Prose:Ma Vérité
La Prose
C’est un frisson ardent qui hurle et brûle la peau des merveilleux quand les sots sont au dessus des lois et des enjeux. La vérité n’est pas loin, juste sous nos yeux.
C’est une erreur de plus à noter sur un libelle turpide, des sentiments reclus à l’odeur putride.
Nul ne panse ses plaies par la force de l’éréthisme de blessures passées. Menteur celui qui dit qu’il n’a jamais connu dépit ou chagrin, ni effleuré le désir de vengeance pour toutes ses offenses physiques ou morales.
C’est un chemin étroit, excuse facile de penser que « Soi » n’est qu’un ange innocent et aveugle. Croire en vain que les parias qui ont faim ne sont que des faux qui buglent.
C’est une colombe qui vole trop bas et qui finira par s’écraser. Une aile brisée et un enfant qui pleure son décès.
Sous un train, on trouvera une mère brêle qui n’a pas voulu écouter.
Si petits et si grands, ceux qui s’occupent désormais d’un père qui éponge sa peine au travers des bouteilles, à la mer, volées.
C’est une histoire terminée entre deux amants qui n’aiment plus avoir peur. Qui ne sont que le reflet d’un tumulte de mensonges et de blâmes. L’histoire sombre d’une série de pleurs parce que l’un d’eux a succombé à la sueur des plaisirs coupables.
C’est un fauve braconné puis vendu pour peu. Une tour d’ivoire pour récompenser et soulager ses semblables ; un tapis de plumes ou de poils pour réchauffer les cœurs des victimes poursuivies par un acte. Des trombines tapissent les murs des chasseurs bourrés de tact. Ironie courroucée parce qu’aucun mot n’existe pour décrire le parfum de ces pactes.
C’est un gosse violé par un voisin ou un parent, comme une ombre démoniaque poursuivant des agréments palpables. Des vies déchirées à l’âge de l’innocence par de sombres rétrogrades.
En voilà d’autres battus qui mentent pour survivre, mais qu’on signalera disparus parce que personne n’a voulu les suivre.
C’est un soleil triste qui tisse des rayons noirs avec pour dessein de se relever plus fort et endurant que la brume qui, le soir, met en lumière les spectres mesquins et les violeurs de seins.
C’est le vacarme puis le silence dans l’esprit d’un libre conquérant du bonheur. Perdu le sensible dans ce monde effroyable qui ne rit plus de rien parce qu’il est trop affligé.
C’est un cauchemar virulent qui me réveille et me cri dans l’oreille. Si violent qu’il n’éveille que dépris et sentences contre moi-même.
C’est une parfaite utopie que de parier sur la poésie quand le vent met en couleur le sang des plus fragiles et que la roue de la liberté est rouillée depuis bien longtemps.
C’est un génocide encore. Une approche qui donne vertige à ceux qui sentent le sort venir des combattants risquant leur vie pour d’obscurs trésors. Apocalypse familiale quand vient le temps de compter les morts.
C’est un être qui s’en va, qu’on ne reverra plus. Par lâcheté il a révisé sa destinée. Pleutrerie et courage lésé, il a été lesté par le pouvoir et l’apparence. Le fade ami qui n’a rien comprit.
C’est un trouble de la mémoire quand se répète l’histoire.
Une lys qui fane sur une table de chevet quand la faucheuse est passée mais que personne n’a réclamé le corps de l’angelet.
C’est une maladie qui s’en vient de nulle part, qui brise et anéanti tout espoir. Elle prend au dépourvu des âmes de joies, des chaleurs qui nous plonge dans l’émois. Les meilleurs sont certains de finir dépouillés. Démunis de leur santé pour avoir trop bien fait. Mais la clef sera pour eux, le paradis.
C’est une échelle qui bascule, un vide sans fond qui nous éprouve et nous heurte à chaque instant. Il n’est pas noble d’être immaculé, ce globe autrefois illustre devenu pâle, gris, froid, qui ne reconnaît plus l’amour et préfère de loin rester dans la facilité : le pêché.
C’est une erreur de plus à noter sur un libelle turpide, des sentiments reclus à l’odeur putride.
Nul ne panse ses plaies par la force de l’éréthisme de blessures passées. Menteur celui qui dit qu’il n’a jamais connu dépit ou chagrin, ni effleuré le désir de vengeance pour toutes ses offenses physiques ou morales.
C’est un chemin étroit, excuse facile de penser que « Soi » n’est qu’un ange innocent et aveugle. Croire en vain que les parias qui ont faim ne sont que des faux qui buglent.
C’est une colombe qui vole trop bas et qui finira par s’écraser. Une aile brisée et un enfant qui pleure son décès.
Sous un train, on trouvera une mère brêle qui n’a pas voulu écouter.
Si petits et si grands, ceux qui s’occupent désormais d’un père qui éponge sa peine au travers des bouteilles, à la mer, volées.
C’est une histoire terminée entre deux amants qui n’aiment plus avoir peur. Qui ne sont que le reflet d’un tumulte de mensonges et de blâmes. L’histoire sombre d’une série de pleurs parce que l’un d’eux a succombé à la sueur des plaisirs coupables.
C’est un fauve braconné puis vendu pour peu. Une tour d’ivoire pour récompenser et soulager ses semblables ; un tapis de plumes ou de poils pour réchauffer les cœurs des victimes poursuivies par un acte. Des trombines tapissent les murs des chasseurs bourrés de tact. Ironie courroucée parce qu’aucun mot n’existe pour décrire le parfum de ces pactes.
C’est un gosse violé par un voisin ou un parent, comme une ombre démoniaque poursuivant des agréments palpables. Des vies déchirées à l’âge de l’innocence par de sombres rétrogrades.
En voilà d’autres battus qui mentent pour survivre, mais qu’on signalera disparus parce que personne n’a voulu les suivre.
C’est un soleil triste qui tisse des rayons noirs avec pour dessein de se relever plus fort et endurant que la brume qui, le soir, met en lumière les spectres mesquins et les violeurs de seins.
C’est le vacarme puis le silence dans l’esprit d’un libre conquérant du bonheur. Perdu le sensible dans ce monde effroyable qui ne rit plus de rien parce qu’il est trop affligé.
C’est un cauchemar virulent qui me réveille et me cri dans l’oreille. Si violent qu’il n’éveille que dépris et sentences contre moi-même.
C’est une parfaite utopie que de parier sur la poésie quand le vent met en couleur le sang des plus fragiles et que la roue de la liberté est rouillée depuis bien longtemps.
C’est un génocide encore. Une approche qui donne vertige à ceux qui sentent le sort venir des combattants risquant leur vie pour d’obscurs trésors. Apocalypse familiale quand vient le temps de compter les morts.
C’est un être qui s’en va, qu’on ne reverra plus. Par lâcheté il a révisé sa destinée. Pleutrerie et courage lésé, il a été lesté par le pouvoir et l’apparence. Le fade ami qui n’a rien comprit.
C’est un trouble de la mémoire quand se répète l’histoire.
Une lys qui fane sur une table de chevet quand la faucheuse est passée mais que personne n’a réclamé le corps de l’angelet.
C’est une maladie qui s’en vient de nulle part, qui brise et anéanti tout espoir. Elle prend au dépourvu des âmes de joies, des chaleurs qui nous plonge dans l’émois. Les meilleurs sont certains de finir dépouillés. Démunis de leur santé pour avoir trop bien fait. Mais la clef sera pour eux, le paradis.
C’est une échelle qui bascule, un vide sans fond qui nous éprouve et nous heurte à chaque instant. Il n’est pas noble d’être immaculé, ce globe autrefois illustre devenu pâle, gris, froid, qui ne reconnaît plus l’amour et préfère de loin rester dans la facilité : le pêché.
Poète Sarah Delpech
Sarah Delpech a publié sur le site 65 écrits. Sarah Delpech est membre du site depuis l'année 2021.Lire le profil du poète Sarah DelpechSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Ma Vérité
cest=un=fris=son=ar=dent=qui=hur=le=et=brû=le=la=peau=des=mer=veil=leux=quand=les=sots=sont=au=des=sus=des=lois=et=des=en=jeux=la=vé=ri=té=nest=pas=loin=jus=te=sous=nos=y=eux 44cest=u=ne=er=reur=de=plus=à=no=ter=sur=un=li=bel=le=tur=pi=de=des=sen=ti=ments=re=clus=à=lo=deur=pu=tri=de 30
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sous=un=train=on=trou=ve=ra=u=ne=mè=re=brê=le=qui=na=pas=vou=lu=é=cou=ter 21
si=pe=tits=et=si=grands=ceux=qui=soc=cu=pent=dé=sor=mais=dun=pè=re=qui=é=pon=ge=sa=pei=ne=au=tra=vers=des=bou=tei=lles=à=la=mer=vo=lées 36
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Phonétique : Ma Vérité
sεt- œ̃ fʁisɔ̃ aʁde ki yʁlə e bʁylə la po dε mεʁvεjø kɑ̃ lε so sɔ̃t- o dəsy dε lwaz- e dεz- ɑ̃ʒø. la veʁite nε pa lwɛ̃, ʒystə su noz- iø.sεt- ynə eʁœʁ də plysz- a nɔte syʁ œ̃ libεllə tyʁpidə, dε sɑ̃timɑ̃ ʁəklysz- a lɔdœʁ pytʁidə.
nyl nə pɑ̃sə sε plε paʁ la fɔʁsə də leʁetismə də blesyʁə pase. mɑ̃tœʁ səlɥi ki di kil na ʒamε kɔny depi u ʃaɡʁɛ̃, ni efləʁe lə deziʁ də vɑ̃ʒɑ̃sə puʁ tutə sεz- ɔfɑ̃sə fizikz- u mɔʁalə.
sεt- œ̃ ʃəmɛ̃ etʁwa, εkskyzə fasilə də pɑ̃se kə « swa » nε kœ̃n- ɑ̃ʒə inɔse e avøɡlə. kʁwaʁə ɑ̃ vɛ̃ kə lε paʁja ki ɔ̃ fɛ̃ nə sɔ̃ kə dε fo ki byɡle.
sεt- ynə kɔlɔ̃bə ki vɔlə tʁo ba e ki finiʁa paʁ sekʁaze. ynə εlə bʁize e œ̃n- ɑ̃fɑ̃ ki plœʁə sɔ̃ desε.
suz- œ̃ tʁɛ̃, ɔ̃ tʁuvəʁa ynə mεʁə bʁεlə ki na pa vuly ekute.
si pətiz- e si ɡʁɑ̃, sø ki sɔkype dezɔʁmε dœ̃ pεʁə ki epɔ̃ʒə sa pεnə o tʁavεʁ dε butεjə, a la mεʁ, vɔle.
sεt- ynə istwaʁə tεʁmine ɑ̃tʁə døz- amɑ̃ ki nεme plysz- avwaʁ pœʁ. ki nə sɔ̃ kə lə ʁəflε dœ̃ tymyltə də mɑ̃sɔ̃ʒəz- e də blamə. listwaʁə sɔ̃bʁə dynə seʁi də plœʁ paʁsə kə lœ̃ døz- a sykɔ̃be a la sɥœʁ dε plεziʁ kupablə.
sεt- œ̃ fovə bʁakɔne pɥi vɑ̃dy puʁ pø. ynə tuʁ divwaʁə puʁ ʁekɔ̃pɑ̃se e sulaʒe sε sɑ̃blablə, œ̃ tapi də plyməz- u də pwal puʁ ʁeʃofe lε kœʁ dε viktimə puʁsɥivi paʁ œ̃n- aktə. dε tʁɔ̃binə tapise lε myʁ dε ʃasœʁ buʁʁe də takt. iʁɔni kuʁʁuse paʁsə kokœ̃ mo nεɡzistə puʁ dekʁiʁə lə paʁfœ̃ də sε paktə.
sεt- œ̃ ɡɔsə vjɔle paʁ œ̃ vwazɛ̃ u œ̃ paʁɑ̃, kɔmə ynə ɔ̃bʁə demɔnjakə puʁsɥivɑ̃ dεz- aɡʁemɑ̃ palpablə. dε vi deʃiʁez- a laʒə də linɔsɑ̃sə paʁ də sɔ̃bʁə- ʁetʁɔɡʁadə.
ɑ̃ vwala dotʁə- batys ki mɑ̃te puʁ syʁvivʁə, mε kɔ̃ siɲaləʁa dispaʁys paʁsə kə pεʁsɔnə na vuly lε sɥivʁə.
sεt- œ̃ sɔlεj tʁistə ki tisə dε ʁεjɔ̃ nwaʁz- avεk puʁ desɛ̃ də sə ʁələve plys fɔʁ e ɑ̃dyʁɑ̃ kə la bʁymə ki, lə swaʁ, mεt ɑ̃ lymjεʁə lε spεktʁə- mεskɛ̃z- e lε vjɔlœʁ də sɛ̃.
sε lə vakaʁmə pɥi lə silɑ̃sə dɑ̃ lεspʁi dœ̃ libʁə kɔ̃keʁɑ̃ dy bɔnœʁ. pεʁdy lə sɑ̃siblə dɑ̃ sə mɔ̃də efʁwajablə ki nə ʁit plys də ʁjɛ̃ paʁsə kil ε tʁo afliʒe.
sεt- œ̃ koʃəmaʁ viʁyle ki mə ʁevεjə e mə kʁi dɑ̃ lɔʁεjə. si vjɔle kil nevεjə kə depʁiz- e sɑ̃tɑ̃sə kɔ̃tʁə mwa mεmə.
sεt- ynə paʁfεtə ytɔpi kə də paʁje syʁ la pɔezi kɑ̃ lə vɑ̃ mεt ɑ̃ kulœʁ lə sɑ̃ dε plys fʁaʒiləz- e kə la ʁu də la libεʁte ε ʁuje dəpɥi bjɛ̃ lɔ̃tɑ̃.
sεt- œ̃ ʒenɔsidə ɑ̃kɔʁə. ynə apʁoʃə ki dɔnə vεʁtiʒə a sø ki sɑ̃te lə sɔʁ vəniʁ dε kɔ̃batɑ̃ ʁiskɑ̃ lœʁ vi puʁ dɔpskyʁ tʁezɔʁ. apɔkalipsə familjalə kɑ̃ vjɛ̃ lə tɑ̃ də kɔ̃te lε mɔʁ.
sεt- œ̃n- εtʁə ki sɑ̃ va, kɔ̃ nə ʁəveʁa plys. paʁ laʃəte il a ʁevize sa dεstine. pløtʁəʁi e kuʁaʒə leze, il a ete lεste paʁ lə puvwaʁ e lapaʁɑ̃sə. lə fadə ami ki na ʁjɛ̃ kɔ̃pʁi.
sεt- œ̃ tʁublə də la memwaʁə kɑ̃ sə ʁepεtə listwaʁə.
ynə lis ki fanə syʁ ynə tablə də ʃəvε kɑ̃ la foʃøzə ε pase mε kə pεʁsɔnə na ʁeklame lə kɔʁ də lɑ̃ʒəlε.
sεt- ynə maladi ki sɑ̃ vjɛ̃ də nylə paʁ, ki bʁizə e aneɑ̃ti tut- εspwaʁ. εllə pʁɑ̃t- o depuʁvy dεz- amə də ʒwa, dε ʃalœʁ ki nu plɔ̃ʒə dɑ̃ lemwa. lε mεjœʁ sɔ̃ sεʁtɛ̃ də finiʁ depuje. demyni də lœʁ sɑ̃te puʁ avwaʁ tʁo bjɛ̃ fε. mε la kle səʁa puʁ ø, lə paʁadi.
sεt- ynə eʃεllə ki baskylə, œ̃ vidə sɑ̃ fɔ̃ ki nuz- epʁuvə e nuz- œʁtə a ʃakə ɛ̃stɑ̃. il nε pa nɔblə dεtʁə imakyle, sə ɡlɔbə otʁəfwaz- ilystʁə dəvəny palə, ɡʁi, fʁwa, ki nə ʁəkɔnε plys lamuʁ e pʁefεʁə də lwɛ̃ ʁεste dɑ̃ la fasilite : lə pεʃe.
Syllabes Phonétique : Ma Vérité
sε=tœ̃=fʁi=sɔ̃=aʁ=de=ki=yʁ=ləe=bʁy=lə=la=po=dε=mεʁ=vε=jø=kɑ̃=lε=so=sɔ̃=to=də=sy=dε=lwa=ze=dε=zɑ̃=ʒø=la=ve=ʁi=te=nε=pa=lwɛ̃=ʒys=tə=su=no=ziø 42sε=ty=nə=e=ʁœ=ʁə=də=plys=za=nɔ=te=syʁ=œ̃=li=bεl=lə=tyʁ=pi=də=dε=sɑ̃=ti=mɑ̃=ʁə=klys=za=lɔ=dœ=ʁə=py=tʁi=də 32
nyl=nə=pɑ̃sə=sε=plε=paʁ=la=fɔʁ=sə=də=le=ʁe=tis=mə=də=ble=sy=ʁə=pa=se=mɑ̃=tœʁ=səl=ɥi=ki=di=kil=na=ʒa=mε=kɔ=ny=de=pi=u=ʃa=ɡʁɛ̃=ni=e=flə=ʁe=lə=de=ziʁ=də=vɑ̃=ʒɑ̃=sə=puʁ=tu=tə=sε=zɔ=fɑ̃=sə=fi=zik=zu=mɔ=ʁalə 60
sε=tœ̃=ʃə=mɛ̃=e=tʁwa=εk=sky=zə=fa=si=lə=də=pɑ̃=se=kə=swa=nε=kœ̃=nɑ̃=ʒə=i=nɔ=se=e=a=vø=ɡlə=kʁwa=ʁə=ɑ̃=vɛ̃=kə=lε=pa=ʁj=a=ki=ɔ̃=fɛ̃=nə=sɔ̃=kə=dε=fo=ki=by=ɡle 48
sε=ty=nə=kɔ=lɔ̃=bə=ki=vɔ=lə=tʁo=ba=e=ki=fi=ni=ʁa=paʁ=se=kʁa=ze=y=nə=ε=lə=bʁi=ze=e=œ̃=nɑ̃=fɑ̃=ki=plœ=ʁə=sɔ̃=de=sε 36
su=zœ̃=tʁɛ̃=ɔ̃=tʁu=və=ʁa=y=nə=mε=ʁə=bʁε=lə=ki=na=pa=vu=ly=e=ku=te 21
si=pə=ti=ze=si=ɡʁɑ̃=sø=ki=sɔ=ky=pe=de=zɔʁ=mε=dœ̃=pε=ʁə=ki=e=pɔ̃=ʒə=sa=pε=nə=o=tʁa=vεʁ=dε=bu=tε=jə=a=la=mεʁ=vɔ=le 36
sεtynə=is=twaʁə=tεʁ=mi=ne=ɑ̃=tʁə=dø=za=mɑ̃=ki=nε=me=plys=za=vwaʁ=pœʁ=ki=nə=sɔ̃=kə=lə=ʁə=flε=dœ̃=ty=myl=tə=də=mɑ̃=sɔ̃=ʒə=ze=də=bla=mə=lis=twa=ʁə=sɔ̃=bʁə=dy=nə=se=ʁi=də=plœʁ=paʁ=sə=kə=lœ̃=dø=za=sy=kɔ̃=be=a=la=sɥœʁ=dε=plε=ziʁ=kupablə 64
sε=tœ̃=fovə=bʁa=kɔ=ne=pɥi=vɑ̃=dy=puʁ=pø=ynə=tuʁ=di=vwaʁə=puʁ=ʁe=kɔ̃=pɑ̃=se=e=su=la=ʒe=sε=sɑ̃=bla=blə=œ̃=ta=pi=də=ply=mə=zu=də=pwal=puʁ=ʁe=ʃo=fe=lε=kœʁ=dε=vik=ti=mə=puʁ=sɥi=vi=paʁ=œ̃=nak=tə=dε=tʁɔ̃=bi=nə=ta=pi=se=lε=myʁ=dε=ʃa=sœʁ=buʁ=ʁe=də=takt=i=ʁɔ=ni=kuʁ=ʁu=se=paʁ=sə=ko=kœ̃=mo=nεɡ=zis=tə=puʁ=de=kʁi=ʁə=lə=paʁ=fœ̃=də=sε=pak=tə 95
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sε=tœ̃=sɔ=lεj=tʁis=tə=ki=ti=sə=dε=ʁε=j=ɔ̃=nwaʁ=za=vεk=puʁ=de=sɛ̃=də=sə=ʁə=lə=ve=plys=fɔʁ=e=ɑ̃=dy=ʁɑ̃=kə=la=bʁy=mə=ki=lə=swaʁ=mεt=ɑ̃=ly=mj=ε=ʁə=lε=spεk=tʁə=mεs=kɛ̃=ze=lε=vj=ɔ=lœ=ʁə=də=sɛ̃ 56
sε=lə=va=kaʁ=mə=pɥi=lə=si=lɑ̃=sə=dɑ̃=lεs=pʁi=dœ̃=li=bʁə=kɔ̃=ke=ʁɑ̃=dy=bɔ=nœ=ʁə=pεʁ=dy=lə=sɑ̃=si=blə=dɑ̃=sə=mɔ̃=də=e=fʁwa=ja=blə=ki=nə=ʁit=plys=də=ʁj=ɛ̃=paʁ=sə=kil=ε=tʁo=a=fli=ʒe 52
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Récompense
Commentaires Sur La Poesie
30/12/2021 10:47Blanche
Merci Sarah pour cette multitude de sentiments ! bonne journée à vous! Blanche
30/12/2021 11:04Mémo
J’adore toujours autant vos textes Sarah et celui-ci frappe très fort, alors tant quand ça dénonce ça me plait d’autant plus...
30/12/2021 12:53Printemps
Nous sommes tous conscients de la réalité si loin de ce dont nous rêvons, mais seule la poésie sert de catharsis et donne son discours pour dénoncer et faire vibrer avec lyrisme, musicalité et beauté. Merci pour le beau texte, Sarah Delpech!
Prose Vérité
Du 30/12/2021 00:30
L'écrit contient 712 mots qui sont répartis dans 16 strophes.