Poème:Par Moment De Désespoir

Par moment de joie, lorsque toute la famille a l’âme paisible
Je gache le tout du tout et je me retire là où je serais inaccecible
J’ai l’âme en peine avant et aprés leur avoir brisé le cœur
Inutile… j’étais souvent l’issus de leurs malheurs

Elle… toujours là à enfoncer froidement le couteau
Plaie par plaie jusqu’à noyer mon âme dans les regrets
Suis-je si monstrueuse pour leur produire tant de maux ?
Qu’ai-je fais pour n’obtenir que ce qui m’a toujours blessé ?

J’ai mal au point de vouloir m’enlever les racines
Mes jours ressemblent à mes nuits, je fane et la vie ne me donne plus de signes
Je n’existe que pour blesser et me faire blesser aprés
Je ne supporte plus d’petre le mal être de chacun que je connais…

Par moment de joie, lorsque toute la famille a l’âme paisible
Je gache le tout du tout et je me retire là où je serais inaccecible
J’ai l’âme en peine avant et aprés leur avoir brisé le cœur
Inutile… j’étais souvent l’issus de leurs malheurs

Lui… souvent doux, aussi commence à me faire regretter mon existence
Il crit, me fait des repproches et j’ai mal je prends de la distance…
Loin bien loin dans ma chambre, je pleure… et j’écris mes souffrances
Par ces moments là, les idées noires prennent place lors de mes errances…

J’ai là le choix entre continuer ou mettre un point final a ma vie
Dans ma tête une voie qui parle une autre qui lui répond
La noirceur de mes pensées avait déja pris une décision
Je m’en vais prendre une over dose calmer ce qu’endure mon esprit

Par moment de joie, lorsque toute la famille a l’âme paisible
Je gache le tout du tout et je me retire là où je serais inaccecible
J’ai l’âme en peine avant et aprés leur avoir brisé le cœur
Inutile… j’étais souvent l’issus de leurs malheurs

Une, puis deux, jusqu’à arriver à la dernière
Je pleure toujours mais surtout j’attends
Quelques minutes et déja je me sens faible et je manque d’air
J’éteint la lumière… j’essaie de dormir calmement

Larme aprés larme, ca n’arrete de couler et avec ma vie s’enfui
L’idée de rejoindre le ciel ne ma jamais effrayé
Ca ne fut ni la premiere et j’espere sera la derniere ou je le fait
Tentatives d’une âme désespérée qui n’a demandé d’être en vie…

Par moment de désespoir, lorsque toute la famille a l’âme paisible
Je gache le tout du tout et je me retire là où je serais inaccecible
J’ai l’âme en peine avant et aprés leur avoir brisé le cœur
Inutile… je ne serais plus l’issus de leurs malheurs