Poème:Femme Que J’aime,

Belle, sous ce soleil pareil au mien, pourtant si lointain,
Elle marche sur les sables dorés d’une plage que je ne sais.
Femme, sous la ligne parfaite de ces cils aux traits fins,
Ces yeux aimants remplis d’une lumière que je connais.

Elle, toute ma vie, le souffle de ces murmures est en moi,
Résonne dans mon vide de solitude comme un appel.
Lèvres ourlées de carmin brillant qui réveillent mes émois,
J’entends les chant doux des promesses de merveilles.

Courbes de madone, elle la beauté antique des déesses de Rome,
Sur un éperon rocheux, village haut perché dans le ciel,
Elle marche rêveuse scrutant au loin l’azur chargé d’arômes,
Senteurs de la douce méditerranée qui dort la éternelle.

Elle, tout mes rêves sont des colliers à sa peau de satin tendre,
Chaque instant d’elle amoureuse perdue dans ces pensées,
Sont des instants infinis, moments que je ne cesse d’attendre,
Elle est la douceur romantique du sud, la poésie incarnée.

Elle cette femme qui m’aime, elle est celle que j’aime,
Saurais je un jour vous dire cet amour qui ne cesse de grandir.
Il n’est pas de mots, il n’est pas de vers qui convienne,
Pour vous décrire cette femme amoureuse pour qui je soupire.