Poème:Solitude

« No hay nada aqui, solo unos dias que se aprestan a pasar, una tarde en que se puede respirar un diminuto instante inmenso en el vivir, depués mirar la realidad, y nada mas… y nada mas… Ahora me parece que hubiera vivido… »
Ces paroles résonnent dans ma tête.
Elles me font prendre conscience que la vie
Il faut la voir d’une manière complètement différente
De ce que la société veut nous faire voir
Mais voilà, elles me rendent triste
Car elles me montrent à quel point la solitude envahi ma vie
Tous viennent et repartent
Et moi je suis comme un bâton planté en plein milieu d’un champ
Qui voit passer les saisons sans que rien ni personne
Ne daigne faire attention à lui
Autour de moi,
La joie
L’espoir
L’amour remplissent le cœur de tous les êtres qui me sont chers
J’en suis moi-même heureuse
C’est d’ailleurs ma principale préoccupation
Mais ensuite lorsque je n’ai plus personne
Et que tout le monde est parti
. Qui me reste-t-il ? Moi ? Mais moi
Je n’ai jamais réussi à vivre comme tout le monde
La joie de voir les autres heureux
Oui je l’ai eu
Mais une joie de me voir moi heureuse
JAMAIS
L’espoir de voir ma famille réussir
Oui je l’ai eu
Mais un espoir de ma réussite
Je ne l’ai pas vraiment ressenti
Voir les gens heureux d’aimer et être aimer, me rend toujours très contente
Mais je n’ai jamais vu dans ma vie un amour réciproque
Les gens qui auraient pu m’aimer ne m’ont pas dévoilé leur amour
Et ce que j’ai aimé m’ont fait comprendre qu’il n’y aurait rien,
Aucun espoir… juste dans mes rêves.
Alors comment se sentir
Lorsque l’on se retrouve seul chez soi
Que ces parents s’en vont
Que ses frères et sœurs ne vivent plus au près de soi et que ses ami (e) s ne songent pas tellement à soi
Juste que au moment où ils ont besoin de soutient
Vous allez me dire
Ce ne sont pas des amis
Mais cela veut donc dire que je n’en ai pas
Que ma Solitude est bien là, ancrée dans ma vie
Et à tout jamais !
Alors si c’est le cas
Je voudrais me retrouver là où je serai enfin SEULE, mais HEUREUSE et où je serai comblée !
Cet endroit qui m’apparaît toute les nuits, cet endroit qui serait mon paradis
. Bien différent de celui que la société nous met dans notre tête
" Y nada mas, y nada mas