Poème:Miroir Rouge

Je regarde dans ce miroir couler le sang
Le sang de mes plaies psychotique
Les liqueurs de mes glandes lacrymales coulent lentement
Dans ce miroir rouge je ne vois qu’un inconnu bourrer d’anxiolytique
Car mes actions désorganisé causé la pertes de mon liquide vital
Dont je me vide sur les murs de mes délires mélodramatique
Dans ce miroir rouge je m’entends dans les cris abyssales
De mon esprit détraquer, qui est ce dans ce miroir ?
Je ne bouge pas pourtant je le vois hurler, est-il un rival ?
Je reste impassibles a la souffrance de l’autre coté du miroir
Le miroir rouge s’imprègne de sa douleur si brutal
Les voix, ils l’implorent, ils demandent de l’aide, il s’excuse sans cesse
J’ai pitié, je le vois pleurer sans bouger, je le laisse dans cet état fatal
Les voix, les images viennent obstruer sa vision de détresse
La colère grandis en lui, il rugis, il n’est plus qu’une bête immonde
Aveuglé par la tristesse
Aveuglé par sa folie qui peut a peut l’enferme dans un autre monde
Le voila de nouveau face a moi, miroir rouge seul dans cette pièce
Nous revoilà en tant que reflet dans mes pensées moribonde
De ces yeux le sang s’écoulent tachant son visage anéantis
Car ma, sa conscience depuis tellement longtemps vagabonde
De sa bouche s’échappe des tourments liquides
L’Armagnac de nos cœurs anesthésié notre abomination
Il ni a que ce miroir qui me sépare de cette folie enfouis
Ce miroir rouge qui barre la route à ce moi violent, au autres aberrations
A ces voix folle et fausse pourrissant son, non mon esprit
Mais que vois-je ?
Des fissures sur ce miroir rouge
Il veut sortir, elles veulent être écoutées
Mon démon s’agite en moi, il bouge !
De temps en temps le miroir cèdent, il laisse passé mes terreurs refoulées
De l’autre coté du miroir, ce visage balafré pour lequel j’ai pitié, souris

Miroir rouge, par delà les limites de mes névroses décharnée
Miroir rouge, par le sang et la douleur tiens les éloignés
Miroir rouge, mon sang a teinté ton reflet fracturé
Miroir rouge, les fissures s’agrandissent
Miroir rouge, mes plaies béantes
Miroir rouge, que tous périssent
Miroir rouge, parmi les décombres de mes nécroses pourrissantes
Miroir rouge !
Il est moi
Je suis lui
Suis-je aussi un fou dites moi ? Est ce que le bonheur est lui aussi enfermé dans les méandres de nos consciences ? Croyez-vous que les sourires sont effacés par la folie ? Suis-je fou ? On a tous nos cotés noirs, souffrants dans un coin de notre tête ? Tout le monde a ce coté noir, tout le monde a ce miroir, plus ou moins pur, plus ou moins taché de nos pleures, qui nous fends le coeur