20/06/2015 15:18Gramo
Bonjour Jean Pierre
Voici que se déroulent les reconstitutions de la bataille de Waterloo. C’était hier 19 et aussi aujourd’hui 20 juin 2015..
Le Président des Français s’est dérobé laissant place libre au descendant de Napoléon. Car enfin, c’était lui que tous voulait voir, c’était lui la vedette, le héros. Que fichtre ceux de Wellington qui squattent depuis lors la terre de Waterloo que le Roi des Pays Bas lui avait donnée...C’est la terre des Belges, c’était pas sienne. A Waterloo mais qui va voir Wellington ?
Pour le texte j’ai bien aimé l’histoire de l’Histoire.
Amitiés d’Emile
Poème Histoire
Du 18/06/2015 22:56
L'écrit contient 499 mots qui sont répartis dans 16 strophes.