Poème:Eurydice
Le Poème
Mais comment croire à cette histoire ?
Qu’importe ! l’insensé comprendra
Un jour, une nuit ? Les portes se sont ouvertes.
Le corps gisait, brisé, l’âme enfin délivrée
L’avisait sans émoi, Eurydice, sans alerte,
Quittait sa dépouille, délaissée sans regret.
Fidèle amie veillante, gardienne tutélaire,
La mort silencieuse à ses côtés, l’attendait,
Depuis le berceau jusqu’au trépas, familière
Exquise, telle un ange, elle allait l’emporter.
Combien étaient-ils ces ténébreux morts vivants, ,
Âmes sombres, pesantes, figées dans l’attente,
Qui l’entouraient, les yeux creux, le regard absent ?
Triste purgatoire des âmes pénitentes ?
Figés, éteints, regard sans éclat, sans espoir,
Ils restaient. Sans regret, elle s’était détournée,
Sans effroi, ni passion, elle était sans mémoire.
Son dernier voyage avait déjà commencé.
Loin enfin des douleurs, des peurs, du désespoir,
Dans sa nuit, le bruit des batailles s’éloignait.
Dans cette barque d’ombre sur le Styx noir,
Au fil du fleuve, Eurydice posait ses effets.
Les étoiles lointaines qui n’éclairaient rien,
Suivaient du regard les voyageurs paisibles.
Se laissant emporter par le fleuve aérien
La belle avait retrouvé la paix indicible.
L’ange tout comme Charon guidait la gisante,
Sur un nouveau berceau se glissant hors du temps,
Vers l’ incandescence lointaine, grandissante,
La Lumière, seule repère dans ce néant.
Sans poids ni taille, sans limites ni barrières,
Elles s’envolaient loin de l’enfer des vivants
Deux âmes pures, d’amour lestées, si légères
Loin des hommes, de la terre et de ses tourments.
Nulles Erinyes infernales semant la discorde,
Sur le sombre fleuve tranquille les menant,
La lumière éclatante de miséricorde,
Les accueillait unique guide au firmament.
Mais avant l’ineffable fusion délétère,
Interrompant soudain le funèbre transport
S’interposa l’Orphée sombre au regard sévère
« Retourne aux vivants, apporte Le réconfort »
« Pour eux, rejoins ton corps souffrant de vie.
Transmets ce stupéfiant et fabuleux message :
Sur la terre est l’enfer, la mort est amour infini,
Qui lors du grand voyage sera seul bagage »
Mais comment croire à cette histoire ?
Qu’importe ! L’insensé comprendra.
Tu lui dois de transmettre ce savoir,
Et qu’importe s’il n’y crois pas, il saura.
Qu’importe ! l’insensé comprendra
Un jour, une nuit ? Les portes se sont ouvertes.
Le corps gisait, brisé, l’âme enfin délivrée
L’avisait sans émoi, Eurydice, sans alerte,
Quittait sa dépouille, délaissée sans regret.
Fidèle amie veillante, gardienne tutélaire,
La mort silencieuse à ses côtés, l’attendait,
Depuis le berceau jusqu’au trépas, familière
Exquise, telle un ange, elle allait l’emporter.
Combien étaient-ils ces ténébreux morts vivants, ,
Âmes sombres, pesantes, figées dans l’attente,
Qui l’entouraient, les yeux creux, le regard absent ?
Triste purgatoire des âmes pénitentes ?
Figés, éteints, regard sans éclat, sans espoir,
Ils restaient. Sans regret, elle s’était détournée,
Sans effroi, ni passion, elle était sans mémoire.
Son dernier voyage avait déjà commencé.
Loin enfin des douleurs, des peurs, du désespoir,
Dans sa nuit, le bruit des batailles s’éloignait.
Dans cette barque d’ombre sur le Styx noir,
Au fil du fleuve, Eurydice posait ses effets.
Les étoiles lointaines qui n’éclairaient rien,
Suivaient du regard les voyageurs paisibles.
Se laissant emporter par le fleuve aérien
La belle avait retrouvé la paix indicible.
L’ange tout comme Charon guidait la gisante,
Sur un nouveau berceau se glissant hors du temps,
Vers l’ incandescence lointaine, grandissante,
La Lumière, seule repère dans ce néant.
Sans poids ni taille, sans limites ni barrières,
Elles s’envolaient loin de l’enfer des vivants
Deux âmes pures, d’amour lestées, si légères
Loin des hommes, de la terre et de ses tourments.
Nulles Erinyes infernales semant la discorde,
Sur le sombre fleuve tranquille les menant,
La lumière éclatante de miséricorde,
Les accueillait unique guide au firmament.
Mais avant l’ineffable fusion délétère,
Interrompant soudain le funèbre transport
S’interposa l’Orphée sombre au regard sévère
« Retourne aux vivants, apporte Le réconfort »
« Pour eux, rejoins ton corps souffrant de vie.
Transmets ce stupéfiant et fabuleux message :
Sur la terre est l’enfer, la mort est amour infini,
Qui lors du grand voyage sera seul bagage »
Mais comment croire à cette histoire ?
Qu’importe ! L’insensé comprendra.
Tu lui dois de transmettre ce savoir,
Et qu’importe s’il n’y crois pas, il saura.
PostScriptum
Un message qui me tenait à cœur… Le Mythe d’Orphée recherchant Eurydice aux Enfers un peu égratigné…
Poète Df
Df a publié sur le site 131 écrits. Df est membre du site depuis l'année 2015.Lire le profil du poète DfSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Eurydice
mais=com=ment=croi=re=à=cet=te=his=toi=re 11quim=por=te=lin=sen=sé=com=pren=dra 9
un=jour=u=ne=nuit=les=por=tes=se=sont=ou=vertes 12
le=corps=gi=sait=bri=sé=lâ=meen=fin=dé=li=vrée 12
la=vi=sait=sans=é=moi=eu=ry=dice=sans=a=lerte 12
quit=tait=sa=dé=poui=lle=dé=lais=sée=sans=re=gret 12
fi=dè=le=a=mie=veillante=gar=dien=ne=tu=té=laire 12
la=mort=silen=cieu=se=à=ses=cô=tés=lat=ten=dait 12
de=puis=le=ber=ceau=jus=quau=tré=pas=fa=mi=lière 12
ex=quise=tel=leun=an=ge=el=le=al=lait=lem=por=ter 13
com=bien=é=taient=tils=ces=té=né=breux=morts=vi=vants 12
â=mes=som=bres=pe=santes=fi=gées=dans=lat=ten=te 12
qui=len=tou=raient=les=yeux=creux=le=re=gard=ab=sent 12
tris=te=pur=ga=toi=re=des=â=mes=pé=ni=tentes 12
fi=gés=é=teints=re=gard=sans=é=clat=sans=es=poir 12
ils=res=taient=sans=re=gret=el=le=sé=tait=dé=tour=née 13
sans=ef=froi=ni=pas=sion=el=leé=tait=sans=mé=moire 12
son=der=nier=voy=age=a=vait=dé=jà=com=men=cé 12
loin=en=fin=des=dou=leurs=des=peurs=du=dé=ses=poir 12
dans=sa=nuit=le=bruit=des=ba=tail=les=sé=loi=gnait 12
dans=cet=te=bar=que=dom=bre=sur=le=styx=noir 11
au=fil=du=fleuve=eu=ry=di=ce=po=sait=ses=ef=fets 13
les=é=toi=les=loin=tai=nes=qui=né=clai=raient=rien 12
sui=vaient=du=re=gard=les=voy=a=geurs=pai=si=bles 12
se=lais=sant=em=por=ter=par=le=fleu=ve=aé=rien 12
la=bel=lea=vait=re=trou=vé=la=paix=in=di=cible 12
lan=ge=tout=com=me=cha=ron=gui=dait=la=gi=sante 12
sur=un=nou=veau=ber=ceau=se=glis=sant=hors=du=temps 12
vers=lin=can=des=cen=ce=loin=tai=ne=gran=dis=sante 12
la=lu=mière=seu=le=re=pè=re=dans=ce=né=ant 12
sans=poids=ni=tail=le=sans=li=mi=tes=ni=bar=rières 12
el=les=sen=vo=laient=loin=de=len=fer=des=vi=vants 12
deux=â=mes=pu=res=da=mour=les=tées=si=lé=gères 12
loin=des=hom=mes=de=la=terre=et=de=ses=tour=ments 12
nul=les=e=ri=nyes=in=fer=nales=se=mant=la=dis=corde 13
sur=le=som=bre=fleu=ve=tran=quil=le=les=me=nant 12
la=lu=mière=é=cla=tan=te=de=mi=sé=ri=corde 12
les=ac=cueillait=u=ni=que=gui=de=au=fir=ma=ment 12
mais=a=vant=li=nef=fa=ble=fu=sion=dé=lé=tère 12
in=ter=rom=pant=sou=dain=le=fu=nè=bre=trans=port 12
sin=ter=po=sa=lor=phée=sombre=au=re=gard=sé=vère 12
re=tourneaux=vi=vants=ap=por=te=le=ré=con=fort 12
pour=eux=re=joins=ton=corps=souf=frant=de=vie 11
trans=mets=ce=stu=pé=fiant=et=fa=bu=leux=mes=sage 12
sur=la=terreest=len=fer=la=mort=est=a=mour=in=fi=ni 13
qui=lors=du=grand=voy=a=ge=se=ra=seul=ba=gage 12
mais=com=ment=croi=re=à=cet=te=his=toi=re 11
quim=por=te=lin=sen=sé=com=pren=dra 9
tu=lui=dois=de=trans=met=tre=ce=sa=voir 10
et=quim=por=te=sil=ny=crois=pas=il=sau=ra 11
Phonétique : Eurydice
mε kɔmɑ̃ kʁwaʁə a sεtə istwaʁə ?kɛ̃pɔʁtə ! lɛ̃sɑ̃se kɔ̃pʁɑ̃dʁa
œ̃ ʒuʁ, ynə nɥi ? lε pɔʁtə- sə sɔ̃t- uvεʁtə.
lə kɔʁ ʒizε, bʁize, lamə ɑ̃fɛ̃ delivʁe
lavizε sɑ̃z- emwa, əʁidisə, sɑ̃z- alεʁtə,
kitε sa depujə, delεse sɑ̃ ʁəɡʁε.
fidεlə ami vεjɑ̃tə, ɡaʁdjεnə tytelεʁə,
la mɔʁ silɑ̃sjøzə a sε kote, latɑ̃dε,
dəpɥi lə bεʁso ʒysko tʁepa, familjεʁə
εkskizə, tεllə œ̃n- ɑ̃ʒə, εllə alε lɑ̃pɔʁte.
kɔ̃bjɛ̃ etε til sε tenebʁø mɔʁ vivɑ̃,
amə sɔ̃bʁə, pəzɑ̃tə, fiʒe dɑ̃ latɑ̃tə,
ki lɑ̃tuʁε, lεz- iø kʁø, lə ʁəɡaʁ absɑ̃ ?
tʁistə pyʁɡatwaʁə dεz- amə penitɑ̃tə ?
fiʒe, etɛ̃, ʁəɡaʁ sɑ̃z- ekla, sɑ̃z- εspwaʁ,
il ʁεstε. sɑ̃ ʁəɡʁε, εllə setε detuʁne,
sɑ̃z- efʁwa, ni pasjɔ̃, εllə etε sɑ̃ memwaʁə.
sɔ̃ dεʁnje vwajaʒə avε deʒa kɔmɑ̃se.
lwɛ̃ ɑ̃fɛ̃ dε dulœʁ, dε pœʁ, dy dezεspwaʁ,
dɑ̃ sa nɥi, lə bʁɥi dε batajə selwaɲε.
dɑ̃ sεtə baʁkə dɔ̃bʁə syʁ lə stiks nwaʁ,
o fil dy fləvə, əʁidisə pozε sεz- efε.
lεz- etwalə lwɛ̃tεnə ki neklεʁε ʁjɛ̃,
sɥivε dy ʁəɡaʁ lε vwajaʒœʁ pεziblə.
sə lεsɑ̃ ɑ̃pɔʁte paʁ lə fləvə aeʁjɛ̃
la bεllə avε ʁətʁuve la pε ɛ̃disiblə.
lɑ̃ʒə tu kɔmə ʃaʁɔ̃ ɡidε la ʒizɑ̃tə,
syʁ œ̃ nuvo bεʁso sə ɡlisɑ̃ ɔʁ dy tɑ̃,
vεʁ lɛ̃kɑ̃desɑ̃sə lwɛ̃tεnə, ɡʁɑ̃disɑ̃tə,
la lymjεʁə, sələ ʁəpεʁə dɑ̃ sə neɑ̃.
sɑ̃ pwa ni tajə, sɑ̃ limitə ni baʁjεʁə,
εllə sɑ̃vɔlε lwɛ̃ də lɑ̃fe dε vivɑ̃
døz- amə pyʁə, damuʁ lεste, si leʒεʁə
lwɛ̃ dεz- ɔmə, də la teʁə e də sε tuʁmɑ̃.
nyləz- əʁiniz- ɛ̃fεʁnalə səmɑ̃ la diskɔʁdə,
syʁ lə sɔ̃bʁə fləvə tʁɑ̃kjə lε mənɑ̃,
la lymjεʁə eklatɑ̃tə də mizeʁikɔʁdə,
lεz- akœjε ynikə ɡidə o fiʁmame.
mεz- avɑ̃ linefablə fyzjɔ̃ deletεʁə,
ɛ̃teʁɔ̃pɑ̃ sudɛ̃ lə fynεbʁə tʁɑ̃spɔʁ
sɛ̃tεʁpoza lɔʁfe sɔ̃bʁə o ʁəɡaʁ sevεʁə
« ʁətuʁnə o vivɑ̃, apɔʁtə lə ʁekɔ̃fɔʁt »
« puʁ ø, ʁəʒwɛ̃ tɔ̃ kɔʁ sufʁɑ̃ də vi.
tʁɑ̃smε sə stypefjɑ̃ e fabylø mesaʒə :
syʁ la teʁə ε lɑ̃fe, la mɔʁ εt- amuʁ ɛ̃fini,
ki lɔʁ dy ɡʁɑ̃ vwajaʒə səʁa səl baɡaʒə »
mε kɔmɑ̃ kʁwaʁə a sεtə istwaʁə ?
kɛ̃pɔʁtə ! lɛ̃sɑ̃se kɔ̃pʁɑ̃dʁa.
ty lɥi dwa də tʁɑ̃smεtʁə sə savwaʁ,
e kɛ̃pɔʁtə sil ni kʁwa pa, il soʁa.
Syllabes Phonétique : Eurydice
mε=kɔ=mɑ̃=kʁwa=ʁə=a=sε=tə=is=twa=ʁə 11kɛ̃=pɔʁ=tə=lɛ̃=sɑ̃=se=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁa 9
œ̃=ʒuʁ=y=nə=nɥi=lε=pɔʁ=tə=sə=sɔ̃=tu=vεʁtə 12
lə=kɔʁ=ʒi=zε=bʁi=ze=lamə=ɑ̃=fɛ̃=de=li=vʁe 12
la=vi=zε=sɑ̃=ze=mwaə=ʁi=di=sə=sɑ̃=za=lεʁtə 12
ki=tε=sa=de=pu=jə=de=lε=se=sɑ̃=ʁə=ɡʁε 12
fi=dεləa=mi=vε=jɑ̃=tə=ɡaʁ=djε=nə=ty=te=lεʁə 12
la=mɔʁ=si=lɑ̃=sjøzə=a=sε=ko=te=la=tɑ̃=dε 12
dəp=ɥi=lə=bεʁ=so=ʒys=ko=tʁe=pa=fa=mi=ljεʁə 12
εk=skizə=tεl=ləœ̃=nɑ̃ʒə=εl=lə=a=lε=lɑ̃=pɔʁ=te 12
kɔ̃=bjɛ̃=e=tε=til=sε=te=ne=bʁø=mɔʁ=vi=vɑ̃ 12
a=mə=sɔ̃=bʁə=pə=zɑ̃tə=fi=ʒe=dɑ̃=la=tɑ̃=tə 12
ki=lɑ̃=tu=ʁε=lε=zi=ø=kʁø=ləʁə=ɡaʁ=ab=sɑ̃ 12
tʁis=tə=pyʁ=ɡa=twa=ʁə=dε=za=mə=pe=ni=tɑ̃tə 12
fi=ʒe=e=tɛ̃=ʁə=ɡaʁ=sɑ̃=ze=kla=sɑ̃=zεs=pwaʁ 12
il=ʁεs=tε=sɑ̃ʁə=ɡʁε=εl=lə=se=tε=de=tuʁ=ne 12
sɑ̃=ze=fʁwa=ni=pa=sjɔ̃=εl=ləe=tε=sɑ̃=me=mwaʁə 12
sɔ̃=dεʁ=nje=vwa=ja=ʒə=a=vε=de=ʒa=kɔ=mɑ̃se 12
lwɛ̃=ɑ̃=fɛ̃=dε=du=lœʁ=dε=pœʁ=dy=de=zεs=pwaʁ 12
dɑ̃=sa=nɥi=lə=bʁɥi=dε=ba=ta=jə=se=lwa=ɲε 12
dɑ̃=sε=tə=ba=ʁkə=dɔ̃=bʁə=syʁ=lə=stiks=nwaʁ 11
o=fil=dyflə=və=ə=ʁi=di=sə=po=zε=sε=ze=fε 13
lε=ze=twa=lə=lwɛ̃=tε=nə=ki=ne=klε=ʁε=ʁjɛ̃ 12
sɥi=vε=dy=ʁə=ɡaʁ=lε=vwa=ja=ʒœʁ=pε=zi=blə 12
sə=lε=sɑ̃=ɑ̃=pɔʁ=te=paʁlə=flə=və=a=e=ʁjɛ̃ 12
la=bεl=lə=a=vεʁə=tʁu=ve=la=pε=ɛ̃=di=siblə 12
lɑ̃=ʒə=tu=kɔ=mə=ʃa=ʁɔ̃=ɡi=dε=la=ʒi=zɑ̃tə 12
syʁ=œ̃=nu=vo=bεʁ=so=sə=ɡli=sɑ̃=ɔʁ=dy=tɑ̃ 12
vεʁ=lɛ̃=kɑ̃=de=sɑ̃=sə=lwɛ̃=tε=nə=ɡʁɑ̃=di=sɑ̃tə 12
la=ly=mjεʁə=sə=lə=ʁə=pε=ʁə=dɑ̃=sə=ne=ɑ̃ 12
sɑ̃=pwa=ni=ta=jə=sɑ̃=li=mi=tə=ni=ba=ʁjεʁə 12
εl=lə=sɑ̃=vɔ=lε=lwɛ̃=də=lɑ̃=fe=dε=vi=vɑ̃ 12
dø=za=mə=py=ʁə=da=muʁ=lεs=te=si=le=ʒεʁə 12
lwɛ̃=dε=zɔmə=də=la=te=ʁə=e=də=sε=tuʁ=mɑ̃ 12
nylə=zə=ʁi=ni=zɛ̃=fεʁ=na=lə=sə=mɑ̃=la=diskɔʁdə 12
syʁ=lə=sɔ̃=bʁə=flə=və=tʁɑ̃=kj=ə=lε=mə=nɑ̃ 12
la=ly=mjεʁə=e=kla=tɑ̃=tə=də=mi=ze=ʁi=kɔʁdə 12
lε=za=kœjε=y=ni=kə=ɡi=də=o=fiʁ=ma=me 12
mε=za=vɑ̃=li=ne=fa=blə=fy=zjɔ̃=de=le=tεʁə 12
ɛ̃=te=ʁɔ̃=pɑ̃=su=dɛ̃=lə=fy=nε=bʁə=tʁɑ̃s=pɔʁ 12
sɛ̃=tεʁ=po=za=lɔʁ=fe=sɔ̃bʁə=o=ʁə=ɡaʁ=se=vεʁə 12
ʁə=tuʁnəo=vi=vɑ̃=a=pɔʁ=tə=lə=ʁe=kɔ̃=fɔʁt 12
puʁ=ø=ʁə=ʒwɛ̃=tɔ̃=kɔʁ=su=fʁɑ̃=də=vi 11
tʁɑ̃s=mε=sə=sty=pe=fjɑ̃=e=fa=by=lø=me=saʒə 12
syʁ=la=te=ʁəε=lɑ̃=fe=la=mɔʁ=ε=ta=muʁ=ɛ̃=fi=ni 14
ki=lɔʁ=dy=ɡʁɑ̃=vwa=ja=ʒə=sə=ʁa=səl=ba=ɡaʒə 12
mε=kɔ=mɑ̃=kʁwa=ʁə=a=sε=tə=is=twa=ʁə 11
kɛ̃=pɔʁ=tə=lɛ̃=sɑ̃=se=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁa 9
ty=lɥi=dwa=də=tʁɑ̃s=mε=tʁə=sə=sa=vwaʁ 10
e=kɛ̃=pɔʁ=tə=sil=ni=kʁwa=pa=il=so=ʁa 11
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
08/05/2016 10:05Willy25
Ne parleplus. Ne penseplus. Laisse ta main se promenersurmoi. Laisse-laêtreheureusetouteseule. Toutredeviendrait si simple si tu laissais ta mainseule m’aimer. Sansplusriendire...
Eurydice (1942)
Jean Anouilh
08/05/2016 11:50Bernard Deletang
J’aime.......SANS COMMENTAIRE
11/05/2016 08:36Coburitc
Une plongée en Enfer avec la belle Eurydice, espérons que cette fois Orphée ne se retourne pas sur sa belle...
jean-Pierre
Poème Mort
Du 08/05/2016 09:47
L'écrit contient 362 mots qui sont répartis dans 13 strophes.