Poème:Les Amazones
Le Poème
Prés d’un feu crépitant au dessous d’un ciel étoilé,
Des petites filles sagement écoutent la vieille Amalé,
Sa longue mélopée entraine leurs esprits dans un passé
Où les Amazones, fières et farouches, étaient pourchassées.
- « Oh mes petites filles, écoutez ma chanson de ces tristes années,
Nos Reines furent pourchassées, tuées par des hommes brutaux,
Que dans vos mémoires encore jeunes résonnent leurs idéaux,
Que jamais vos rêves n’oublient leurs noms, leurs tristes destinées.
Grande Penthésilée qui trouva la mort pour sauver Troie,
Son corps agile, souple écartelé par le soudard Achille,
Son sang mêlé au sable ocre pour toujours indélébile,
Ses sœurs pour toujours marquées par un sinistre effroi.
La Magnifique Hippolyte qui tomba amoureuse de l’hâbleur Hercule,
Son cœur était pur, un sentiment sincère écoutant les paroles du faussaire.
Endormie prés d’Hercule après une nuit d’amour il l’éventra jusqu’aux viscères,
Vola sa ceinture de Reine, puis avec son gourdin tua nos sœurs jusqu’au crépuscule.
Souvenez vous d’Antiope offerte au plus offrant pour leurs mœurs dissolus,
Antianeira qui du grand Alexandre ne demanda qu’un enfant,
Rassurez vous mes petites ces années de malheurs sont révolues,
Nous avons quitté ces régions pour vivre ici maintenant.
Qu’ont ils raconté sur nous ces mâles effrayés d’être gouvernés par des femmes,
Que nous tuons nos garçons, que nous les aveuglons, que nous les estropions !
Vous savez mes petites qu’ils vivent avec nous, avec vos pères à l’unissons,
Que de nos hommes nous faisons des poètes, pas des guerriers aux sanglantes lames.
Si nous coupons notre sein droit c’est pour tendre la corde de nos arcs,
Si pour protéger les nôtres nous levons nos Péltês, brandissons nos lances,
C’est à l’ultime moment que nous allons à la bataille sans la moindre rutilance,
Nous restons nues, sans armures, sans dorures, loin des mâles monarques.
C’est ainsi que nous avons quitté la Région de nos anciennes Reines,
Que dans cet exode, avec vos Pères et vos frères, nous avons trouvé cette Terre,
C’est dans ces plaines d’Asie Mineure, avec ces chevaux sauvages aux sabots de fer
Qu’ont poussé nos yourtes bigarrées loin des sinistres héros et de leurs haines.
Certains appellent notre société matriarcat, nous vivons sous le signe de Gaia,
Nous faisons de nos hommes des poètes, des cultivateurs, des artistes,
De nos filles des guerrières, des docteurs, des professeurs,
Dans nos chansons nous racontons les exploits d’Hippolyte, d’Antianeira
Que nos rêves sont hélas parfois si étranges, si tristes,
Hantés par les lointains pays où vivaient autrefois nos sœurs.
Allez mes gentilles filles allez voir vos frères, allez vous amuser,
Bientôt il sera l’heure d’aller vous coucher. »
Des petites filles sagement écoutent la vieille Amalé,
Sa longue mélopée entraine leurs esprits dans un passé
Où les Amazones, fières et farouches, étaient pourchassées.
- « Oh mes petites filles, écoutez ma chanson de ces tristes années,
Nos Reines furent pourchassées, tuées par des hommes brutaux,
Que dans vos mémoires encore jeunes résonnent leurs idéaux,
Que jamais vos rêves n’oublient leurs noms, leurs tristes destinées.
Grande Penthésilée qui trouva la mort pour sauver Troie,
Son corps agile, souple écartelé par le soudard Achille,
Son sang mêlé au sable ocre pour toujours indélébile,
Ses sœurs pour toujours marquées par un sinistre effroi.
La Magnifique Hippolyte qui tomba amoureuse de l’hâbleur Hercule,
Son cœur était pur, un sentiment sincère écoutant les paroles du faussaire.
Endormie prés d’Hercule après une nuit d’amour il l’éventra jusqu’aux viscères,
Vola sa ceinture de Reine, puis avec son gourdin tua nos sœurs jusqu’au crépuscule.
Souvenez vous d’Antiope offerte au plus offrant pour leurs mœurs dissolus,
Antianeira qui du grand Alexandre ne demanda qu’un enfant,
Rassurez vous mes petites ces années de malheurs sont révolues,
Nous avons quitté ces régions pour vivre ici maintenant.
Qu’ont ils raconté sur nous ces mâles effrayés d’être gouvernés par des femmes,
Que nous tuons nos garçons, que nous les aveuglons, que nous les estropions !
Vous savez mes petites qu’ils vivent avec nous, avec vos pères à l’unissons,
Que de nos hommes nous faisons des poètes, pas des guerriers aux sanglantes lames.
Si nous coupons notre sein droit c’est pour tendre la corde de nos arcs,
Si pour protéger les nôtres nous levons nos Péltês, brandissons nos lances,
C’est à l’ultime moment que nous allons à la bataille sans la moindre rutilance,
Nous restons nues, sans armures, sans dorures, loin des mâles monarques.
C’est ainsi que nous avons quitté la Région de nos anciennes Reines,
Que dans cet exode, avec vos Pères et vos frères, nous avons trouvé cette Terre,
C’est dans ces plaines d’Asie Mineure, avec ces chevaux sauvages aux sabots de fer
Qu’ont poussé nos yourtes bigarrées loin des sinistres héros et de leurs haines.
Certains appellent notre société matriarcat, nous vivons sous le signe de Gaia,
Nous faisons de nos hommes des poètes, des cultivateurs, des artistes,
De nos filles des guerrières, des docteurs, des professeurs,
Dans nos chansons nous racontons les exploits d’Hippolyte, d’Antianeira
Que nos rêves sont hélas parfois si étranges, si tristes,
Hantés par les lointains pays où vivaient autrefois nos sœurs.
Allez mes gentilles filles allez voir vos frères, allez vous amuser,
Bientôt il sera l’heure d’aller vous coucher. »
Poète Coburitc
Coburitc a publié sur le site 580 écrits. Coburitc est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète CoburitcSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Les Amazones
prés=dun=feu=cré=pi=tant=au=des=sous=dun=ciel=é=toi=lé 14des=pe=ti=tes=fi=lles=sa=ge=ment=é=cou=tent=la=viei=lle=a=ma=lé 18
sa=lon=gue=mé=lo=pée=en=trai=ne=leurs=es=prits=dans=un=pas=sé 16
où=les=a=ma=zo=nes=fi=è=res=et=fa=rou=ches=é=taient=pour=chas=sées 18
oh=mes=pe=tites=filles=é=cou=tez=ma=chan=son=de=ces=tris=tes=an=nées 18
nos=rei=nes=fu=rent=pour=chas=sées=tuées=par=des=hom=mes=bru=taux 15
que=dans=vos=mé=moi=res=en=co=re=jeu=nes=ré=son=nent=leurs=i=dé=aux 18
que=ja=mais=vos=rê=ves=nou=blient=leurs=nom=s=leurs=tris=tes=des=ti=nées 17
gran=de=pen=thé=si=lée=qui=trou=va=la=mort=pour=sau=ver=troie 15
son=corps=a=gi=le=sou=ple=é=car=te=lé=par=le=sou=dard=a=chil=le 18
son=sang=mê=lé=au=sa=ble=o=cre=pour=tou=jours=in=dé=lé=bi=le 17
ses=sœurs=pour=tou=jours=mar=quées=par=un=si=nis=tre=ef=froi 14
la=ma=gni=fi=que=hip=po=ly=te=qui=tom=ba=a=mou=reuse=de=lhâ=bleur=her=cule 20
son=cœur=é=tait=pur=un=sen=timent=sin=cè=reé=cou=tant=les=pa=ro=les=du=faus=saire 20
en=dor=mie=prés=dher=culea=près=u=ne=nuit=da=mour=il=lé=ven=tra=jus=quaux=vis=cères 20
vo=la=sa=cein=ture=de=rei=ne=puis=a=vec=son=gour=din=tua=nos=sœurs=jus=quau=cré=pus=cule 22
souve=nez=vous=dan=tio=peof=fer=te=au=plus=of=frant=pour=leurs=mœurs=dis=so=lus 18
an=ti=anei=ra=qui=du=grand=a=lexan=dre=ne=de=man=da=quun=en=fant 17
ras=su=rez=vous=mes=pe=ti=tes=ces=an=nées=de=mal=heurs=sont=ré=vo=lues 18
nous=a=vons=quit=té=ces=ré=gi=ons=pour=vi=vre=i=ci=main=te=nant 17
quont=ils=ra=con=té=sur=nous=ces=mâ=les=ef=frayés=dêtre=gou=ver=nés=par=des=fem=mes 20
que=nous=tuons=nos=gar=çons=que=nous=les=a=veu=glons=que=nous=les=es=tro=pions 18
vous=sa=vez=mes=pe=tites=quils=vi=vent=a=vec=nous=a=vec=vos=pè=res=à=lu=nis=sons 21
que=de=nos=hommes=nous=fai=sons=des=po=è=tes=pas=des=guer=riers=aux=san=glan=tes=lames 20
si=nous=cou=pons=no=tre=sein=droit=cest=pour=ten=dre=la=cor=de=de=nos=arcs 18
si=pour=pro=té=ger=les=nôtres=nous=le=vons=nos=pél=tês=bran=dis=sons=nos=lances 18
cest=à=lul=time=mo=ment=que=nous=al=lons=à=la=ba=taille=sans=la=moin=dre=ru=ti=lance 21
nous=res=tons=nues=sans=ar=mu=res=sans=do=ru=res=loin=des=mâ=les=mo=narques 18
cest=ain=si=que=nous=a=vons=quit=té=la=ré=gion=de=nos=an=ci=ennes=reines 18
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cest=dans=ces=plaines=da=sie=mi=neu=re=a=vec=ces=che=vaux=sau=va=ges=aux=sa=bots=de=fer 22
quont=pous=sé=nos=yourtes=bi=gar=rées=loin=des=si=nis=tres=hé=ros=et=de=leurs=haines 19
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de=nos=fi=lles=des=guer=ri=è=res=des=doc=teurs=des=pro=fes=seurs 16
dans=nos=chan=sons=nous=ra=con=tons=les=ex=ploits=dhip=po=ly=te=dan=tia=nei=ra 19
que=nos=rê=ves=sont=hé=las=par=fois=si=é=tran=ges=si=tris=tes 16
han=tés=par=les=loin=tains=pa=ys=où=vi=vaient=au=tre=fois=nos=sœurs 16
al=lez=mes=gen=tilles=filles=al=lez=voir=vos=frè=res=al=lez=vous=a=mu=ser 18
bien=tôt=il=se=ra=l=heu=re=dal=ler=vous=cou=cher 13
Phonétique : Les Amazones
pʁe dœ̃ fø kʁepitɑ̃ o dəsu dœ̃ sjεl etwale,dε pətitə fijə saʒəmɑ̃ ekute la vjεjə amale,
sa lɔ̃ɡ melɔpe ɑ̃tʁεnə lœʁz- εspʁi dɑ̃z- œ̃ pase
u lεz- amazonə, fjεʁəz- e faʁuʃə, etε puʁʃase.
« ɔ mε pətitə fijə, ekute ma ʃɑ̃sɔ̃ də sε tʁistəz- ane,
no ʁεnə fyʁe puʁʃase, tye paʁ dεz- ɔmə bʁyto,
kə dɑ̃ vo memwaʁəz- ɑ̃kɔʁə ʒənə ʁezɔne lœʁz- ideo,
kə ʒamε vo ʁεvə nublje lœʁ nɔ̃, lœʁ tʁistə dεstine.
ɡʁɑ̃də pɑ̃tezile ki tʁuva la mɔʁ puʁ sove tʁwa,
sɔ̃ kɔʁz- aʒilə, suplə ekaʁtəle paʁ lə sudaʁ aʃijə,
sɔ̃ sɑ̃ mεle o sablə ɔkʁə puʁ tuʒuʁz- ɛ̃delebilə,
sε sœʁ puʁ tuʒuʁ maʁke paʁ œ̃ sinistʁə efʁwa.
la maɲifikə ipɔlitə ki tɔ̃ba amuʁøzə də lablœʁ εʁkylə,
sɔ̃ kœʁ etε pyʁ, œ̃ sɑ̃timɑ̃ sɛ̃sεʁə ekutɑ̃ lε paʁɔlə dy fosεʁə.
ɑ̃dɔʁmi pʁe dεʁkylə apʁεz- ynə nɥi damuʁ il levɑ̃tʁa ʒysko visεʁə,
vɔla sa sɛ̃tyʁə də ʁεnə, pɥiz- avεk sɔ̃ ɡuʁdɛ̃ tɥa no sœʁ ʒysko kʁepyskylə.
suvəne vu dɑ̃sjɔpə ɔfεʁtə o plysz- ɔfʁɑ̃ puʁ lœʁ mœʁ disɔlys,
ɑ̃tjanεʁa ki dy ɡʁɑ̃t- alεksɑ̃dʁə nə dəmɑ̃da kœ̃n- ɑ̃fɑ̃,
ʁasyʁe vu mε pətitə sεz- ane də malœʁ sɔ̃ ʁevɔlɥ,
nuz- avɔ̃ kite sε ʁeʒjɔ̃ puʁ vivʁə isi mɛ̃tənɑ̃.
kɔ̃ il ʁakɔ̃te syʁ nu sε maləz- efʁεje dεtʁə ɡuvεʁne paʁ dε famə,
kə nu tyɔ̃ no ɡaʁsɔ̃, kə nu lεz- avøɡlɔ̃, kə nu lεz- εstʁɔpjɔ̃ !
vu save mε pətitə kil vive avεk nu, avεk vo pεʁəz- a lynisɔ̃,
kə də no ɔmə nu fəzɔ̃ dε pɔεtə, pa dε ɡeʁjez- o sɑ̃ɡlɑ̃tə lamə.
si nu kupɔ̃ nɔtʁə sɛ̃ dʁwa sε puʁ tɑ̃dʁə la kɔʁdə də noz- aʁk,
si puʁ pʁɔteʒe lε notʁə- nu ləvɔ̃ no peltε, bʁɑ̃disɔ̃ no lɑ̃sə,
sεt- a lyltimə mɔmɑ̃ kə nuz- alɔ̃z- a la batajə sɑ̃ la mwɛ̃dʁə ʁytilɑ̃sə,
nu ʁεstɔ̃ nɥ, sɑ̃z- aʁmyʁə, sɑ̃ dɔʁyʁə, lwɛ̃ dε malə mɔnaʁk.
sεt- ɛ̃si kə nuz- avɔ̃ kite la ʁeʒjɔ̃ də noz- ɑ̃sjεnə ʁεnə,
kə dɑ̃ sεt εɡzɔdə, avεk vo pεʁəz- e vo fʁεʁə, nuz- avɔ̃ tʁuve sεtə teʁə,
sε dɑ̃ sε plεnə dazi minəʁə, avεk sε ʃəvo sovaʒəz- o sabo də fεʁ
kɔ̃ puse noz- iuʁtə- biɡaʁe lwɛ̃ dε sinistʁə- eʁoz- e də lœʁ-εnə.
sεʁtɛ̃z- apεlle nɔtʁə sɔsjete matʁjaʁka, nu vivɔ̃ su lə siɲə də ɡεa,
nu fəzɔ̃ də no ɔmə dε pɔεtə, dε kyltivatœʁ, dεz- aʁtistə,
də no fijə dε ɡeʁjεʁə, dε dɔktœʁ, dε pʁɔfesœʁ,
dɑ̃ no ʃɑ̃sɔ̃ nu ʁakɔ̃tɔ̃ lεz- εksplwa dipɔlitə, dɑ̃tjanεʁa
kə no ʁεvə sɔ̃ ela paʁfwa si etʁɑ̃ʒə, si tʁistə,
ɑ̃te paʁ lε lwɛ̃tɛ̃ pεiz- u vivε otʁəfwa no sœʁ.
ale mε ʒɑ̃tijə fijəz- ale vwaʁ vo fʁεʁə, ale vuz- amyze,
bjɛ̃to il səʁa lœʁ dale vu kuʃe. »
Syllabes Phonétique : Les Amazones
pʁe=dœ̃=fø=kʁe=pi=tɑ̃=o=də=su=dœ̃=sjεl=e=twa=le 14dε=pə=ti=tə=fi=jə=sa=ʒə=mɑ̃=e=ku=te=la=vjε=jə=a=ma=le 18
sa=lɔ̃ɡ=me=lɔ=pe=ɑ̃=tʁε=nə=lœ=ʁə=zεs=pʁi=dɑ̃=zœ̃=pa=se 16
u=lε=za=ma=zo=nə=fj=ε=ʁə=ze=fa=ʁu=ʃə=e=tε=puʁ=ʃa=se 18
ɔ=mεpə=ti=tə=fi=jə=e=ku=te=ma=ʃɑ̃=sɔ̃=də=sε=tʁis=tə=za=ne 19
no=ʁε=nə=fy=ʁe=puʁ=ʃa=se=ty=e=paʁ=dε=zɔ=mə=bʁy=to 16
kə=dɑ̃=vo=me=mwa=ʁə=zɑ̃=kɔ=ʁə=ʒə=nə=ʁe=zɔ=ne=lœʁ=zi=de=o 18
kə=ʒa=mε=vo=ʁε=və=nu=blj=e=lœ=ʁə=nɔ̃=lœʁ=tʁis=tə=dεs=ti=ne 18
ɡʁɑ̃=də=pɑ̃=te=zi=le=ki=tʁu=va=la=mɔʁ=puʁ=so=ve=tʁwa 15
sɔ̃=kɔʁ=za=ʒi=lə=su=plə=e=kaʁ=tə=le=paʁ=lə=su=daʁ=a=ʃi=jə 18
sɔ̃=sɑ̃=mε=le=o=sa=blə=ɔ=kʁə=puʁ=tu=ʒuʁ=zɛ̃=de=le=bi=lə 17
sε=sœ=ʁə=puʁ=tu=ʒuʁ=maʁ=ke=paʁ=œ̃=si=nis=tʁə=e=fʁwa 15
la=ma=ɲi=fikə=i=pɔ=li=tə=ki=tɔ̃=ba=a=mu=ʁø=zə=də=la=blœʁ=εʁ=kylə 20
sɔ̃=kœʁ=e=tε=pyʁ=œ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=sɛ̃=sεʁəe=ku=tɑ̃=lε=pa=ʁɔ=lə=dy=fo=sεʁə 20
ɑ̃=dɔʁ=mi=pʁe=dεʁ=kyləa=pʁε=zy=nə=nɥi=da=muʁ=il=le=vɑ̃=tʁa=ʒys=ko=vi=sεʁə 20
vɔ=la=sa=sɛ̃=tyʁə=də=ʁε=nə=pɥi=za=vεk=sɔ̃=ɡuʁ=dɛ̃=tɥa=no=sœʁ=ʒys=ko=kʁe=pys=kylə 22
suvə=ne=vu=dɑ̃=sjɔ=pəɔ=fεʁ=tə=o=plys=zɔ=fʁɑ̃=puʁ=lœʁ=mœʁ=di=sɔ=lys 18
ɑ̃=tja=nε=ʁa=ki=dy=ɡʁɑ̃=ta=lεk=sɑ̃=dʁə=nə=də=mɑ̃=da=kœ̃=nɑ̃=fɑ̃ 18
ʁa=sy=ʁe=vu=mε=pə=ti=tə=sε=za=ne=də=ma=lœ=ʁə=sɔ̃=ʁe=vɔlɥ 18
nu=za=vɔ̃=ki=te=sε=ʁe=ʒj=ɔ̃=puʁ=vi=vʁə=i=si=mɛ̃=tə=nɑ̃ 17
kɔ̃=il=ʁa=kɔ̃=te=syʁ=nu=sε=malə=ze=fʁε=je=dε=tʁə=ɡu=vεʁ=ne=paʁ=dε=famə 20
kə=nu=ty=ɔ̃=no=ɡaʁ=sɔ̃=kə=nu=lε=za=vø=ɡlɔ̃=kə=nu=lε=zεs=tʁɔ=pjɔ̃ 19
vu=sa=ve=mεpə=ti=tə=kil=vi=ve=a=vεk=nu=a=vεk=vo=pε=ʁə=za=ly=ni=sɔ̃ 21
kə=də=no=ɔmə=nu=fə=zɔ̃=dε=pɔ=ε=tə=pa=dε=ɡe=ʁje=zo=sɑ̃=ɡlɑ̃=tə=lamə 20
si=nu=ku=pɔ̃=nɔ=tʁə=sɛ̃=dʁwa=sε=puʁ=tɑ̃=dʁə=la=kɔʁ=də=də=no=zaʁk 18
si=puʁ=pʁɔ=te=ʒe=lε=notʁə=nu=lə=vɔ̃=no=pel=tε=bʁɑ̃=di=sɔ̃=no=lɑ̃sə 18
sε=ta=lyl=timə=mɔ=mɑ̃=kə=nu=za=lɔ̃=za=la=ba=tajə=sɑ̃=la=mwɛ̃=dʁə=ʁy=ti=lɑ̃sə 21
nu=ʁεs=tɔ̃=nɥ=sɑ̃=zaʁ=my=ʁə=sɑ̃=dɔ=ʁy=ʁə=lwɛ̃=dε=ma=lə=mɔ=naʁk 18
sε=tɛ̃=si=kə=nu=za=vɔ̃=ki=te=la=ʁe=ʒjɔ̃=də=no=zɑ̃=sjε=nə=ʁεnə 18
kə=dɑ̃=sεt=εɡ=zɔdə=a=vεk=vo=pε=ʁə=ze=vo=fʁε=ʁə=nu=za=vɔ̃=tʁu=ve=sε=tə=te=ʁə 23
sε=dɑ̃=sε=plεnə=da=zi=mi=nə=ʁə=a=vεk=sε=ʃə=vo=so=va=ʒə=zo=sa=bo=də=fεʁ 22
kɔ̃=puse=no=zi=uʁ=tə=bi=ɡa=ʁe=lwɛ̃=dε=si=nis=tʁəe=ʁo=ze=də=lœʁ-εnə 19
sεʁ=tɛ̃=za=pεl=le=nɔtʁə=sɔ=sje=te=ma=tʁjaʁ=ka=nu=vi=vɔ̃=su=lə=si=ɲə=də=ɡε=a 22
nufə=zɔ̃=də=no=ɔ=mə=dε=pɔ=ε=tə=dε=kyl=ti=va=tœʁ=dε=zaʁ=tistə 18
də=no=fi=jə=dε=ɡe=ʁjεʁ=ə=dε=dɔk=tœ=ʁə=dε=pʁɔ=fe=sœʁ 16
dɑ̃=no=ʃɑ̃=sɔ̃=nu=ʁa=kɔ̃=tɔ̃=lε=zεks=plwa=di=pɔ=litə=dɑ̃=tja=nε=ʁa 18
kə=no=ʁε=və=sɔ̃=e=la=paʁ=fwa=si=e=tʁɑ̃=ʒə=si=tʁis=tə 16
ɑ̃=te=paʁ=lε=lwɛ̃=tɛ̃=pε=i=zu=vi=vε=o=tʁə=fwa=no=sœ=ʁə 17
a=le=mε=ʒɑ̃=ti=jə=fi=jə=za=le=vwaʁ=vo=fʁεʁə=a=le=vu=za=my=ze 19
bj=ɛ̃=to=il=sə=ʁa=lœ=ʁə=da=le=vu=ku=ʃe 13
Récompense
Commentaire Sur La Poesie

20/06/2016 01:10Tulipe Noire
Ton si joli écrit me rappel celui du grand Historien et moraliste grec " Plutarque" de vies parallèles", aussi de la belle légende de la période grec et c’est très joli et on peut tirer de leurs histoires ce nous est utile en notre pauvre époque, merci pour ce plaisir de lecture et partage mon ami Jean-Pierre.
Poème Société
Du 18/06/2016 13:47
L'écrit contient 457 mots qui sont répartis dans 10 strophes.