Poème:L’amour, La Mort, Les Larmes.

L’Amour, enchante nos vies,
Vers le bonheur, on avançes,
Paradoxe, il est le fruit,
De nos plus grande souffrances.

D’étoiles étincelantes, parssème,
Notre quotidien, de bonheur,
Sur son chemin il nous mène,
Au plus profond de nos cœurs.

Ressentir, la passion, le désir,
La douleur, du départ d’un cœur,
Tôt ou tard, nous fait souffrir,
Avant d’offrir, quelques gouttes de bonheur.



La mort, comdamne nos cœurs,
A d’innombrables souffrances,
Des semaines, des mois de douleurs,
Nos âmes laissées à l’errance.

Elle s’octroie le pouvoir,
De nous plonger dans l’oubli,
Nous cessons alors, de croire,
Aux bonheurs de la vie.

De la mort subite, innatendue,
Fatale, atroce, contrôlée,
Elle détruit nos vies, d’imprévus,
Nos cœurs, emplit de larmes à jamais.



Les larmes coulent, éternellement,
D’Amour, de sang, d’un déçès,
Toujours en nous, ne cessant,
Jamais vraiment, de s’écoulées.

Pour un proche, trop tôt partit,
Un Amour, détruit pars le temps,
Crées une vague, de larmes d’envies,
D’une mort pour nos cœurs souffrant.

Suivant la cadence, des émotions,
Difficilement, elle se contiennent,
Derrière nos rires, nos ambitions,
Patiemment, elle se promènent.

28/4/6