Poème:Rever Sans Trop Rever

Quand j’etais toute petite j’admirerais,
Les coiffeurs lorsqu’ils faisaient,
De très belles créations de chignons,
Avec des assemblages de nuances de tons.

Je rèvais d’être la coiffeuse populaire,
Des plus grandes personnalités dans l’aire,
De la mode et de la comédie musicale,
Ainsi que pour les parades royales.

Mais l’existence en a voulu autrement,
M’a emprisonné dans cette maladie,
Qui empoisonne mes muscles qui,
S’engourdissent plutôt violemment.

Du coups tout cela m’a appris même,
A rever sans trop rever ou en outre,
À ne plus du tout rever mais à m’en foutre,
Ce qui me rendais dans ma vie assez blême.

Donc je me suis réfugiée dans l’artistique,
Par mon âme sensible qui aime l’harmonie,
Dans des proses alchaïques de mes poésies,
Ainsi que dans mes dessins symboliques.

Aujourd’hui j’en suis assez heureuse,
Je pense que je peux me repermettre à nouveau,
De rêver à un destin artistiquement valo,
Efficace pour ma future bonne destinée radieuse.