Univers de poésie d'un auteur

Poème:Les Voleurs D’organes (5)

Le Poème

Penser que l’on peut finir dans le crématorium, en cendres c’est angoissant
Pouvant imaginer le travail destructeur des flammes, le corps à feu et à sang
Certes ce n’est plus qu’une dépouille, mais qui peut certifier qu’on ne ressent rien ?
Les cellules ne meurent pas aussitôt, spirituellement, physiquement reste un lien
L’être humain n’est plus qu’un rouage, un numéro, soumis au diktat de la classe dominante qui impose ses idées, choix, directives.
Des médecins déjantés comme Frankenstein, le docteur Mabuse, capables de toutes les folies, certains sont vraiment à la dérive.
Osiris, dieu égyptien, son corps est découpé en morceaux, son épouse Isis parvient à rassembler les morceaux du cadavre, à l’exception de son phallus perdu à jamais.
Don d’organes, mais quand les proches ne peuvent dire Non de par la loi, est-ce un don ? Le corps mis en morceaux, éparpillés dans d’autres corps, voilà ce qu’on fait de l’être aimé.
Le cœur, un organe souvent prélevé est riche symboliquement. Le cœur dit Angelus Silucus est le temple, l’autel de Dieu.
Le cœur tient un rôle central dans la vie spirituelle, il pense, il décide, il ébauche des projets, il affirme sa responsabilité, ce n’est pas qu’une pompe, pardieu !
L’homme se dévore lui-même, les greffes d’organes, un forme d’anthropophagie sans passer par le tube digestif mais par des greffes dans le corps anonyme d’un autre.
Le lavage de cerveau sociétal nous empêche d’être nous-mêmes. Les esprits forts nous volent notre vie, notre mort, et ce au nom du civisme, l’obligation d’être un bon apôtre !
Dans le film « Soleil vert » les morts servaient de nourriture aux vivants affamés. C’est ce qui nous attend tous dans ce monde déshumanisé, sans foi, ni loi ni âme qu’il faut condamner
Il faut lire « Le petit prince » un conte du grand écrivain Saint-Saint-Saint-Saint-Exupéry : « Tu vois, j’aurai l’air d’être mort mais ça ne sera pas vrai, ça sera comme une vieille écorce abandonnée »
Si l’homme continue d’exister dans l’au-delà et que le chirurgien lui prélève ses organes ou le déstructure complètement faisant son corps un réservoir de pièces détachées, quelle peut-être la réaction du défunt s’il survit dans un ailleurs dit meilleur, son corps ne lui appartenant plus mais à d’autres en morceaux ou en entier ?
Qui sait, si le défunt ne ressent pas un traumatisme en voyant son cœur battre dans la poitrine d’un inconnu, ses organes disséminés dans des corps étrangers, voir peut-être un jour la totalité du corps avec un autre cerveau, on y va !
Aujourd’hui les morts n’ont plus le droit de reposer en paix, la médecine est en droit de disséquer, autopsier les cadavres, se prélever d’office les organes même si la famille s’y oppose, c’est scandaleux, si le mort avant de mourir voulait rester entier c’est son droit le plus absolu n’en déplaise aux suppôts de Satan.
Les médecins sont là pour soigner, ce n’est pas des flics y compris les psychiatres qui droguent et enferment trop facilement. Le patient ne peut-être en garde à vue quand on consulte un médecin.
La médecine est sacralisée, les médecins déifiés alors que les traitements ne sont pas forcément la panacée. Nombreux à l’hôpital et par des médicaments parfois dangereux ou pas anodins…
Les médecins n’ont pas la science infuse, pour eux le corps ce n’est que des articulations et de la plomberie alors que c’est la vie qui est complexe et sacrée, qui le prouve que la mort est la fin de Tout ?
Prendre les organes d’un mort sans son autorisation, c’est une profanation de corps et un vol d’organes. Certaines personnes ne veulent pas finir en pièces détachées, un droit humain fondamental que je loue.
Nos lointains ancêtres enterraient dignement leurs morts même s’il y eut des peuplades cannibales ou barbares.
Juifs et chrétiens ne pratiquaient pas la crémation. Le cimetières jadis était un lieu sacré et béni, les familles venaient s’y recueillir et prier sur les tombes de leurs chers défunts. De lieux et places aujourd’hui abandonnés ou supprimés, les ossements disparus
A notre époque d’indifférence totale, les êtres humains ne valent plus grand-chose, n’étant que des cochons payants, des esclaves dans le système libéral ou seul l’argent est roi, les relations humaines, les bons sentiments n’ayant plus aucune considération. Le pouvoir nous vole notre vie par une foule d’interdits, le fardeau des impôts et taxes qui fait ployer les pauvres gens, volant notre mort en s’accaparant les corps.
Cette vie contrainte est un enfer, nous subissons oppression et répression pour n’importe quoi. Le livre « 1984 » BIG BROTHER chef du parti de GEORGES ORWELL ? ET LE LIVRE Aldous huxley : le meilleur Des mondes, la fiction est devenue la triste réalité dans toute sa terreur aliénant la vie et la mort.
Un cadavre humain pour défendre l’espèce humaine (… ) ce n’est pas que de la chair morte, de la viande froide pour reprendre l’expression désinvolte des carabins, c’est le corps d’un être aimé par ses parents, son conjoint, ses enfants, petits-enfants et des amis, avant d’être mort il avait la vie, des émotions, sensations, une conscience que la médecine en sectionnant déshonore.
Une tête sectionné pour le greffer sur un autre corps, la médecine, l’envisage, c’est de la folie
Comment appeler chirurgiens ces gens qui font n’importe quoi, jouant avec la mort, la vie !
Créant des chimères, des créatures monstrueuses avec des corps qu’ils déstructurent
D’autres se servant des gènes pour les dénaturer, jusqu’à ce que le créateur les rature.
Comme d’autres j’ai de la compassion pour les malades dans l’attente d’une greffe, d’un organe
Faut-il que quelqu’un meurt et soit dépecé pour sauver leur vie ? C’est le mort qu’on profane.
Les gens acceptent n’importe quoi pour sauver leur vie, des morceaux de cadavres à greffer
Le cœur d’un autre qui battra dans leur poitrine, les organes des morts deviennent des trophées
Hier un cœur, un rein, maintenant le visage, des membres, bientôt le corps dans sa totalité
Des têtes coupées, des cerveaux retirés, aucune limite pour ces chirurgiens de la morbidité
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Poeme de Jean-Pierre Lafitte

Poète Jean-Pierre Lafitte

Jean-Pierre Lafitte a publié sur le site 6 écrits. Jean-Pierre Lafitte est membre du site depuis l'année 2015.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Les Voleurs D’organes (5)pen=ser=que=lon=peut=fi=nir=dans=le=cré=ma=to=rium=en=cen=dres=cest=an=gois=sant 20
pou=vant=i=ma=gi=ner=le=tra=vail=des=truc=teur=des=flam=mes=le=corps=à=feu=et=à=sang 22
cer=tes=ce=nest=plus=quu=ne=dé=poui=lle=mais=qui=peut=cer=ti=fi=er=quon=ne=res=sent=rien 22
les=cel=lules=ne=meu=rent=pas=aus=si=tôt=s=pi=ri=tuel=le=ment=phy=si=que=ment=res=teun=lien 23
lêtre=hu=main=nest=plus=quun=rou=a=ge=un=nu=mé=ro=sou=mis=au=dik=tat=de=la=clas=se=do=mi=nan=te=qui=im=po=se=ses=i=dées=choix=di=rec=tives 37
des=méde=cins=dé=jan=tés=com=me=fran=ken=stein=le=doc=teur=ma=bu=se=ca=pa=bles=de=tou=tes=les=fo=lies=cer=tains=sont=vrai=ment=à=la=dé=rive 35
osi=ris=dieu=é=gyp=tien=son=corps=est=dé=cou=pé=en=mor=ceaux=son=é=pouse=i=sis=par=vient=à=ras=sem=bler=les=mor=ceaux=du=ca=da=vre=à=lex=cep=tion=de=son=phal=lus=per=du=à=ja=mais 46
don=dor=ganes=mais=quand=les=pro=ches=ne=peu=vent=di=re=non=de=par=la=loi=est=ceun=don=le=corps=mis=en=mor=ceaux=é=par=pillés=dans=dau=tres=corps=voi=là=ce=quon=fait=de=lê=tre=ai=mé 44
le=cœur=un=or=gane=sou=vent=pré=le=vé=est=ri=che=sym=bo=li=que=ment=le=cœur=dit=an=ge=lus=si=lu=cus=est=le=tem=ple=lau=tel=de=dieu 35
le=cœur=tient=un=rôle=cen=tral=dans=la=vie=s=pi=ri=tuel=le=il=pen=se=il=dé=ci=de=il=é=bau=che=des=pro=jets=il=af=fir=me=sa=res=pon=sa=bi=li=té=ce=nest=pas=quu=ne=pom=pe=par=dieu 49
lhomme=se=dé=vo=re=lui=mê=me=les=gref=fes=dor=ga=nes=un=for=me=dan=thro=po=pha=gie=sans=pas=ser=par=le=tu=be=di=ges=tif=mais=par=des=gref=fes=dans=le=corps=a=no=ny=me=dun=autre 46
le=la=vage=de=cer=veau=so=cié=tal=nous=em=pê=che=dê=tre=nous=mêmes=les=es=prits=forts=nous=vo=lent=no=tre=vie=no=tre=mort=et=ceau=nom=du=ci=vis=me=lo=bli=ga=tion=dê=tre=un=bon=a=pôtre 47
dans=le=film=so=leil=vert=les=morts=ser=vaient=de=nour=ri=tureaux=vi=vants=af=fa=més=cest=ce=qui=nous=at=tend=tous=dans=ce=mon=de=dé=shu=ma=ni=sé=sans=foi=ni=loi=ni=â=me=quil=faut=con=dam=ner 47
il=faut=lire=le=pe=tit=prin=ce=un=con=te=du=grand=é=cri=vain=saint=saint=saint=saint=texu=pé=ry=tu=vois=jau=rai=lair=dê=tre=mort=mais=ça=ne=se=ra=pas=vrai=ça=se=ra=com=meu=ne=viei=lle=é=cor=ce=a=ban=don=née 53
si=lhomme=con=ti=nue=dexis=ter=dans=lau=de=là=et=que=le=chi=rur=gien=lui=pré=lè=ve=ses=or=ga=nes=ou=le=dé=struc=tu=re=com=plè=te=ment=fai=sant=son=corps=un=ré=ser=voir=de=piè=ces=dé=ta=chées=quel=le=peut=tê=tre=la=ré=ac=tion=du=dé=funt=sil=sur=vit=dans=un=ailleurs=dit=meilleur=son=corps=ne=lui=ap=par=te=nant=plus=mais=à=dau=tres=en=mor=ceaux=ou=en=en=tier 89
qui=sait=si=le=dé=funt=ne=res=sent=pas=un=trau=ma=tismeen=voyant=son=cœur=bat=tre=dans=la=poi=tri=ne=dun=in=con=nu=ses=or=ga=nes=dis=sé=mi=nés=dans=des=corps=é=tran=gers=voir=peut=tê=tre=un=jour=la=to=ta=li=té=du=corps=a=vec=un=au=tre=cer=veau=on=y=va 65
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les=méde=cins=nont=pas=la=s=cien=cein=fu=se=pour=eux=le=corps=ce=nest=que=des=ar=ti=cu=la=tions=et=de=la=plom=be=rie=a=lors=que=cest=la=vie=qui=est=com=plexe=et=sa=crée=qui=le=prou=ve=que=la=mort=est=la=fin=de=tout 55
prendre=les=or=ga=nes=dun=mort=sans=son=au=to=ri=sa=tion=cest=u=ne=pro=fa=na=tion=de=corps=et=un=vol=dor=ganes=cer=tai=nes=per=son=nes=ne=veu=lent=pas=fi=nir=en=piè=ces=dé=ta=chées=un=droit=hu=main=fon=da=men=tal=que=je=loue 57
nos=loin=tains=an=cêtres=en=ter=raient=di=gne=ment=leurs=morts=mê=me=sil=y=eut=des=peu=pla=des=can=ni=ba=les=ou=bar=bares 29
juifs=et=chré=tiens=ne=pra=ti=quaient=pas=la=cré=ma=tion=le=cime=tiè=res=ja=dis=é=tait=un=lieu=sa=cré=et=bé=ni=les=fa=milles=ve=naient=sy=re=cueillir=et=prier=sur=les=tom=bes=de=leurs=chers=dé=funts=de=lieux=et=pla=ces=au=jourdhui=a=ban=don=nés=ou=sup=pri=més=les=os=se=ments=dis=pa=rus 69
a=notreé=po=que=din=dif=fé=ren=ce=to=ta=le=les=ê=tres=hu=mains=ne=va=lent=plus=grand=cho=se=né=tant=que=des=co=chons=payants=des=es=cla=ves=dans=le=sys=tè=me=li=bé=ral=ou=seul=lar=gent=est=roi=les=re=la=tions=hu=mai=nes=les=bons=sen=ti=ments=nay=ant=plus=au=cu=ne=con=si=dé=ra=tion=le=pou=voir=nous=vo=le=no=tre=vie=par=u=ne=fou=le=din=ter=dits=le=far=deau=des=im=pôts=et=taxes=qui=fait=ployer=les=pau=vres=gens=vo=lant=no=tre=mort=en=sac=ca=pa=rant=les=corps 116
cette=vie=con=train=teest=un=en=fer=nous=su=bis=sons=op=pres=sion=et=ré=pres=sion=pour=nim=por=te=quoi=le=li=vre=mille=neuf=cent=qua=tre=vingt=qua=tre=big=bro=ther=chef=du=par=ti=de=geor=ges=or=well=et=le=li=vre=al=dous=hux=ley=le=meilleur=des=mon=des=la=fic=tion=est=de=ve=nue=la=tris=te=ré=a=li=té=dans=tou=te=sa=ter=reur=a=lié=nant=la=vie=et=la=mort 88
un=ca=davre=hu=main=pour=dé=fen=dre=les=pè=ce=hu=mai=ne=ce=nest=pas=que=de=la=chair=mor=te=de=la=vian=de=froi=de=pour=re=pren=dre=lex=pres=sion=dé=sin=vol=te=des=ca=ra=bins=cest=le=corps=dun=ê=treai=mé=par=ses=pa=rents=son=con=joint=ses=en=fants=pe=tits=en=fants=et=des=a=mis=a=vant=dê=tre=mort=il=a=vait=la=vie=des=é=mo=tions=sen=sa=tions=u=ne=cons=cien=ce=que=la=mé=de=ci=ne=en=sec=tion=nant=dé=sho=nore 105
une=tê=te=sec=tion=né=pour=le=gref=fer=sur=un=au=tre=corps=la=mé=de=ci=ne=len=vi=sa=ge=cest=de=la=fo=lie 29
comment=ap=pe=ler=chi=rur=giens=ces=gens=qui=font=nim=por=te=quoi=jou=ant=a=vec=la=mort=la=vie 23
cré=ant=des=chi=mè=res=des=cré=a=tu=res=mons=trueu=ses=a=vec=des=corps=quils=dé=struc=turent 22
dautres=se=ser=vant=des=gè=nes=pour=les=dé=na=tu=rer=jus=quà=ce=que=le=cré=a=teur=les=ra=ture 24
comme=dau=tres=jai=de=la=com=pas=sion=pour=les=ma=la=des=dans=lat=ten=te=du=ne=gref=fe=dun=or=gane 25
faut=til=que=quel=quun=meurt=et=soit=dé=pe=cé=pour=sau=ver=leur=vie=cest=le=mort=quon=pro=fane 22
les=gens=ac=cep=tent=nim=porte=quoi=pour=sau=ver=leur=vie=des=mor=ceaux=de=ca=da=vres=à=gref=fer 23
le=cœur=dun=autre=qui=bat=tra=dans=leur=poi=tri=ne=les=or=ga=nes=des=morts=de=vien=nent=des=tro=phées 24
hier=un=cœur=un=rein=mainte=nant=le=vi=sa=ge=des=mem=bres=bien=tôt=le=corps=dans=sa=to=ta=li=té 24
des=têtes=cou=pées=des=cer=veaux=re=ti=rés=au=cu=ne=li=mi=te=pour=ces=chi=rur=giens=de=la=mor=bi=di=té 27
Phonétique : Les Voleurs D’organes (5)pɑ̃se kə lɔ̃ pø finiʁ dɑ̃ lə kʁematɔʁjɔm, ɑ̃ sɑ̃dʁə- sεt- ɑ̃ɡwasɑ̃
puvɑ̃ imaʒine lə tʁavaj dεstʁyktœʁ dε flamə, lə kɔʁz- a fø e a sɑ̃
sεʁtə- sə nε plys kynə depujə, mε ki pø sεʁtifje kɔ̃ nə ʁəse ʁjɛ̃ ?
lε sεllylə nə məʁe pa osito, spiʁitɥεllmɑ̃, fizikəmɑ̃ ʁεstə œ̃ ljɛ̃
lεtʁə ymɛ̃ nε plys kœ̃ ʁuaʒə, œ̃ nymeʁo, sumiz- o dikta də la klasə dɔminɑ̃tə ki ɛ̃pozə sεz- ide, ʃwa, diʁεktivə.
dε medəsɛ̃ deʒɑ̃te kɔmə fʁɑ̃kɑ̃stɛ̃, lə dɔktœʁ mabyzə, kapablə də tutə lε fɔli, sεʁtɛ̃ sɔ̃ vʁεmɑ̃ a la deʁivə.
oziʁi, djø eʒiptjɛ̃, sɔ̃ kɔʁz- ε dekupe ɑ̃ mɔʁso, sɔ̃n- epuzə izi paʁvjɛ̃ a ʁasɑ̃ble lε mɔʁso dy kadavʁə, a lεksεpsjɔ̃ də sɔ̃ falys pεʁdy a ʒamε.
dɔ̃ dɔʁɡanə, mε kɑ̃ lε pʁoʃə nə pəve diʁə nɔ̃ də paʁ la lwa, ε sə œ̃ dɔ̃ ? lə kɔʁ miz- ɑ̃ mɔʁso, epaʁpije dɑ̃ dotʁə- kɔʁ, vwala sə kɔ̃ fε də lεtʁə εme.
lə kœʁ, œ̃n- ɔʁɡanə suvɑ̃ pʁeləve ε ʁiʃə sɛ̃bɔlikəmɑ̃. lə kœʁ di ɑ̃ʒəlys silykysz- ε lə tɑ̃plə, lotεl də djø.
lə kœʁ tjɛ̃ œ̃ ʁolə sɑ̃tʁal dɑ̃ la vi spiʁitɥεllə, il pɑ̃sə, il desidə, il eboʃə dε pʁɔʒε, il afiʁmə sa ʁεspɔ̃sabilite, sə nε pa kynə pɔ̃pə, paʁdjø !
lɔmə sə devɔʁə lɥi mεmə, lε ɡʁefə dɔʁɡanə, œ̃ fɔʁmə dɑ̃tʁɔpɔfaʒi sɑ̃ pase paʁ lə tybə diʒεstif mε paʁ dε ɡʁefə dɑ̃ lə kɔʁz- anɔnimə dœ̃n- otʁə.
lə lavaʒə də sεʁvo sɔsjetal nuz- ɑ̃pεʃə dεtʁə nu mεmə. lεz- εspʁi fɔʁ nu vɔle nɔtʁə vi, nɔtʁə mɔʁ, e sə o nɔ̃ dy sivismə, lɔbliɡasjɔ̃ dεtʁə œ̃ bɔ̃ apotʁə !
dɑ̃ lə film « sɔlεj vεʁt » ləs mɔʁ sεʁvε də nuʁʁityʁə o vivɑ̃z- afame. sε sə ki nuz- atɑ̃ tus dɑ̃ sə mɔ̃də dezymanize, sɑ̃ fwa, ni lwa ni amə kil fo kɔ̃damne
il fo liʁə « lə pəti pʁɛ̃sə » œ̃ kɔ̃tə dy ɡʁɑ̃t- ekʁivɛ̃ sɛ̃ sɛ̃ sɛ̃ sɛ̃ tεɡzypeʁi : « ty vwa, ʒoʁε lεʁ dεtʁə mɔʁ mε sa nə səʁa pa vʁε, sa səʁa kɔmə ynə vjεjə ekɔʁsə abɑ̃dɔneə »
si lɔmə kɔ̃tinɥ dεɡziste dɑ̃ lo dəla e kə lə ʃiʁyʁʒjɛ̃ lɥi pʁelεvə sεz- ɔʁɡanəz- u lə destʁyktyʁə kɔ̃plεtəmɑ̃ fəzɑ̃ sɔ̃ kɔʁz- œ̃ ʁezεʁvwaʁ də pjεsə detaʃe, kεllə pø tεtʁə la ʁeaksjɔ̃ dy defœ̃ sil syʁvi dɑ̃z- œ̃n- ajœʁ di mεjœʁ, sɔ̃ kɔʁ nə lɥi apaʁtənɑ̃ plys mεz- a dotʁəz- ɑ̃ mɔʁsoz- u ɑ̃n- ɑ̃tje ?
ki sε, si lə defœ̃ nə ʁəse pa œ̃ tʁomatismə ɑ̃ vwajɑ̃ sɔ̃ kœʁ batʁə dɑ̃ la pwatʁinə dœ̃n- ɛ̃kɔny, sεz- ɔʁɡanə disemine dɑ̃ dε kɔʁz- etʁɑ̃ʒe, vwaʁ pø tεtʁə œ̃ ʒuʁ la tɔtalite dy kɔʁz- avεk œ̃n- otʁə sεʁvo, ɔ̃n- i va !
oʒuʁdɥi lε mɔʁ nɔ̃ plys lə dʁwa də ʁəpoze ɑ̃ pε, la medəsinə εt- ɑ̃ dʁwa də diseke, otɔpsje lε kadavʁə, sə pʁeləve dɔfisə lεz- ɔʁɡanə mεmə si la famijə si ɔpozə, sε skɑ̃dalø, si lə mɔʁ avɑ̃ də muʁiʁ vulε ʁεste ɑ̃tje sε sɔ̃ dʁwa lə plysz- absɔly nɑ̃ deplεzə o sypo də satɑ̃.
lε medəsɛ̃ sɔ̃ la puʁ swaɲe, sə nε pa dε flikz- i kɔ̃pʁi lε psiʃjatʁə- ki dʁɔɡe e ɑ̃fεʁme tʁo fasiləmɑ̃. lə pasjɑ̃ nə pø tεtʁə ɑ̃ ɡaʁdə a vɥ kɑ̃t- ɔ̃ kɔ̃syltə œ̃ medəsɛ̃.
la medəsinə ε sakʁalize, lε medəsɛ̃ deifjez- alɔʁ kə lε tʁεtəmɑ̃ nə sɔ̃ pa fɔʁsemɑ̃ la panase. nɔ̃bʁøz- a lopital e paʁ dε medikamɑ̃ paʁfwa dɑ̃ʒəʁøz- u pa anɔdɛ̃…
lε medəsɛ̃ nɔ̃ pa la sjɑ̃sə ɛ̃fyzə, puʁ ø lə kɔʁ sə nε kə dεz- aʁtikylasjɔ̃z- e də la plɔ̃bəʁi alɔʁ kə sε la vi ki ε kɔ̃plεksə e sakʁe, ki lə pʁuvə kə la mɔʁ ε la fɛ̃ də tu ?
pʁɑ̃dʁə lεz- ɔʁɡanə dœ̃ mɔʁ sɑ̃ sɔ̃n- otɔʁizasjɔ̃, sεt- ynə pʁɔfanasjɔ̃ də kɔʁz- e œ̃ vɔl dɔʁɡanə. sεʁtεnə pεʁsɔnə nə vəle pa finiʁ ɑ̃ pjεsə detaʃe, œ̃ dʁwa ymɛ̃ fɔ̃damɑ̃tal kə ʒə lw.
no lwɛ̃tɛ̃z- ɑ̃sεtʁəz- ɑ̃teʁε diɲəmɑ̃ lœʁ mɔʁ mεmə sil i y dε pəpladə kanibaləz- u baʁbaʁə.
ʒɥifz- e kʁetjɛ̃ nə pʁatikε pa la kʁemasjɔ̃. lə simətjεʁə ʒadiz- etε œ̃ ljø sakʁe e beni, lε famijə vənε si ʁəkœjiʁ e pʁje syʁ lε tɔ̃bə də lœʁ ʃεʁ defœ̃. də ljøz- e plasəz- oʒuʁdɥi abɑ̃dɔnez- u sypʁime, lεz- ɔsəmɑ̃ dispaʁys
a nɔtʁə epɔkə dɛ̃difeʁɑ̃sə tɔtalə, lεz- εtʁə- ymɛ̃ nə valɑ̃ plys ɡʁɑ̃ ʃozə, netɑ̃ kə dε koʃɔ̃ pεjɑ̃, dεz- εsklavə dɑ̃ lə sistεmə libeʁal u səl laʁʒe ε ʁwa, lε ʁəlasjɔ̃z- ymεnə, lε bɔ̃ sɑ̃timɑ̃ nεjɑ̃ plysz- okynə kɔ̃sideʁasjɔ̃. lə puvwaʁ nu vɔlə nɔtʁə vi paʁ ynə fulə dɛ̃tεʁdi, lə faʁdo dεz- ɛ̃poz- e taksə ki fε plwaje lε povʁə- ʒɑ̃, vɔlɑ̃ nɔtʁə mɔʁ ɑ̃ sakapaʁɑ̃ lε kɔʁ.
sεtə vi kɔ̃tʁɛ̃tə εt- œ̃n- ɑ̃fe, nu sybisɔ̃z- ɔpʁesjɔ̃ e ʁepʁesjɔ̃ puʁ nɛ̃pɔʁtə kwa. lə livʁə « mijə nəf sɑ̃ katʁə vɛ̃- katʁə » biɡ bʁɔtœʁ ʃεf dy paʁti də ʒɔʁʒəz- ɔʁwεll ? e lə livʁə aldusz- yksle : lə mεjœʁ dε mɔ̃də, la fiksjɔ̃ ε dəvənɥ la tʁistə ʁealite dɑ̃ tutə sa teʁœʁ aljenɑ̃ la vi e la mɔʁ.
œ̃ kadavʁə ymɛ̃ puʁ defɑ̃dʁə lεspεsə ymεnə (… ) sə nε pa kə də la ʃεʁ mɔʁtə, də la vjɑ̃də fʁwadə puʁ ʁəpʁɑ̃dʁə lεkspʁesjɔ̃ dezɛ̃vɔltə dε kaʁabɛ̃, sε lə kɔʁ dœ̃n- εtʁə εme paʁ sε paʁɑ̃, sɔ̃ kɔ̃ʒwɛ̃, sεz- ɑ̃fɑ̃, pətiz- ɑ̃fɑ̃z- e dεz- ami, avɑ̃ dεtʁə mɔʁ il avε la vi, dεz- emɔsjɔ̃, sɑ̃sasjɔ̃, ynə kɔ̃sjɑ̃sə kə la medəsinə ɑ̃ sεksjɔnɑ̃ dezonoʁə.
ynə tεtə sεksjɔne puʁ lə ɡʁefe syʁ œ̃n- otʁə kɔʁ, la medəsinə, lɑ̃vizaʒə, sε də la fɔli
kɔmɑ̃ apəle ʃiʁyʁʒjɛ̃ sε ʒɑ̃ ki fɔ̃ nɛ̃pɔʁtə kwa, ʒuɑ̃ avεk la mɔʁ, la vi !
kʁeɑ̃ dε ʃimεʁə, dε kʁeatyʁə mɔ̃stʁyøzəz- avεk dε kɔʁ kil destʁyktyʁe
dotʁə- sə sεʁvɑ̃ dε ʒεnə puʁ lε denatyʁe, ʒyska sə kə lə kʁeatœʁ lε ʁatyʁə.
kɔmə dotʁə- ʒε də la kɔ̃pasjɔ̃ puʁ lε maladə dɑ̃ latɑ̃tə dynə ɡʁεfə, dœ̃n- ɔʁɡanə
fo til kə kεlkœ̃ məʁ e swa depəse puʁ sove lœʁ vi ? sε lə mɔʁ kɔ̃ pʁɔfanə.
lε ʒɑ̃z- aksεpte nɛ̃pɔʁtə kwa puʁ sove lœʁ vi, dε mɔʁso də kadavʁəz- a ɡʁefe
lə kœʁ dœ̃n- otʁə ki batʁa dɑ̃ lœʁ pwatʁinə, lεz- ɔʁɡanə dε mɔʁ dəvjεne dε tʁɔfe
jεʁ œ̃ kœʁ, œ̃ ʁɛ̃, mɛ̃tənɑ̃ lə vizaʒə, dε mɑ̃bʁə, bjɛ̃to lə kɔʁ dɑ̃ sa tɔtalite
dε tεtə kupe, dε sεʁvo ʁətiʁe, okynə limitə puʁ sε ʃiʁyʁʒjɛ̃ də la mɔʁbidite
Syllabes Phonétique : Les Voleurs D’organes (5)pɑ̃=se=kə=lɔ̃=pø=fi=niʁ=dɑ̃=lə=kʁe=ma=tɔ=ʁjɔm=ɑ̃=sɑ̃=dʁə=sε=tɑ̃=ɡwa=sɑ̃ 20
pu=vɑ̃=i=ma=ʒi=ne=lə=tʁa=vaj=dεs=tʁyk=tœ=ʁə=dε=fla=mə=lə=kɔʁ=za=fø=e=a=sɑ̃ 23
sεʁ=tə=sə=nε=plys=ky=nə=de=pu=jə=mε=ki=pø=sεʁ=ti=fj=e=kɔ̃=nə=ʁə=se=ʁj=ɛ̃ 23
lε=sεl=ly=lə=nə=mə=ʁe=pa=o=si=to=spi=ʁit=ɥεl=lmɑ̃=fi=zi=kə=mɑ̃=ʁεs=tə=œ̃=lj=ɛ̃ 24
lεtʁəy=mɛ̃=nε=plys=kœ̃=ʁu=a=ʒə=œ̃=ny=me=ʁo=su=mi=zo=dik=ta=də=la=kla=sə=dɔ=mi=nɑ̃=tə=ki=ɛ̃=po=zə=sε=zi=de=ʃwa=di=ʁεk=tivə 36
dε=me=də=sɛ̃=de=ʒɑ̃=te=kɔmə=fʁɑ̃=kɑ̃s=tɛ̃=lə=dɔk=tœʁ=ma=by=zə=ka=pa=blə=də=tu=tə=lε=fɔ=li=sεʁ=tɛ̃=sɔ̃=vʁε=mɑ̃=a=la=de=ʁivə 35
o=zi=ʁi=djø=e=ʒip=tjɛ̃=sɔ̃=kɔʁ=zε=de=ku=pe=ɑ̃=mɔʁ=so=sɔ̃=ne=puzə=i=zi=paʁ=vjɛ̃=a=ʁa=sɑ̃=ble=lε=mɔʁ=so=dy=ka=da=vʁə=a=lεk=sεp=sjɔ̃=də=sɔ̃=fa=lys=pεʁ=dy=a=ʒa=mε 47
dɔ̃=dɔʁ=ɡanə=mε=kɑ̃=lε=pʁo=ʃə=nə=pə=ve=di=ʁə=nɔ̃=də=paʁ=la=lwa=ε=səœ̃=dɔ̃=lə=kɔʁ=mi=zɑ̃=mɔʁ=so=e=paʁ=pi=je=dɑ̃=do=tʁə=kɔʁ=vwa=la=sə=kɔ̃=fε=də=lε=tʁə=ε=me 45
lə=kœʁ=œ̃=nɔʁ=ɡanə=su=vɑ̃=pʁe=lə=ve=ε=ʁi=ʃə=sɛ̃=bɔ=li=kə=mɑ̃=lə=kœʁ=di=ɑ̃=ʒə=lys=si=ly=kys=zε=lə=tɑ̃=plə=lo=tεl=də=djø 35
lə=kœʁ=tjɛ̃=œ̃=ʁolə=sɑ̃=tʁal=dɑ̃=la=vi=spi=ʁit=ɥεllə=il=pɑ̃=sə=il=de=si=də=il=e=bo=ʃə=dε=pʁɔ=ʒε=il=a=fiʁ=mə=sa=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te=sə=nε=pa=ky=nə=pɔ̃=pə=paʁ=djø 47
lɔmə=sə=de=vɔ=ʁə=lɥi=mε=mə=lε=ɡʁe=fə=dɔʁ=ɡa=nə=œ̃=fɔʁ=mə=dɑ̃=tʁɔ=pɔ=fa=ʒi=sɑ̃=pa=se=paʁ=lə=ty=bə=di=ʒεs=tif=mε=paʁ=dε=ɡʁe=fə=dɑ̃=lə=kɔʁ=za=nɔ=ni=mə=dœ̃=notʁə 46
lə=la=vaʒə=də=sεʁ=vo=sɔ=sje=tal=nu=zɑ̃=pε=ʃə=dε=tʁə=nu=mε=mə=lε=zεs=pʁi=fɔʁ=nu=vɔ=le=nɔ=tʁə=vi=nɔ=tʁə=mɔʁ=e=səo=nɔ̃=dy=si=vis=mə=lɔ=bli=ɡa=sjɔ̃=dε=tʁə=œ̃=bɔ̃=a=potʁə 48
dɑ̃lə=film=sɔ=lεj=vεʁt=ləs=mɔʁ=sεʁ=vε=də=nuʁ=ʁi=ty=ʁəo=vi=vɑ̃=za=fa=me=sε=sə=ki=nu=za=tɑ̃=tus=dɑ̃=sə=mɔ̃=də=de=zy=ma=ni=ze=sɑ̃=fwa=ni=lwa=ni=a=mə=kil=fo=kɔ̃=dan 46
il=fo=liʁə=lə=pə=ti=pʁɛ̃=sə=œ̃=kɔ̃=tə=dy=ɡʁɑ̃=te=kʁi=vɛ̃=sɛ̃=sɛ̃=sɛ̃=sɛ̃=tεɡ=zy=pe=ʁi=ty=vwa=ʒo=ʁε=lεʁ=dε=tʁə=mɔʁ=mε=sa=nə=sə=ʁa=pa=vʁε=sa=sə=ʁa=kɔ=məy=nə=vjεjə=e=kɔʁ=sə=a=bɑ̃=dɔ=ne=ə 54
si=lɔmə=kɔ̃=tinɥ=dεɡ=zis=te=dɑ̃=lo=də=la=e=kə=lə=ʃi=ʁyʁ=ʒjɛ̃=lɥi=pʁe=lε=və=sε=zɔʁ=ɡa=nə=zu=lə=des=tʁyk=ty=ʁə=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=fə=zɑ̃=sɔ̃=kɔʁ=zœ̃=ʁe=zεʁ=vwaʁ=də=pjε=sə=de=ta=ʃe=kεl=lə=pø=tε=tʁə=la=ʁe=ak=sjɔ̃=dy=de=fœ̃=sil=syʁ=vi=dɑ̃=zœ̃=na=jœʁ=di=mε=jœʁ=sɔ̃=kɔʁ=nə=lɥi=a=paʁ=tə=nɑ̃=plys=mε=za=do=tʁə=zɑ̃=mɔʁ=so=zu=ɑ̃=nɑ̃=tje 91
ki=sε=silə=de=fœ̃=nə=ʁə=se=pa=œ̃=tʁo=ma=tis=məɑ̃=vwa=jɑ̃=sɔ̃=kœʁ=ba=tʁə=dɑ̃=la=pwa=tʁi=nə=dœ̃=nɛ̃=kɔ=ny=sε=zɔʁ=ɡa=nə=di=se=mi=ne=dɑ̃=dε=kɔʁ=ze=tʁɑ̃=ʒe=vwaʁ=pø=tε=tʁə=œ̃=ʒuʁ=la=tɔ=ta=li=te=dy=kɔʁ=za=vεk=œ̃=no=tʁə=sεʁ=vo=ɔ̃=ni=va 66
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lε=me=də=sɛ̃=sɔ̃=la=puʁ=swa=ɲe=sə=nε=pa=dε=flik=zi=kɔ̃=pʁi=lε=psi=ʃjatʁə=ki=dʁɔ=ɡe=e=ɑ̃=fεʁ=me=tʁo=fa=si=lə=mɑ̃=lə=pa=sjɑ̃=nə=pø=tε=tʁəɑ̃=ɡaʁ=də=a=vɥ=kɑ̃=tɔ̃=kɔ̃=syl=tə=œ̃=me=də=sɛ̃ 52
la=me=də=sinəε=sa=kʁa=li=ze=lε=me=də=sɛ̃=de=i=fje=za=lɔʁ=kə=lε=tʁε=tə=mɑ̃=nə=sɔ̃=pa=fɔʁ=se=mɑ̃=la=pa=na=se=nɔ̃=bʁø=za=lo=pi=tal=e=paʁ=dε=me=di=ka=mɑ̃=paʁ=fwa=dɑ̃=ʒə=ʁø=zu=pa=a=nɔ=dɛ̃ 55
lε=me=də=sɛ̃=nɔ̃=pa=la=sjɑ̃səɛ̃=fy=zə=puʁ=ø=lə=kɔʁ=sə=nε=kə=dε=zaʁ=ti=ky=la=sjɔ̃=ze=də=la=plɔ̃=bə=ʁi=a=lɔʁ=kə=sε=la=vi=ki=ε=kɔ̃=plεk=sə=e=sa=kʁe=ki=lə=pʁu=və=kə=la=mɔʁ=ε=la=fɛ̃=də=tu 55
pʁɑ̃dʁə=lε=zɔʁ=ɡa=nə=dœ̃=mɔʁ=sɑ̃=sɔ̃=no=tɔ=ʁi=za=sjɔ̃=sε=ty=nə=pʁɔ=fa=na=sjɔ̃=də=kɔʁ=ze=œ̃=vɔl=dɔʁ=ɡa=nə=sεʁ=tε=nə=pεʁ=sɔ=nə=nə=və=le=pa=fi=niʁ=ɑ̃=pjε=sə=de=ta=ʃe=œ̃=dʁwa=y=mɛ̃=fɔ̃=da=mɑ̃=tal=kə=ʒə=lw 58
no=lwɛ̃=tɛ̃=zɑ̃=sεtʁə=zɑ̃=te=ʁε=di=ɲə=mɑ̃=lœʁ=mɔʁ=mε=mə=sil=i=y=dε=pə=pla=də=ka=ni=ba=lə=zu=baʁ=baʁə 29
ʒɥif=ze=kʁe=tjɛ̃nə=pʁa=ti=kε=pa=la=kʁe=ma=sjɔ̃=lə=si=mə=tjε=ʁə=ʒa=di=ze=tε=œ̃=ljø=sa=kʁe=e=be=ni=lε=fa=mi=jə=və=nε=si=ʁə=kœjiʁ=e=pʁje=syʁ=lε=tɔ̃=bə=də=lœʁ=ʃεʁ=de=fœ̃=də=ljø=ze=pla=sə=zo=ʒuʁ=dɥi=a=bɑ̃=dɔ=ne=zu=sy=pʁi=me=lε=zɔ=sə=mɑ̃=dis=pa=ʁys 71
a=nɔtʁəe=pɔ=kə=dɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=sə=tɔ=ta=lə=lε=zε=tʁə=y=mɛ̃=nə=va=lɑ̃=plys=ɡʁɑ̃=ʃo=zə=ne=tɑ̃=kə=dε=ko=ʃɔ̃=pε=jɑ̃=dε=zεs=kla=və=dɑ̃=lə=sis=tε=mə=li=be=ʁal=u=səl=laʁ=ʒe=ε=ʁwa=lε=ʁə=la=sjɔ̃=zy=mε=nə=lε=bɔ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=nε=jɑ̃=plys=zo=ky=nə=kɔ̃=si=de=ʁa=sjɔ̃=lə=pu=vwaʁ=nu=vɔ=lə=nɔ=tʁə=vi=paʁ=y=nə=fu=lə=dɛ̃=tεʁ=di=lə=faʁ=do=dε=zɛ̃=po=ze=tak=sə=ki=fε=plwa=je=lε=po=vʁə=ʒɑ̃=vɔ=lɑ̃=nɔ=tʁə=mɔʁ=ɑ̃=sa=ka=pa=ʁɑ̃=lε=kɔʁ 119
sεtə=vi=kɔ̃=tʁɛ̃=təε=tœ̃=nɑ̃=fe=nu=sy=bi=sɔ̃=zɔ=pʁe=sjɔ̃=e=ʁe=pʁe=sjɔ̃=puʁ=nɛ̃=pɔʁ=tə=kwa=lə=li=vʁə=mi=jə=nəf=sɑ̃=ka=tʁə=vɛ̃=ka=tʁə=biɡ=bʁɔ=tœʁ=ʃεf=dy=paʁ=ti=də=ʒɔʁ=ʒə=zɔ=ʁwεll=e=lə=li=vʁə=al=dus=zyk=sle=lə=mε=jœʁ=dε=mɔ̃=də=la=fik=sjɔ̃=ε=də=vənɥ=la=tʁis=tə=ʁe=a=li=te=dɑ̃=tu=tə=sa=te=ʁœʁ=a=lje=nɑ̃=la=vi=e=la=mɔʁ 89
œ̃=ka=davʁəy=mɛ̃=puʁ=de=fɑ̃=dʁə=lεs=pε=sə=y=mε=nə=sə=nε=pa=kə=də=la=ʃεʁ=mɔʁ=tə=də=la=vjɑ̃=də=fʁwa=də=puʁ=ʁə=pʁɑ̃=dʁə=lεk=spʁe=sjɔ̃=de=zɛ̃=vɔl=tə=dε=ka=ʁa=bɛ̃=sε=lə=kɔʁ=dœ̃=nε=tʁə=ε=me=paʁ=sε=pa=ʁɑ̃=sɔ̃=kɔ̃=ʒwɛ̃=sε=zɑ̃=fɑ̃=pə=ti=zɑ̃=fɑ̃=ze=dε=za=mi=a=vɑ̃=dε=tʁə=mɔʁ=il=a=vε=la=vi=dε=ze=mɔ=sjɔ̃=sɑ̃=sa=sjɔ̃=y=nə=kɔ̃=sjɑ̃=sə=kə=la=me=də=si=nə=ɑ̃=sεk=sjɔ=nɑ̃=de=zo=noʁə 105
ynə=tε=tə=sεk=sjɔ=ne=puʁ=lə=ɡʁe=fe=syʁ=œ̃=no=tʁə=kɔʁ=la=me=də=si=nə=lɑ̃=vi=za=ʒə=sε=də=la=fɔ=li 29
kɔ=mɑ̃=a=pə=le=ʃi=ʁyʁ=ʒjɛ̃=sε=ʒɑ̃=ki=fɔ̃=nɛ̃=pɔʁ=tə=kwa=ʒu=ɑ̃=a=vεk=la=mɔʁ=la=vi 24
kʁe=ɑ̃=dε=ʃi=mε=ʁə=dε=kʁe=a=ty=ʁə=mɔ̃s=tʁy=ø=zə=za=vεk=dε=kɔʁ=kil=des=tʁyk=ty=ʁe 24
dotʁə=sə=sεʁ=vɑ̃=dε=ʒε=nə=puʁ=lε=de=na=ty=ʁe=ʒys=ka=sə=kə=lə=kʁe=a=tœʁ=lε=ʁa=tyʁə 24
kɔmə=do=tʁə=ʒε=də=la=kɔ̃=pa=sjɔ̃=puʁ=lε=ma=la=də=dɑ̃=la=tɑ̃=tə=dy=nə=ɡʁε=fə=dœ̃=nɔʁ=ɡanə 25
fo=til=kə=kεl=kœ̃=məʁ=e=swa=de=pə=se=puʁ=so=ve=lœ=ʁə=vi=sε=lə=mɔʁ=kɔ̃=pʁɔ=fa=nə 24
lε=ʒɑ̃=zak=sεp=te=nɛ̃=pɔʁ=tə=kwa=puʁ=so=ve=lœʁ=vi=dε=mɔʁ=so=də=ka=da=vʁə=za=ɡʁe=fe 24
lə=kœʁ=dœ̃=notʁə=ki=ba=tʁa=dɑ̃=lœʁ=pwa=tʁi=nə=lε=zɔʁ=ɡa=nə=dε=mɔʁ=də=vjε=ne=dε=tʁɔ=fe 24
jεʁ=œ̃=kœʁ=œ̃=ʁɛ̃=mɛ̃tə=nɑ̃=lə=vi=za=ʒə=dε=mɑ̃=bʁə=bjɛ̃=to=lə=kɔʁ=dɑ̃=sa=tɔ=ta=li=te 24
dε=tεtə=ku=pe=dε=sεʁ=vo=ʁə=ti=ʁe=o=ky=nə=li=mi=tə=puʁ=sε=ʃi=ʁyʁ=ʒjɛ̃=də=la=mɔʁ=bi=di=te 27

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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
26/07/2015 21:15Loic Rousselot

Bonjour,

Texte intéressant et ahurissant, dont je ne partage par du tout le sentiment.
Il me semble toujours très difficile de se porter en donneur de leçon de la sorte.
Certes, je comprends votre conviction et je m’interroge de quelle secte faites vous donc partie ?
Pour se positionner en juge de cette façon il faut être franchement convaincu ou con.
Cela est dangereux et frôle le Nazisme...M’enfin vous êtes peut être un Nazi.

Ce texte, est a mes yeux choquant par ses visions simplistes, imbéciles et délirantes...

Moi, qui au quotidien aime valoriser les lumières, je suis bien triste de croiser ainsi les ténèbres.
Je dois donc me convaincre que les fous existent et restes plus graves que ce que je pouvait imaginer.
Je me dois alors d’affiner mon combat contre l’obscurantisme dont vous me sembler être un bon représentant.

Sans plus

Loïc ROUSSELOT

Auteur de Poésie
27/07/2015 11:29Jean-Pierre Lafitte

Bonjour, suite à votre commentaire. je ne fais aucunement partie d’une secte esprit libre, militant des droits de l’homme et comme beaucoup de personnes d’un certain âge, catholique qui défend certaines valeurs morales, spirituelles et culturelles. Nous sommes en démocratie. J’ai mon opinion, et vous la vôtre aussi respectable, merci pour votre cœur. Avec toute ma sympathie

Poème Mort
Du 26/07/2015 17:11

L'écrit contient 1085 mots qui sont répartis dans 1 strophes.