Poème:Douces Condéliances
Le Poème
Les portes de mon château se referment devant mes yeux,
Dans l’immobilité de mon corps meurent mes sentiments,
Les nuits s’attristent pour m’offrir les pleurs du cieux,
Et briser les silences de la déprime par ses battements.
Petit à petit le regard meurt dans un vide empoisonné,
Sous les rideaux jaunâtres de l’oubli qui retombent,
S’effacent le colorant vivant de cette image ruinée,
Désormais elle règne mes rêves dans leurs catacombes.
Le ciel calme ses larmes dans l’innocence de la tragédie,
Et la lune pose sur moi le souffle de ses étoiles mortes,
Tels des cadavres pales sur mes cicatrices de mélancolie,
Pour atténuer le rouge de mes douleurs trop fortes.
Petit à petit ma voix se perd dans les ruelles du silence,
Lorsque les remords se taisent entre les sourires morts,
Ces moments enlacent les suaires de l’innocente vengeance,
Pour soigner mes plaies par la fatalité de mon sort.
La lune ramasse ses restes brûlés par les feus du jours,
Et le soleil gâche le cauchemar de la nuit par ses rayons,
Pour étaler sur les images les couleurs de l’amour,
Mais dans le noir amer de mes yeux meurent son brillant.
Petit à petit mes sens s’abandonnent à la froideur de la terre,
Autour de moi des fleurs que l’embaume de mon échec avait fané,
Je ramasse des feuilles pour couvrir mon âme qui se désespère,
Juste pour abandonner dans mon sommeil ce souvenir trop peiné.
Dans l’immobilité de mon corps meurent mes sentiments,
Les nuits s’attristent pour m’offrir les pleurs du cieux,
Et briser les silences de la déprime par ses battements.
Petit à petit le regard meurt dans un vide empoisonné,
Sous les rideaux jaunâtres de l’oubli qui retombent,
S’effacent le colorant vivant de cette image ruinée,
Désormais elle règne mes rêves dans leurs catacombes.
Le ciel calme ses larmes dans l’innocence de la tragédie,
Et la lune pose sur moi le souffle de ses étoiles mortes,
Tels des cadavres pales sur mes cicatrices de mélancolie,
Pour atténuer le rouge de mes douleurs trop fortes.
Petit à petit ma voix se perd dans les ruelles du silence,
Lorsque les remords se taisent entre les sourires morts,
Ces moments enlacent les suaires de l’innocente vengeance,
Pour soigner mes plaies par la fatalité de mon sort.
La lune ramasse ses restes brûlés par les feus du jours,
Et le soleil gâche le cauchemar de la nuit par ses rayons,
Pour étaler sur les images les couleurs de l’amour,
Mais dans le noir amer de mes yeux meurent son brillant.
Petit à petit mes sens s’abandonnent à la froideur de la terre,
Autour de moi des fleurs que l’embaume de mon échec avait fané,
Je ramasse des feuilles pour couvrir mon âme qui se désespère,
Juste pour abandonner dans mon sommeil ce souvenir trop peiné.
Poète Black $Hadow
Black $Hadow a publié sur le site 58 écrits. Black $Hadow est membre du site depuis l'année 2006.Lire le profil du poète Black $HadowSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Douces Condéliances
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et=bri=ser=les=si=len=ces=de=la=dé=pri=me=par=ses=bat=te=ments 17
pe=tit=à=pe=tit=le=re=gard=meurt=dans=un=vi=de=em=poi=son=né 17
sous=les=ri=deaux=jau=nâ=tres=de=lou=bli=qui=re=tom=bent 14
sef=fa=cent=le=co=lo=rant=vi=vant=de=cet=te=i=ma=ge=rui=née 17
dé=sor=mais=el=le=rè=gne=mes=rê=ves=dans=leurs=ca=ta=com=bes 16
le=ciel=cal=me=ses=lar=mes=dans=lin=nocen=ce=de=la=tra=gé=die 16
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tels=des=ca=davres=pa=les=sur=mes=ci=ca=tri=ces=de=mé=lan=co=lie 17
pour=at=té=nuer=le=rou=ge=de=mes=dou=leurs=trop=for=tes 14
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jus=te=pour=a=ban=don=ner=dans=mon=som=meil=ce=souve=nir=trop=pei=né 17
Phonétique : Douces Condéliances
lε pɔʁtə- də mɔ̃ ʃato sə ʁəfεʁme dəvɑ̃ mεz- iø,dɑ̃ limɔbilite də mɔ̃ kɔʁ məʁe mε sɑ̃timɑ̃,
lε nɥi satʁiste puʁ mɔfʁiʁ lε plœʁ dy sjø,
e bʁize lε silɑ̃sə də la depʁimə paʁ sε batəmɑ̃.
pəti a pəti lə ʁəɡaʁ məʁ dɑ̃z- œ̃ vidə ɑ̃pwazɔne,
su lε ʁido ʒonatʁə- də lubli ki ʁətɔ̃be,
sefase lə kɔlɔʁɑ̃ vivɑ̃ də sεtə imaʒə ʁɥine,
dezɔʁmεz- εllə ʁεɲə mε ʁεvə dɑ̃ lœʁ katakɔ̃bə.
lə sjεl kalmə sε laʁmə- dɑ̃ linɔsɑ̃sə də la tʁaʒedi,
e la lynə pozə syʁ mwa lə suflə də sεz- etwalə mɔʁtə,
tεl dε kadavʁə- palə syʁ mε sikatʁisə də melɑ̃kɔli,
puʁ atenɥe lə ʁuʒə də mε dulœʁ tʁo fɔʁtə.
pəti a pəti ma vwa sə pεʁ dɑ̃ lε ʁyεllə dy silɑ̃sə,
lɔʁskə lε ʁəmɔʁd sə tεze ɑ̃tʁə lε suʁiʁə mɔʁ,
sε mɔmɑ̃z- ɑ̃lase lε sɥεʁə də linɔsɑ̃tə vɑ̃ʒɑ̃sə,
puʁ swaɲe mε plε paʁ la fatalite də mɔ̃ sɔʁ.
la lynə ʁamasə sε ʁεstə bʁyle paʁ lε føs dy ʒuʁ,
e lə sɔlεj ɡaʃə lə koʃəmaʁ də la nɥi paʁ sε ʁεjɔ̃,
puʁ etale syʁ lεz- imaʒə lε kulœʁ də lamuʁ,
mε dɑ̃ lə nwaʁ ame də mεz- iø məʁe sɔ̃ bʁijɑ̃.
pəti a pəti mε sɑ̃s sabɑ̃dɔne a la fʁwadœʁ də la teʁə,
otuʁ də mwa dε flœʁ kə lɑ̃bomə də mɔ̃n- eʃεk avε fane,
ʒə ʁamasə dε fœjə puʁ kuvʁiʁ mɔ̃n- amə ki sə dezεspεʁə,
ʒystə puʁ abɑ̃dɔne dɑ̃ mɔ̃ sɔmεj sə suvəniʁ tʁo pεne.
Syllabes Phonétique : Douces Condéliances
lε=pɔʁ=tə=də=mɔ̃=ʃa=to=sə=ʁə=fεʁ=me=də=vɑ̃=mε=zi=ø 16dɑ̃=li=mɔ=bi=li=te=də=mɔ̃=kɔʁ=mə=ʁe=mε=sɑ̃=ti=mɑ̃ 15
lε=nɥi=sa=tʁis=te=puʁ=mɔ=fʁiʁ=lε=plœ=ʁə=dy=sj=ø 14
e=bʁi=ze=lε=si=lɑ̃=sə=də=la=de=pʁi=mə=paʁ=sε=ba=tə=mɑ̃ 17
pə=ti=a=pə=ti=lə=ʁə=ɡaʁ=məʁ=dɑ̃=zœ̃=vi=də=ɑ̃=pwa=zɔ=ne 17
su=lε=ʁi=do=ʒo=na=tʁə=də=lu=bli=ki=ʁə=tɔ̃=be 14
se=fa=se=lə=kɔ=lɔ=ʁɑ̃=vi=vɑ̃=də=sε=tə=i=ma=ʒə=ʁɥi=ne 17
de=zɔʁ=mε=zεl=lə=ʁε=ɲə=mε=ʁε=və=dɑ̃=lœ=ʁə=ka=ta=kɔ̃=bə 17
lə=sjεl=kal=mə=sε=laʁ=mə=dɑ̃=li=nɔ=sɑ̃=sə=də=la=tʁa=ʒe=di 17
e=la=ly=nə=po=zə=syʁ=mwa=lə=su=flə=də=sε=ze=twa=lə=mɔʁ=tə 18
tεl=dε=ka=da=vʁə=pa=lə=syʁ=mε=si=ka=tʁi=sə=də=me=lɑ̃=kɔ=li 18
puʁ=a=ten=ɥe=lə=ʁu=ʒə=də=mε=du=lœ=ʁə=tʁo=fɔʁ=tə 15
pə=ti=a=pə=ti=ma=vwa=sə=pεʁ=dɑ̃=lε=ʁy=εl=lə=dy=si=lɑ̃=sə 18
lɔʁ=skə=lε=ʁə=mɔʁd=sə=tε=ze=ɑ̃=tʁə=lε=su=ʁi=ʁə=mɔʁ 15
sε=mɔ=mɑ̃=zɑ̃=la=se=lε=sɥε=ʁə=də=li=nɔ=sɑ̃=tə=vɑ̃=ʒɑ̃=sə 17
puʁ=swa=ɲe=mε=plε=paʁ=la=fa=ta=li=te=də=mɔ̃=sɔʁ 14
la=ly=nə=ʁa=ma=sə=sε=ʁεs=tə=bʁy=le=paʁ=lε=føs=dy=ʒuʁ 16
e=lə=sɔ=lεj=ɡa=ʃə=lə=ko=ʃə=maʁ=də=la=nɥi=paʁ=sε=ʁε=j=ɔ̃ 18
puʁ=e=ta=le=syʁ=lε=zi=ma=ʒə=lε=ku=lœ=ʁə=də=la=muʁ 16
mε=dɑ̃=lə=nwaʁ=a=meʁ=də=mε=zi=ø=mə=ʁe=sɔ̃=bʁi=j=ɑ̃ 16
pə=ti=apə=ti=mε=sɑ̃s=sa=bɑ̃=dɔ=ne=a=la=fʁwa=dœʁ=də=la=te=ʁə 18
o=tuʁ=də=mwa=dε=flœʁ=kə=lɑ̃=bo=mə=də=mɔ̃=ne=ʃεk=a=vε=fa=ne 18
ʒə=ʁa=ma=sə=dε=fœ=jə=puʁ=ku=vʁiʁ=mɔ̃=na=mə=ki=sə=de=zεs=pεʁə 18
ʒys=tə=puʁ=a=bɑ̃=dɔ=ne=dɑ̃=mɔ̃=sɔ=mεj=sə=su=və=niʁ=tʁo=pε=ne 18
Récompense
Poesie sans commentaire
25/04/2024Poeme-France
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Poème Abondance
Du 04/09/2007 16:26
L'écrit contient 248 mots qui sont répartis dans 6 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. La composition des vers de ce poème suivent la forme classique du Rondeau redoublé.