Poème:Mathématique

La belle inconnue des mathématiques
Fractionne mes idées et divise ma pensée,
L’équation un plus un égale nous, faussée
Et à trop réfléchir rien de théorique.
Cette identité vraiment remarquable
Qui à elle seule forme un ensemble,
Exclue les fonctions qui se désassemblent
Dans un calcul mental d’approches minables.
Moi diamétralement posé non opposé
Je prends mon mal en Pi, vise la tangente,
Elle qui rayonne, recentre, régente,
Fuit le second degré de preuves énoncées.
L’addiction d’additions avec ces variables
Soustrait le résultat, me tourne la tête,
Même dans l’abstraction je me trouve bête,
Démontre l’absurde peu recommandable.
Devant ce nombre d’or je suis moitié d’un tout,
Ajouter, retrancher, ôter nos divisions,
Prendre de nouvelles résolutions d’options,
Trouver la solution, la règle qui résout.
La crainte d’un échec est exponentielle,
Celle qui m’ignore en connaît un rayon,
L’axiome logique et sa démonstration,
Vecteurs de vérités bien proportionnelles.
Montée en puissance de tous ces problèmes,
J’en ai mal aux sinus toujours sans formule,
Simple conjecture d’hypothèses nulles
Mal ordonnées segmentées à l’extrême.
Sans trouver la droite ligne de conduite
Ou de raisonnement trouvant théorème,
Je multiplie fautes, erreurs que je sème
Qui coordonnent bien des notes réduites…
L’intérêt s’inversa et mit fin par veto,
Elle ne fut jamais grande médiatrice
Pour soutenir ma thèse en pure actrice.
Heureux en biologie je devins bon véto.

Non mathématique moins automatique,
Surtout pragmatique avec la pratique.