Alors que mon cœur, ne te connaîs même pas,
Il est comme possédé, il ne pense plus qu’a toi,
Déjà dans ses rêves, tu es la reine de mes jours,
Tu es la douce sève, d’un délice de l’Amour.

L’ange attendue, n’apparaît pas dans les présages,
Mon cœur s’engouffre, perdus sous ces images,
De l’être élue, qui l’emplisse d’immondes douleurs,
Mon cœur souffre, seul dans l’ombre du bonheur.

Je ne cherche que l’écoute, parfumée d’attentions,
Pour dissiper mes doutes, éloigner mes tensions,
Juste un peu de tendresse, le soir et le matin,
Un cœur de princesse, enchantant mes chagrins.

Un Amour aux piliers, faits d’une grande affection,
Battis sur les bases, D’une tendresse complice,
Sur le désir d’aimer, sous le signe de la passion,
Deux cœurs chantant l’extase, sous leurs bel édifice.

Une vision ou mon cœur, prend vie à tes côtés,
Ou les peines de l’autre, s’effaçent dans la confiance,
Tous deux dans un bonheur, unis dans l’eternité,
Dans l’Amour qui est nôtre, vainqueur de l’errance.

C’est mon rêve, que de te prendre dans mes bras,
Ton petit cœur, serrer très fort, tout contre moi,
D’une envie incessante, l’embrasser tendrement,
Lui montrer l’envol, qu’ont pris mes sentiments.

Pouvoir revivre, sous le souffle de tes baisers,
Sous les caresses, de tes belles ailes d’Amour,
Pouvoir vivre, l’attraction des nuits endiablées,
Ressentir l’ivresse, dans tes bras pour toujours.

Une très longue absence, mais tu es toujours là,
Enfermée en silence, dans l’écho de mon cœur,
Je ressens ta prèsence, au plus profond de moi,
Derrière la distance, qui me sépare du bonheur.

Toi Grand Amour, tu ne doit pas être bien loin,
Car tu dois épargnées, les peines de mon cœur,
Je sais qu’un beau jour, je te retrouverais bien,
Cachée sous les traits, d’un ange sans âme sœur.

Mais s’il te plaît, ne me fait pas trop attendre,
Et toujours rappel toi, de ne jamais m’oublier,
Car mon grand cœur, tout mous tout tendre,
Ne serait rien sans toi, s’il ne peut pas aimer.