De ta plume ailée, tes mots, doux, se déversent,
Tous enchantés, pour nos yeux, sublimes caresses,
De ton cœur azuré, tes maux lourds de détresse,
S’encrent dans le papier, sous forme d’allégresse.

Des écrits composés, dans l’encre, avec justesse,
Dun’Amour passionné, verset, dans la délicatesse,
A nos iris livrés, proses, imbibant de l’ivresse,
Des écrits vérités, de ton cœur de princesse…

Une terrible maladie, ton cœur, est venue frappée,
S’ajoutant dans ta vie, dans tes larmes, irisées,
Déjà lourdes d’envies, manquantes, de libertés,
Les maux de tes écrits, ruisselants de vérités…

C’est un fait établis, Iris vaincue, ça jamais,
Toujours aussi joli, ton cœur, ne va cessé,
D’offrir les écrits, d’une fée azur, déterminée,
A ne pas laisser la vie, son cœur, enterré…

Continue donc ainsi, Fée au cœur, blanc et pure,
Ecrire toutes tes envies, l’Amour pour la nature,
A chacuns de tes écrits, le même souffle, perdure,
Une douce symphonie, que seuls tes mots procurent.