Poème:Les Soldes…

Mi juin, mi juillet, les soldes ont débuté,
Mais il me faut absolument ce haut,
Et comme c’est les vacances d’été,
Personne ne se lève vraiment très tôt…

Que Nénis ! je n’étais pas toute pas seule !
Talons aiguilles piétinnaient sur le seuil.
Crawlant à travers la marais humaine,
J’aurais mon haut, j’en suis certaine !

Après 5 doigts dans l’oeil et 4 croches pieds,
J’arrivais presque indemne, dans mon rayon préférée,
Et là… je l’appercus… seul, entre deux jupe dété
J’assommais celle, qui allait me le voler…

Je suffocais entre le rayon lingerie et bébé,
Un melange horrible de parfum et de transpiration,
L’aire pure devint rarissime, j’allait asphixier…
Heureusement j’avais un arways dans mon pantalon.

Mais je decidais de zaper la partie essayage…
Car arrivant essouflée, aux cabines d’habillage,
Une file incommensurable me dissuada,
Toutes ces femmes qui ralaient car ça n’avancer pas.

Direction maintenant la caisse mon haut dans la main,
Ici également une queue immense de sacs à mains,
Elles avaient toutes un charrio plein à craquer,
Mais aucune de ces femmes ne me laissèrent passer…

Après 165 bulles de chewing gum,
Je payait cette maudite somme,
Et sortie enfin de ce magasin,
Un cauchemard qui prennait fin…

Arrivée chez moi, je n’avais plus qu’une envie
Essayaer mon pulle pour lequel je m’étais battue,
Mais je remarqua un detaille, qui me pétrifie,
Je me rendie compt que c’était la taille au dessus…