Poème:Douce Nuit Paternelle ; La Petite Fille Et Son Père
Le Poème
Au bord de la fenêtre il y avait une simple bougie,
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Les petits épaules contre les pommes de ses grandes mains,
Il lui promet que son petit oiseau n’aura jamais faim,
Il lui dit qu’elle ne gouttera plus les amères absences,
Parce qu’il craignait que la vie capture son innocence.
Au bord de la fenêtre il y avait une simple bougie,
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Sa petite bouche laisse échapper des petits sourires,
Lorsque son père câline ses petits rêves pour fleurir,
Silencieuse et son innocence cache son étonnement,
Parce qu’elle ne comprendra que tard tous ces tourments.
Au bord de la fenêtre il y avait une simple bougie,
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Il regarde ses grand yeux noirs qui chassent ses peurs,
Qui ranime ses feux face à la vie de sa douce fleur,
Il lui parle du doux rêve de la nuit et de la veille,
Parce qu’il voulait qu’il vit des jours de merveilles.
Au bord de la fenêtre il y avait une simple bougie,
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Ses petits doigts s’enlacent et se serrent de joie,
A chaque promesse d’un beau cadeau de son choix,
Elle pose ses petites mains sur ses joues roses de magnificence,
Parce que sa tendre âme se baigne dans la pureté de l’enfance.
Au bord de la fenêtre il y avait une simple bougie,
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Il la pose sur ses genoux et caresse sa modeste chevelure,
Pour qu’elle s’endorme dans la douceur de ses murmures,
Il l’a couvre de son bras en la chauffant par sa chaleur émergée,
Parce qu’il voulait éternellement la protéger.
Au bord de la fenêtre il y avait une simple bougie,
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Les petits épaules contre les pommes de ses grandes mains,
Il lui promet que son petit oiseau n’aura jamais faim,
Il lui dit qu’elle ne gouttera plus les amères absences,
Parce qu’il craignait que la vie capture son innocence.
Au bord de la fenêtre il y avait une simple bougie,
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Sa petite bouche laisse échapper des petits sourires,
Lorsque son père câline ses petits rêves pour fleurir,
Silencieuse et son innocence cache son étonnement,
Parce qu’elle ne comprendra que tard tous ces tourments.
Au bord de la fenêtre il y avait une simple bougie,
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Il regarde ses grand yeux noirs qui chassent ses peurs,
Qui ranime ses feux face à la vie de sa douce fleur,
Il lui parle du doux rêve de la nuit et de la veille,
Parce qu’il voulait qu’il vit des jours de merveilles.
Au bord de la fenêtre il y avait une simple bougie,
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Ses petits doigts s’enlacent et se serrent de joie,
A chaque promesse d’un beau cadeau de son choix,
Elle pose ses petites mains sur ses joues roses de magnificence,
Parce que sa tendre âme se baigne dans la pureté de l’enfance.
Au bord de la fenêtre il y avait une simple bougie,
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Il la pose sur ses genoux et caresse sa modeste chevelure,
Pour qu’elle s’endorme dans la douceur de ses murmures,
Il l’a couvre de son bras en la chauffant par sa chaleur émergée,
Parce qu’il voulait éternellement la protéger.
Au bord de la fenêtre il y avait une simple bougie,
Dont le petit brasier danse tristement en harmonie,
Pour refléter sur les vitres l’image d’une petite fille,
Regardant en silence son père de ses étoiles qui brillent.
Poète Black $Hadow
Black $Hadow a publié sur le site 58 écrits. Black $Hadow est membre du site depuis l'année 2006.Lire le profil du poète Black $HadowSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Douce Nuit Paternelle ; La Petite Fille Et Son Père
au=bord=de=la=fe=nêtre=il=y=a=vait=u=ne=sim=ple=bou=gie 16dont=le=pe=tit=bra=si=er=dan=se=tris=te=ment=en=har=mo=nie 16
pour=re=flé=ter=sur=les=vitres=li=ma=ge=du=ne=pe=ti=te=fille 16
re=gar=dant=en=silen=ce=son=pè=re=de=ses=é=toi=les=qui=brillent 16
les=pe=tits=é=pau=les=con=tre=les=pom=mes=de=ses=gran=des=mains 16
il=lui=pro=met=que=son=pe=tit=oi=seau=nau=ra=ja=mais=faim 15
il=lui=dit=quel=le=ne=gout=te=ra=plus=les=a=mè=res=ab=sences 16
par=ce=quil=crai=gnait=que=la=vie=cap=tu=re=son=in=no=cen=ce 16
au=bord=de=la=fe=nêtre=il=y=a=vait=u=ne=sim=ple=bou=gie 16
dont=le=pe=tit=bra=si=er=dan=se=tris=te=ment=en=har=mo=nie 16
pour=re=flé=ter=sur=les=vitres=li=ma=ge=du=ne=pe=ti=te=fille 16
re=gar=dant=en=silen=ce=son=pè=re=de=ses=é=toi=les=qui=brillent 16
sa=pe=ti=te=bou=che=lais=se=é=chap=per=des=pe=tits=sou=rires 16
lors=que=son=pè=re=câ=li=ne=ses=pe=tits=rê=ves=pour=fleu=rir 16
silen=cieu=se=et=son=in=no=cen=ce=ca=che=son=é=ton=ne=ment 16
par=ce=quel=le=ne=com=pren=dra=que=tard=tous=ces=tour=ments 14
au=bord=de=la=fe=nêtre=il=y=a=vait=u=ne=sim=ple=bou=gie 16
dont=le=pe=tit=bra=si=er=dan=se=tris=te=ment=en=har=mo=nie 16
pour=re=flé=ter=sur=les=vitres=li=ma=ge=du=ne=pe=ti=te=fille 16
re=gar=dant=en=silen=ce=son=pè=re=de=ses=é=toi=les=qui=brillent 16
il=re=gar=de=ses=grand=y=eux=noirs=qui=chas=sent=ses=peurs 14
qui=ra=ni=me=ses=feux=fa=ce=à=la=vie=de=sa=dou=ce=fleur 16
il=lui=par=le=du=doux=rê=ve=de=la=nuit=et=de=la=vei=lle 16
par=ce=quil=vou=lait=quil=vit=des=jours=de=mer=vei=lles 13
au=bord=de=la=fe=nêtre=il=y=a=vait=u=ne=sim=ple=bou=gie 16
dont=le=pe=tit=bra=si=er=dan=se=tris=te=ment=en=har=mo=nie 16
pour=re=flé=ter=sur=les=vitres=li=ma=ge=du=ne=pe=ti=te=fille 16
re=gar=dant=en=silen=ce=son=pè=re=de=ses=é=toi=les=qui=brillent 16
ses=pe=tits=doigts=sen=la=cent=et=se=ser=rent=de=joie 13
a=cha=que=pro=mes=se=dun=beau=ca=deau=de=son=choix 13
elle=pose=ses=pe=ti=tes=mains=sur=ses=joues=ro=ses=de=ma=gni=fi=cence 17
par=ce=que=sa=tendre=â=me=se=bai=gne=dans=la=pu=re=té=de=len=fance 18
au=bord=de=la=fe=nêtre=il=y=a=vait=u=ne=sim=ple=bou=gie 16
dont=le=pe=tit=bra=si=er=dan=se=tris=te=ment=en=har=mo=nie 16
pour=re=flé=ter=sur=les=vitres=li=ma=ge=du=ne=pe=ti=te=fille 16
re=gar=dant=en=silen=ce=son=pè=re=de=ses=é=toi=les=qui=brillent 16
il=la=pose=sur=ses=ge=noux=et=ca=res=se=sa=mo=des=te=che=ve=lure 18
pour=quel=le=sen=dor=me=dans=la=dou=ceur=de=ses=mur=mu=res 15
il=la=couvre=de=son=bras=en=la=chauf=fant=par=sa=cha=leur=é=mer=gée 17
par=ce=quil=vou=lait=é=ter=nel=le=ment=la=pro=té=ger 14
au=bord=de=la=fe=nêtre=il=y=a=vait=u=ne=sim=ple=bou=gie 16
dont=le=pe=tit=bra=si=er=dan=se=tris=te=ment=en=har=mo=nie 16
pour=re=flé=ter=sur=les=vitres=li=ma=ge=du=ne=pe=ti=te=fille 16
re=gar=dant=en=silen=ce=son=pè=re=de=ses=é=toi=les=qui=brillent 16
Phonétique : Douce Nuit Paternelle ; La Petite Fille Et Son Père
o bɔʁ də la fənεtʁə il i avε ynə sɛ̃plə buʒi,dɔ̃ lə pəti bʁazje dɑ̃sə tʁistəmɑ̃ ɑ̃-aʁmɔni,
puʁ ʁəflete syʁ lε vitʁə- limaʒə dynə pətitə fijə,
ʁəɡaʁdɑ̃ ɑ̃ silɑ̃sə sɔ̃ pεʁə də sεz- etwalə ki bʁije.
lε pətiz- epolə kɔ̃tʁə lε pɔmə də sε ɡʁɑ̃də mɛ̃,
il lɥi pʁɔmε kə sɔ̃ pəti wazo noʁa ʒamε fɛ̃,
il lɥi di kεllə nə ɡutəʁa plys lεz- amεʁəz- absɑ̃sə,
paʁsə kil kʁεɲε kə la vi kaptyʁə sɔ̃n- inɔsɑ̃sə.
o bɔʁ də la fənεtʁə il i avε ynə sɛ̃plə buʒi,
dɔ̃ lə pəti bʁazje dɑ̃sə tʁistəmɑ̃ ɑ̃-aʁmɔni,
puʁ ʁəflete syʁ lε vitʁə- limaʒə dynə pətitə fijə,
ʁəɡaʁdɑ̃ ɑ̃ silɑ̃sə sɔ̃ pεʁə də sεz- etwalə ki bʁije.
sa pətitə buʃə lεsə eʃape dε pəti suʁiʁə,
lɔʁskə sɔ̃ pεʁə kalinə sε pəti ʁεvə puʁ fləʁiʁ,
silɑ̃sjøzə e sɔ̃n- inɔsɑ̃sə kaʃə sɔ̃n- etɔnəmɑ̃,
paʁsə kεllə nə kɔ̃pʁɑ̃dʁa kə taʁ tus sε tuʁmɑ̃.
o bɔʁ də la fənεtʁə il i avε ynə sɛ̃plə buʒi,
dɔ̃ lə pəti bʁazje dɑ̃sə tʁistəmɑ̃ ɑ̃-aʁmɔni,
puʁ ʁəflete syʁ lε vitʁə- limaʒə dynə pətitə fijə,
ʁəɡaʁdɑ̃ ɑ̃ silɑ̃sə sɔ̃ pεʁə də sεz- etwalə ki bʁije.
il ʁəɡaʁdə sε ɡʁɑ̃t- iø nwaʁ ki ʃase sε pœʁ,
ki ʁanimə sε fø fasə a la vi də sa dusə flœʁ,
il lɥi paʁlə dy du ʁεvə də la nɥi e də la vεjə,
paʁsə kil vulε kil vit dε ʒuʁ də mεʁvεjə.
o bɔʁ də la fənεtʁə il i avε ynə sɛ̃plə buʒi,
dɔ̃ lə pəti bʁazje dɑ̃sə tʁistəmɑ̃ ɑ̃-aʁmɔni,
puʁ ʁəflete syʁ lε vitʁə- limaʒə dynə pətitə fijə,
ʁəɡaʁdɑ̃ ɑ̃ silɑ̃sə sɔ̃ pεʁə də sεz- etwalə ki bʁije.
sε pəti dwa sɑ̃lase e sə seʁe də ʒwa,
a ʃakə pʁɔmεsə dœ̃ bo kado də sɔ̃ ʃwa,
εllə pozə sε pətitə mɛ̃ syʁ sε ʒu ʁozə də maɲifisɑ̃sə,
paʁsə kə sa tɑ̃dʁə amə sə bεɲə dɑ̃ la pyʁəte də lɑ̃fɑ̃sə.
o bɔʁ də la fənεtʁə il i avε ynə sɛ̃plə buʒi,
dɔ̃ lə pəti bʁazje dɑ̃sə tʁistəmɑ̃ ɑ̃-aʁmɔni,
puʁ ʁəflete syʁ lε vitʁə- limaʒə dynə pətitə fijə,
ʁəɡaʁdɑ̃ ɑ̃ silɑ̃sə sɔ̃ pεʁə də sεz- etwalə ki bʁije.
il la pozə syʁ sε ʒənuz- e kaʁεsə sa mɔdεstə ʃəvəlyʁə,
puʁ kεllə sɑ̃dɔʁmə dɑ̃ la dusœʁ də sε myʁmyʁə,
il la kuvʁə də sɔ̃ bʁaz- ɑ̃ la ʃofɑ̃ paʁ sa ʃalœʁ emεʁʒe,
paʁsə kil vulε etεʁnεllmɑ̃ la pʁɔteʒe.
o bɔʁ də la fənεtʁə il i avε ynə sɛ̃plə buʒi,
dɔ̃ lə pəti bʁazje dɑ̃sə tʁistəmɑ̃ ɑ̃-aʁmɔni,
puʁ ʁəflete syʁ lε vitʁə- limaʒə dynə pətitə fijə,
ʁəɡaʁdɑ̃ ɑ̃ silɑ̃sə sɔ̃ pεʁə də sεz- etwalə ki bʁije.
Syllabes Phonétique : Douce Nuit Paternelle ; La Petite Fille Et Son Père
o=bɔʁ=də=la=fə=nε=tʁə=il=i=a=vε=y=nə=sɛ̃=plə=bu=ʒi 17dɔ̃=lə=pə=ti=bʁa=zj=e=dɑ̃=sə=tʁis=tə=mɑ̃=ɑ̃-aʁ=mɔ=ni 16
puʁ=ʁə=fle=te=syʁ=lε=vi=tʁə=li=ma=ʒə=dy=nə=pə=ti=tə=fi=jə 18
ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=ɑ̃=si=lɑ̃=sə=sɔ̃=pε=ʁə=də=sε=ze=twa=lə=ki=bʁi=je 18
lε=pə=ti=ze=po=lə=kɔ̃=tʁə=lε=pɔ=mə=də=sε=ɡʁɑ̃=də=mɛ̃ 16
il=lɥi=pʁɔ=mε=kə=sɔ̃=pə=ti=wa=zo=no=ʁa=ʒa=mε=fɛ̃ 15
il=lɥi=di=kεl=lə=nə=ɡu=tə=ʁa=plys=lε=za=mε=ʁə=zab=sɑ̃=sə 17
paʁ=sə=kil=kʁε=ɲε=kə=la=vi=kap=ty=ʁə=sɔ̃=ni=nɔ=sɑ̃=sə 16
o=bɔʁ=də=la=fə=nε=tʁə=il=i=a=vε=y=nə=sɛ̃=plə=bu=ʒi 17
dɔ̃=lə=pə=ti=bʁa=zj=e=dɑ̃=sə=tʁis=tə=mɑ̃=ɑ̃-aʁ=mɔ=ni 16
puʁ=ʁə=fle=te=syʁ=lε=vi=tʁə=li=ma=ʒə=dy=nə=pə=ti=tə=fi=jə 18
ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=ɑ̃=si=lɑ̃=sə=sɔ̃=pε=ʁə=də=sε=ze=twa=lə=ki=bʁi=je 18
sa=pə=ti=tə=bu=ʃə=lε=sə=e=ʃa=pe=dε=pə=ti=su=ʁi=ʁə 17
lɔʁ=skə=sɔ̃=pε=ʁə=ka=li=nə=sε=pə=ti=ʁε=və=puʁ=flə=ʁiʁ 16
si=lɑ̃=sj=ø=zə=e=sɔ̃=ni=nɔ=sɑ̃=sə=ka=ʃə=sɔ̃=ne=tɔ=nə=mɑ̃ 18
paʁ=sə=kεl=lə=nə=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁa=kə=taʁ=tus=sε=tuʁ=mɑ̃ 14
o=bɔʁ=də=la=fə=nε=tʁə=il=i=a=vε=y=nə=sɛ̃=plə=bu=ʒi 17
dɔ̃=lə=pə=ti=bʁa=zj=e=dɑ̃=sə=tʁis=tə=mɑ̃=ɑ̃-aʁ=mɔ=ni 16
puʁ=ʁə=fle=te=syʁ=lε=vi=tʁə=li=ma=ʒə=dy=nə=pə=ti=tə=fi=jə 18
ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=ɑ̃=si=lɑ̃=sə=sɔ̃=pε=ʁə=də=sε=ze=twa=lə=ki=bʁi=je 18
il=ʁə=ɡaʁ=də=sε=ɡʁɑ̃=ti=ø=nwaʁ=ki=ʃa=se=sε=pœ=ʁə 15
ki=ʁa=ni=mə=sε=fø=fa=sə=a=la=vi=də=sa=du=sə=flœ=ʁə 17
il=lɥi=paʁ=lə=dy=du=ʁε=və=də=la=nɥi=e=də=la=vε=jə 16
paʁ=sə=kil=vu=lε=kil=vit=dε=ʒuʁ=də=mεʁ=vε=jə 13
o=bɔʁ=də=la=fə=nε=tʁə=il=i=a=vε=y=nə=sɛ̃=plə=bu=ʒi 17
dɔ̃=lə=pə=ti=bʁa=zj=e=dɑ̃=sə=tʁis=tə=mɑ̃=ɑ̃-aʁ=mɔ=ni 16
puʁ=ʁə=fle=te=syʁ=lε=vi=tʁə=li=ma=ʒə=dy=nə=pə=ti=tə=fi=jə 18
ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=ɑ̃=si=lɑ̃=sə=sɔ̃=pε=ʁə=də=sε=ze=twa=lə=ki=bʁi=je 18
sε=pə=ti=dwa=sɑ̃=la=se=e=sə=se=ʁe=də=ʒwa 13
a=ʃa=kə=pʁɔ=mε=sə=dœ̃=bo=ka=do=də=sɔ̃=ʃwa 13
εl=lə=pozə=sε=pə=ti=tə=mɛ̃=syʁ=sε=ʒu=ʁo=zə=də=ma=ɲi=fi=sɑ̃sə 18
paʁsə=kə=sa=tɑ̃=dʁə=a=mə=sə=bε=ɲə=dɑ̃=la=py=ʁə=te=də=lɑ̃=fɑ̃sə 18
o=bɔʁ=də=la=fə=nε=tʁə=il=i=a=vε=y=nə=sɛ̃=plə=bu=ʒi 17
dɔ̃=lə=pə=ti=bʁa=zj=e=dɑ̃=sə=tʁis=tə=mɑ̃=ɑ̃-aʁ=mɔ=ni 16
puʁ=ʁə=fle=te=syʁ=lε=vi=tʁə=li=ma=ʒə=dy=nə=pə=ti=tə=fi=jə 18
ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=ɑ̃=si=lɑ̃=sə=sɔ̃=pε=ʁə=də=sε=ze=twa=lə=ki=bʁi=je 18
il=la=pozə=syʁ=sε=ʒə=nu=ze=ka=ʁε=sə=sa=mɔ=dεs=tə=ʃə=və=lyʁə 18
puʁ=kεl=lə=sɑ̃=dɔʁ=mə=dɑ̃=la=du=sœ=ʁə=də=sε=myʁ=my=ʁə 16
il=la=ku=vʁə=də=sɔ̃=bʁa=zɑ̃=la=ʃo=fɑ̃=paʁ=sa=ʃa=lœʁ=e=mεʁ=ʒe 18
paʁ=sə=kil=vu=lε=e=tεʁ=nεl=lmɑ̃=la=pʁɔ=te=ʒe 13
o=bɔʁ=də=la=fə=nε=tʁə=il=i=a=vε=y=nə=sɛ̃=plə=bu=ʒi 17
dɔ̃=lə=pə=ti=bʁa=zj=e=dɑ̃=sə=tʁis=tə=mɑ̃=ɑ̃-aʁ=mɔ=ni 16
puʁ=ʁə=fle=te=syʁ=lε=vi=tʁə=li=ma=ʒə=dy=nə=pə=ti=tə=fi=jə 18
ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=ɑ̃=si=lɑ̃=sə=sɔ̃=pε=ʁə=də=sε=ze=twa=lə=ki=bʁi=je 18
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Poesie sans commentaire

01/05/2025Poeme-France
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Poème - Sans Thème -
Du 04/09/2007 16:24
L'écrit contient 449 mots qui sont répartis dans 11 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.