Univers de poésie d'un auteur

Prose:L’art, Mon Échec Dans La Folie Perdue De Mon Enfer

A Propos de cette Prose

Première prose du recueil « Séjour en Enfer »

La Prose

Je suis déchiré entre ma colère, mes larmes et mes cris. Je ne sais qu’être un insatisfait. Je ne sais pas parler, juste crier. Pas argumenter, juste insulter. Pas travailler, juste papillonner.
Mon corps n’est qu’angoisse, stress, haine et ivresse. Il est fatigué, je l’ai trop usé. Les pleurs et la colère ont brulé à petit feu la flamme de mes entrailles. J’ai cru jadis, que l’art pourrait sauver mon âme de l’Enfer. Qu’il pourrait m’ouvrir les portes du lieu où la pure et divine ambroisie coule à flot sans jamais s’arrêter, nous enivrant de splendides sensations. Qu’importe la forme qu’il prenait :
musique, poésie, théâtre… Qu’importe pourvu que je réussisse mon but. Mais maintenant je peux dire que tout ceci n’est que des rêves de gosses inatteignables ! Et que l’art n’est qu’un démon qui se joue des cœurs d’imbéciles espérant qu’il va les amener à l’inconnu, à la terre fertile et nouvelle. Tous ne sont que des imbéciles. Arthur Rimbaud tu es un imbécile, Charles Baudelaire tu es un imbécile, Victor Hugo tu es un imbécile, Paul Verlaine tu es un imbécile, Molière tu es un imbécile, Racine tu es un imbécile, William Shakespear you are an idiot, Rousseau tu es un imbécile, Voltaire tu es un imbécile, je suis un imbécile, Artistes vous êtes des imbéciles, le monde n’est fait que d’imbéciles !
Et on nous flagellera bientôt le cœurs dans les pourritures de nos péchés.


Quand j’étais petit, je n’ai jamais connu l’amour de Dieu, je ne connaissais ni le Paradis, ni l’Enfer, j’étais encore innocent et pur de toutes douleurs. La connaissance, nous rends plus intelligents mais à quel prix ? L’intellect rationnel à remplacer l’intellect émotionnel. Combien de sang doit être versé pour notre propre soif de connaissance ? S’il faut que les terres doivent puer la morgue et les océans doivent être rouge pour qu’on soit des Êtres de savoir, alors je préfère être toute ma vie un imbécile, un idiot, un animal, un vrai humain.



Depuis des millénaires, le commerce et la littérature sont les deux plus grands métiers, mais depuis quelque temps la littérature c’est fait remplacer par la science. Oh, la science… La modernité, la technologie… L’évolution.
La science fait désormais avancer le monde, il tourne plus vite grâce à elle. Mais elle n’a jamais voulu de moi.
Plus petit avant que la littérature hante vraiment ma vie, j’étais fasciné par de petite chose incroyable pour moi, comme les horloges, je les fixais tout le temps en rêvassant, l’air bête et je me disais :
– C’est fascinant l’heure, non ce qui est fascinant c’est le temps… Mais je me demande qu’est-ce qu’il y a après la mort.
Il en fallait peu pour me fasciner.



J’ai cru pouvoir tout chambouler, tout recréer. Je me suis senti toujours différent, et ça me tue, et ça me fait vivre. J’ai l’impression d’observer le monde avec d’autres yeux que les personnes qui m’entourent, de sentir les choses de la vie, d’approcher les problèmes différemment. C’est étrange comme les songes de mes nuits.
Parfois j’essaye de le poursuivre à travers la ville, de toit en toit, de fil en fil, de ruelle en ruelle, et je cours toute la nuit, mais il m’échappe toujours. Et quand je me réveille, à midi, il me nargue d’en haut, ce brillant soleil.
J’ai cru que l’art allait m’aider à enfin communiquer, exprimer mes sensations, que je pourrais montrer une nouvelle voie, un nouveau passage. Mais c’est impossible ! L’art et mes rêves sont voués à l’échec.
Je dois me retourner à mon tombeau, mon Enfer.
– Esclave travaille ! Cesse tes rêveries. Gagne les rivages de la folie ! Acharne-toi, Tue-toi à ton travail, et sans parler, ni contester, meurt piétiner avec indifférence par le poids de ta misérable existence. C’est ça la vie !
– Existe-t-il un moyen de s’en sortir ? L’amour ? Dis-moi encore ce mot et je te fous mon poing dans la gueule. La mort ? Non trop facile. La fuite ? Peut-être… Suis-je déjà devenu fou ?



J’ai cru que la littérature était un moyen pour échapper à je ne sais quoi. Peut-être la mort, ou la vie. Je voulais plus que raconter des petites histoires, des poèmes ou ma vie. Je voulais créer de nouvelles sensations, de nouvelles émotions, de nouvelles couleurs, de nouveaux sons, de nouveaux parfums, de nouvelles odeurs, de nouveaux goûts, de nouveaux mots, de nouveaux langages, qui auraient eu des liens entre toutes choses dans ce monde, des symboles, des correspondances. Je voulais montrer que tout ça était possible, je voulais créer un nouveau chemin, le montrer et peut-être je ne sais, dans le futur, que des personnes l’empruntent. Je voulais créer une nouvelle façon de voir la vie, de vivre.
J’y ai cru à un moment donné, peut-être grâce à l’ivresse, ou quelque chose d’autre. Mais un jour, je suis retombé sur Terre, et ça fait mal, très mal. Je tombais de mon idéal, de mes nuages, de mes songeries, où j’ai crié mon génie, mes prouesses, que j’étais le créateur de nouvelles terres, de nouvelles mers. J’ai dessaoulé de mes rêves, où je dansais et riais nuits et jours. Et je suis retombé en Enfer avec mon boulet à traîner, ma soif à abreuver d’eau, la boisson sans goût des damnés, et ma faim à assouvir de viande crue et pleine de sang. Fini les rêves, fini les correspondances, les symboles, les liaisons, retour au visage plein de sang et de crasses séchés, aux yeux arrachés et puant la tristesse, fini les rêves du cœur, fini la révolution de l’âme.


Au revoir Jeunesse !

— Elle est reperdue…
– Quoi ? !
– Son éternité.

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Poeme de Guillaume Racidet

Poète Guillaume Racidet

Guillaume Racidet a publié sur le site 141 écrits. Guillaume Racidet est membre du site depuis l'année 2017.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: L’art, Mon Échec Dans La Folie Perdue De Mon Enferje=suis=dé=chi=ré=en=tre=ma=co=lè=re=mes=lar=mes=et=mes=cris=je=ne=sais=quê=tre=un=in=sa=tis=fait=je=ne=sais=pas=par=ler=jus=te=cri=er=pas=ar=gu=men=ter=jus=te=in=sul=ter=pas=tra=vail=ler=jus=te=pa=pillon=ner 56
mon=corps=nest=quan=goisse=s=tress=hai=neet=i=vresse=il=est=fa=ti=gué=je=lai=trop=u=sé=les=pleurs=et=la=co=lèreont=bru=lé=à=pe=tit=feu=la=flamme=de=mes=en=trailles=jai=cru=ja=dis=que=lart=pour=rait=sau=ver=mon=â=me=de=len=fer=quil=pour=rait=mou=vrir=les=por=tes=du=lieu=où=la=pu=reet=di=vi=ne=am=broi=sie=cou=le=à=flot=sans=ja=mais=sar=rê=ter=nous=en=ivrant=de=splen=di=des=sen=sa=tions=quim=por=te=la=for=me=quil=pre=nait 104
mu=si=que=poé=sie=théâ=tre=quim=porte=pour=vu=que=je=réus=sisse=mon=but=mais=mainte=nant=je=peux=di=re=que=tout=ce=ci=nest=que=des=rê=ves=de=gos=ses=i=nat=tei=gna=bles=et=que=lart=nest=quun=dé=mon=qui=se=joue=des=cœurs=dim=bé=ci=les=es=pé=rant=quil=va=les=a=me=ner=à=lin=con=nu=à=la=ter=re=fer=tileet=nou=velle=tous=ne=sont=que=des=im=bé=ciles=ar=thur=rim=baud=tu=es=un=im=bé=ci=le=char=les=bau=de=lai=re=tu=es=un=im=bé=ci=le=vic=tor=hu=go=tu=es=un=im=bé=ci=le=paul=ver=lai=ne=tu=es=un=im=bé=ci=le=mo=liè=re=tu=es=un=im=bé=ci=le=ra=ci=ne=tu=es=un=im=bé=ci=le=william=sha=kes=pear=you=a=rean=i=diot=rous=seau=tu=es=un=im=bé=ci=le=vol=tai=re=tu=es=un=im=bé=ci=le=je=suis=un=im=bé=ci=le=ar=tis=tes=vous=ê=tes=des=im=bé=ci=les=le=mon=de=nest=fait=que=dim=bé=ciles 207
et=on=nous=fla=gel=le=ra=bien=tôt=le=cœurs=dans=les=pour=ri=tu=res=de=nos=pé=chés 21
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quand=jé=tais=pe=tit=je=nai=ja=mais=con=nu=la=mour=de=dieu=je=ne=con=nais=sais=ni=le=pa=ra=dis=ni=len=fer=jé=tais=en=corein=nocent=et=pur=de=toutes=dou=leurs=la=con=nais=san=ce=nous=rends=plus=in=tel=li=gents=mais=à=quel=prix=lin=tel=lect=ra=tion=nel=à=rem=pla=cer=lin=tel=lect=é=mo=tion=nel=com=bien=de=sang=doit=ê=tre=ver=sé=pour=no=tre=pro=pre=soif=de=con=nais=san=ce=sil=faut=que=les=ter=res=doi=vent=puer=la=mor=gueet=les=o=cé=ans=doi=vent=ê=tre=rou=ge=pour=quon=soit=des=ê=tres=de=sa=voir=a=lors=je=pré=fè=re=ê=tre=tou=te=ma=vieun=im=bé=ci=le=un=i=diot=un=a=ni=mal=un=vrai=hu=main 150

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plus=pe=tit=a=vant=que=la=lit=té=ra=ture=hante=vrai=ment=ma=vie=jé=tais=fas=ci=né=par=de=pe=ti=te=cho=sein=croya=ble=pour=moi=com=me=les=hor=lo=ges=je=les=fixais=tout=le=temps=en=rê=vas=sant=lair=bê=te=et=je=me=di=sais 56
cest=fas=ci=nant=l=heu=re=non=ce=qui=est=fas=ci=nant=cest=le=temps=mais=je=me=de=man=de=quest=ce=quil=y=a=a=près=la=mort 32
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par=fois=jes=saye=de=le=pour=suivreà=tra=vers=la=ville=de=toit=en=toit=de=fil=en=fil=de=ruel=leen=ruel=le=et=je=cours=toute=la=nuit=mais=il=mé=chap=pe=tou=jours=et=quand=je=me=ré=veille=à=mi=di=il=me=nar=gue=den=haut=ce=brillant=so=leil 57
jai=cru=que=lart=al=lait=mai=der=à=en=fin=com=mu=ni=quer=ex=pri=mer=mes=sen=sa=tions=que=je=pour=rais=mon=trer=u=ne=nou=vel=le=voie=un=nou=veau=pas=sa=ge=mais=cest=im=pos=si=ble=lart=et=mes=rê=ves=sont=voués=à=lé=chec 56
je=dois=me=re=tour=ner=à=mon=tom=beau=mon=en=fer 13
es=clave=tra=vaille=ces=se=tes=rêve=ries=gagne=les=ri=va=ges=de=la=fo=lie=a=char=ne=toi=tue=toi=à=ton=tra=vail=et=sans=par=ler=ni=con=tes=ter=meurt=pié=ti=ner=a=vec=in=dif=fé=ren=ce=par=le=poids=de=ta=mi=sé=ra=ble=exis=tence=cest=ça=la=vie 62
exis=te=til=un=moyen=de=sen=sor=tir=la=mour=dis=moi=en=co=re=ce=mot=et=je=te=fous=mon=poing=dans=la=gu=eu=le=la=mort=non=trop=fa=ci=le=la=fui=te=peut=tê=tre=suis=je=dé=jà=de=ve=nu=fou 50

sou=li=gné=sou=li=gné=sou=li=gné 9

jai=cru=que=la=lit=té=ra=tureé=tait=un=moyen=pour=é=chap=per=à=je=ne=sais=quoi=peut=têtre=la=mort=ou=la=vie=je=vou=lais=plus=que=ra=con=ter=des=pe=tites=his=toi=res=des=po=è=mes=ou=ma=vie=je=vou=lais=créer=de=nou=vel=les=sen=sa=tions=de=nou=vel=les=é=mo=tions=de=nou=vel=les=cou=leurs=de=nou=veaux=sons=de=nou=veaux=par=fum=s=de=nou=vel=les=o=deurs=de=nou=veaux=goûts=de=nou=veaux=mots=de=nou=veaux=lan=ga=ges=qui=au=raient=eu=des=liens=en=tre=tou=tes=cho=ses=dans=ce=mon=de=des=sym=bo=les=des=cor=res=pon=dances=je=vou=lais=mon=trer=que=tout=ça=é=tait=pos=si=ble=je=vou=lais=créer=un=nou=veau=che=min=le=mon=trer=et=peut=tê=tre=je=ne=sais=dans=le=fu=tur=que=des=per=son=nes=lem=pruntent=je=vou=lais=créer=u=ne=nou=vel=le=fa=çon=de=voir=la=vie=de=vivre 187
jy=ai=cru=à=un=moment=don=né=peut=têtre=grâ=ceà=livres=se=ou=quel=que=cho=se=dautre=mais=un=jour=je=suis=re=tom=bé=sur=ter=re=et=ça=fait=mal=très=mal=je=tom=bais=de=mon=i=dé=al=de=mes=nu=a=ges=de=mes=son=ge=ries=où=jai=crié=mon=gé=nie=mes=proues=ses=que=jé=tais=le=cré=a=teur=de=nou=vel=les=ter=res=de=nou=vel=les=mers=jai=des=saou=lé=de=mes=rê=ves=où=je=dan=sais=et=riais=nuits=et=jours=et=je=suis=re=tom=bé=en=en=fer=a=vec=mon=bou=let=à=traî=ner=ma=soif=à=a=breu=ver=deau=la=bois=son=sans=goût=des=dam=nés=et=ma=faim=à=as=sou=vir=de=vian=de=crueet=plei=ne=de=sang=fi=ni=les=rê=ves=fi=ni=les=cor=res=pon=dan=ces=les=sym=bo=les=les=liai=sons=re=tour=au=vi=sa=ge=plein=de=sang=et=de=cras=ses=sé=chés=aux=yeux=ar=ra=chés=et=puant=la=tris=tes=se=fi=ni=les=rê=ves=du=cœur=fi=ni=la=ré=vo=lu=tion=de=lâme 208
sou=li=gné=sou=li=gné=sou=li=gné 9

au=re=voir=jeu=nes=se 6

—=el=le=est=re=per=due 7
quoi 1
son=é=ter=ni=té 5

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Phonétique : L’art, Mon Échec Dans La Folie Perdue De Mon Enferʒə sɥi deʃiʁe ɑ̃tʁə ma kɔlεʁə, mε laʁməz- e mε kʁi. ʒə nə sε kεtʁə œ̃n- ɛ̃satisfε. ʒə nə sε pa paʁle, ʒystə kʁje. pa aʁɡymɑ̃te, ʒystə ɛ̃sylte. pa tʁavaje, ʒystə papijɔne.
mɔ̃ kɔʁ nε kɑ̃ɡwasə, stʁεs, εnə e ivʁεsə. il ε fatiɡe, ʒə lε tʁo yze. lε plœʁz- e la kɔlεʁə ɔ̃ bʁyle a pəti fø la flamə də mεz- ɑ̃tʁajə. ʒε kʁy ʒadi, kə laʁ puʁʁε sove mɔ̃n- amə də lɑ̃fe. kil puʁʁε muvʁiʁ lε pɔʁtə- dy ljø u la pyʁə e divinə ɑ̃bʁwazi kulə a flo sɑ̃ ʒamε saʁεte, nuz- ɑ̃nivʁɑ̃ də splɑ̃didə sɑ̃sasjɔ̃. kɛ̃pɔʁtə la fɔʁmə kil pʁənε :
myzikə, pɔezi, teatʁə… kɛ̃pɔʁtə puʁvy kə ʒə ʁeysisə mɔ̃ byt. mε mɛ̃tənɑ̃ ʒə pø diʁə kə tu səsi nε kə dε ʁεvə də ɡɔsəz- inatεɲablə ! e kə laʁ nε kœ̃ demɔ̃ ki sə ʒu dε kœʁ dɛ̃besiləz- εspeʁɑ̃ kil va lεz- aməne a lɛ̃kɔny, a la teʁə fεʁtilə e nuvεllə. tus nə sɔ̃ kə dεz- ɛ̃besilə. aʁtyʁ ʁɛ̃bo ty ε œ̃n- ɛ̃besilə, ʃaʁlə- bodəlεʁə ty ε œ̃n- ɛ̃besilə, viktɔʁ yɡo ty ε œ̃n- ɛ̃besilə, pɔl vεʁlεnə ty ε œ̃n- ɛ̃besilə, mɔljεʁə ty ε œ̃n- ɛ̃besilə, ʁasinə ty ε œ̃n- ɛ̃besilə, wijjam ʃakεspəaʁ iu aʁə ɑ̃ idjo, ʁuso ty ε œ̃n- ɛ̃besilə, vɔltεʁə ty ε œ̃n- ɛ̃besilə, ʒə sɥiz- œ̃n- ɛ̃besilə, aʁtistə vuz- εtə dεz- ɛ̃besilə, lə mɔ̃də nε fε kə dɛ̃besilə !
e ɔ̃ nu flaʒεllʁa bjɛ̃to lə kœʁ dɑ̃ lε puʁʁityʁə də no peʃe.
suliɲe suliɲe suliɲe

kɑ̃ ʒetε pəti, ʒə nε ʒamε kɔny lamuʁ də djø, ʒə nə kɔnεsε ni lə paʁadi, ni lɑ̃fe, ʒetεz- ɑ̃kɔʁə inɔse e pyʁ də tutə dulœʁ. la kɔnεsɑ̃sə, nu ʁɑ̃ plysz- ɛ̃tεlliʒɑ̃ mεz- a kεl pʁi ? lɛ̃tεllεkt ʁasjɔnεl a ʁɑ̃plase lɛ̃tεllεkt emɔsjɔnεl. kɔ̃bjɛ̃ də sɑ̃ dwa εtʁə vεʁse puʁ nɔtʁə pʁɔpʁə swaf də kɔnεsɑ̃sə ? sil fo kə lε teʁə- dwave pɥe la mɔʁɡ e lεz- ɔseɑ̃ dwave εtʁə ʁuʒə puʁ kɔ̃ swa dεz- εtʁə- də savwaʁ, alɔʁ ʒə pʁefεʁə εtʁə tutə ma vi œ̃n- ɛ̃besilə, œ̃n- idjo, œ̃n- animal, œ̃ vʁε ymɛ̃.

suliɲe suliɲe suliɲe

dəpɥi dε milenεʁə, lə kɔmεʁsə e la liteʁatyʁə sɔ̃ lε dø plys ɡʁɑ̃ metje, mε dəpɥi kεlkə tɑ̃ la liteʁatyʁə sε fε ʁɑ̃plase paʁ la sjɑ̃sə. ɔ, la sjɑ̃sə… la mɔdεʁnite, la tεknɔlɔʒi… levɔlysjɔ̃.
la sjɑ̃sə fε dezɔʁmεz- avɑ̃se lə mɔ̃də, il tuʁnə plys vitə ɡʁasə a εllə. mεz- εllə na ʒamε vuly də mwa.
plys pəti avɑ̃ kə la liteʁatyʁə-ɑ̃tə vʁεmɑ̃ ma vi, ʒetε fasine paʁ də pətitə ʃozə ɛ̃kʁwajablə puʁ mwa, kɔmə lεz- ɔʁlɔʒə, ʒə lε fiksε tu lə tɑ̃z- ɑ̃ ʁεvasɑ̃, lεʁ bεtə e ʒə mə dizε :
sε fasinɑ̃ lœʁ, nɔ̃ sə ki ε fasinɑ̃ sε lə tɑ̃… mε ʒə mə dəmɑ̃də kε sə kil i a apʁε la mɔʁ.
il ɑ̃ falε pø puʁ mə fasine.

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ʒε kʁy puvwaʁ tu ʃɑ̃bule, tu ʁəkʁee. ʒə mə sɥi sɑ̃ti tuʒuʁ difeʁɑ̃, e sa mə tɥ, e sa mə fε vivʁə. ʒε lɛ̃pʁesjɔ̃ dɔpsεʁve lə mɔ̃də avεk dotʁəz- iø kə lε pεʁsɔnə ki mɑ̃tuʁe, də sɑ̃tiʁ lε ʃozə də la vi, dapʁoʃe lε pʁɔblεmə difeʁamɑ̃. sεt- etʁɑ̃ʒə kɔmə lε sɔ̃ʒə də mε nɥi.
paʁfwa ʒesεj də lə puʁsɥivʁə a tʁavεʁ la vilə, də twa ɑ̃ twa, də fil ɑ̃ fil, də ʁyεllə ɑ̃ ʁyεllə, e ʒə kuʁ tutə la nɥi, mεz- il meʃapə tuʒuʁ. e kɑ̃ ʒə mə ʁevεjə, a midi, il mə naʁɡ dɑ̃-o, sə bʁijɑ̃ sɔlεj.
ʒε kʁy kə laʁ alε mεde a ɑ̃fɛ̃ kɔmynike, εkspʁime mε sɑ̃sasjɔ̃, kə ʒə puʁʁε mɔ̃tʁe ynə nuvεllə vwa, œ̃ nuvo pasaʒə. mε sεt- ɛ̃pɔsiblə ! laʁ e mε ʁεvə sɔ̃ vuez- a leʃεk.
ʒə dwa mə ʁətuʁne a mɔ̃ tɔ̃bo, mɔ̃n- ɑ̃fe.
εsklavə tʁavajə ! sεsə tε ʁεvəʁi. ɡaɲə lε ʁivaʒə də la fɔli ! aʃaʁnə twa, tɥ twa a tɔ̃ tʁavaj, e sɑ̃ paʁle, ni kɔ̃tεste, məʁ pjetine avεk ɛ̃difeʁɑ̃sə paʁ lə pwa də ta mizeʁablə εɡzistɑ̃sə. sε sa la vi !
εɡzistə til œ̃ mwajɛ̃ də sɑ̃ sɔʁtiʁ ? lamuʁ ? di mwa ɑ̃kɔʁə sə mo e ʒə tə fus mɔ̃ puiŋ dɑ̃ la ɡələ. la mɔʁ ? nɔ̃ tʁo fasilə. la fɥitə ? pø tεtʁə… sɥi ʒə deʒa dəvəny fu ?

suliɲe suliɲe suliɲe

ʒε kʁy kə la liteʁatyʁə etε œ̃ mwajɛ̃ puʁ eʃape a ʒə nə sε kwa. pø tεtʁə la mɔʁ, u la vi. ʒə vulε plys kə ʁakɔ̃te dε pətitəz- istwaʁə, dε pɔεməz- u ma vi. ʒə vulε kʁee də nuvεllə sɑ̃sasjɔ̃, də nuvεlləz- emɔsjɔ̃, də nuvεllə kulœʁ, də nuvo sɔ̃, də nuvo paʁfœ̃, də nuvεlləz- ɔdœʁ, də nuvo ɡu, də nuvo mo, də nuvo lɑ̃ɡaʒə, ki oʁε y dε ljɛ̃z- ɑ̃tʁə tutə ʃozə dɑ̃ sə mɔ̃də, dε sɛ̃bɔlə, dε kɔʁεspɔ̃dɑ̃sə. ʒə vulε mɔ̃tʁe kə tu sa etε pɔsiblə, ʒə vulε kʁee œ̃ nuvo ʃəmɛ̃, lə mɔ̃tʁe e pø tεtʁə ʒə nə sε, dɑ̃ lə fytyʁ, kə dε pεʁsɔnə lɑ̃pʁœ̃te. ʒə vulε kʁee ynə nuvεllə fasɔ̃ də vwaʁ la vi, də vivʁə.
ʒi ε kʁy a œ̃ mɔmɑ̃ dɔne, pø tεtʁə ɡʁasə a livʁεsə, u kεlkə ʃozə dotʁə. mεz- œ̃ ʒuʁ, ʒə sɥi ʁətɔ̃be syʁ teʁə, e sa fε mal, tʁε mal. ʒə tɔ̃bε də mɔ̃n- ideal, də mε nɥaʒə, də mε sɔ̃ʒəʁi, u ʒε kʁje mɔ̃ ʒeni, mε pʁuesə, kə ʒetε lə kʁeatœʁ də nuvεllə teʁə, də nuvεllə mεʁ. ʒε desaule də mε ʁεvə, u ʒə dɑ̃sεz- e ʁjε nɥiz- e ʒuʁ. e ʒə sɥi ʁətɔ̃be ɑ̃n- ɑ̃fe avεk mɔ̃ bulε a tʁεne, ma swaf a abʁəve do, la bwasɔ̃ sɑ̃ ɡu dε damne, e ma fɛ̃ a asuviʁ də vjɑ̃də kʁy e plεnə də sɑ̃. fini lε ʁεvə, fini lε kɔʁεspɔ̃dɑ̃sə, lε sɛ̃bɔlə, lε ljεzɔ̃, ʁətuʁ o vizaʒə plɛ̃ də sɑ̃ e də kʁasə seʃe, oz- iøz- aʁaʃez- e pɥɑ̃ la tʁistεsə, fini lε ʁεvə dy kœʁ, fini la ʁevɔlysjɔ̃ də lamə.
suliɲe suliɲe suliɲe

o ʁəvwaʁ ʒənεsə !

εllə ε ʁəpεʁdɥ…
kwa ? !
sɔ̃n- etεʁnite.

suliɲe suliɲe suliɲe
Syllabes Phonétique : L’art, Mon Échec Dans La Folie Perdue De Mon Enferʒə=sɥi=de=ʃi=ʁe=ɑ̃=tʁə=ma=kɔ=lε=ʁə=mε=laʁ=mə=ze=mε=kʁi=ʒə=nə=sε=kε=tʁəœ̃=nɛ̃=sa=tis=fε=ʒə=nə=sε=pa=paʁ=le=ʒys=tə=kʁj=e=pa=aʁ=ɡy=mɑ̃=te=ʒys=tə=ɛ̃=syl=te=pa=tʁa=va=j=e=ʒys=tə=pa=pi=jɔ=ne 57
mɔ̃=kɔʁ=nε=kɑ̃=ɡwa=sə=stʁεs=ε=nəe=i=vʁε=sə=il=ε=fa=ti=ɡe=ʒə=lε=tʁo=y=ze=lε=plœ=ʁə=ze=la=kɔ=lε=ʁə=ɔ̃=bʁy=le=a=pə=ti=fø=la=fla=mə=də=mε=zɑ̃=tʁa=jə=ʒε=kʁy=ʒa=di=kə=laʁ=puʁ=ʁε=so=ve=mɔ̃=na=mə=də=lɑ̃=fe=kil=puʁ=ʁε=mu=vʁiʁ=lε=pɔʁ=tə=dy=lj=ø=u=la=py=ʁə=e=di=vi=nə=ɑ̃=bʁwa=zi=ku=lə=a=flo=sɑ̃=ʒa=mε=sa=ʁε=te=nu=zɑ̃=ni=vʁɑ̃=də=splɑ̃=di=də=sɑ̃=sa=sj=ɔ̃=kɛ̃=pɔʁ=tə=la=fɔʁ=mə=kil=pʁə=nε 114
my=zikə=pɔ=e=zi=te=a=tʁə=kɛ̃=pɔʁ=tə=puʁ=vy=kə=ʒə=ʁe=y=si=sə=mɔ̃=byt=mε=mɛ̃=tə=nɑ̃=ʒə=pø=di=ʁə=kə=tu=sə=si=nε=kə=dε=ʁε=və=də=ɡɔ=sə=zi=na=tε=ɲa=blə=e=kə=laʁ=nε=kœ̃=de=mɔ̃=ki=sə=ʒu=dε=kœʁ=dɛ̃=be=si=lə=zεs=pe=ʁɑ̃=kil=va=lε=za=mə=ne=a=lɛ̃=kɔ=ny=a=la=te=ʁə=fεʁ=ti=ləe=nu=vεllə=tus=nə=sɔ̃=kə=dε=zɛ̃=be=si=lə=aʁ=tyʁ=ʁɛ̃=bo=ty=ε=œ̃=nɛ̃=be=si=lə=ʃaʁ=lə=bo=də=lε=ʁə=ty=ε=œ̃=nɛ̃=be=si=lə=vik=tɔʁ=y=ɡo=ty=ε=œ̃=nɛ̃=be=si=lə=pɔl=vεʁ=lε=nə=ty=ε=œ̃=nɛ̃=be=si=lə=mɔ=ljε=ʁə=ty=ε=œ̃=nɛ̃=be=si=lə=ʁa=si=nə=ty=ε=œ̃=nɛ̃=be=si=lə=wi=jjam=ʃa=kεs=pə=aʁ=i=u=a=ʁə=ɑ̃=i=djo=ʁu=so=ty=ε=œ̃=nɛ̃=be=si=lə=vɔl=tε=ʁə=ty=ε=œ̃=nɛ̃=be=si=lə=ʒə=sɥi=zœ̃=nɛ̃=be=si=lə=aʁ=tis=tə=vu=zε=tə=dε=zɛ̃=be=si=lə=lə=mɔ̃=də=nε=fε=kə=dɛ̃=be=silə 218
e=ɔ̃=nu=fla=ʒεl=lʁa=bj=ɛ̃=to=lə=kœ=ʁə=dɑ̃=lε=puʁ=ʁi=ty=ʁə=də=no=pe=ʃe 22
su=li=ɲe=su=li=ɲe=su=li=ɲe 9

kɑ̃=ʒe=tε=pə=ti=ʒə=nε=ʒa=mε=kɔ=ny=la=muʁ=də=dj=ø=ʒə=nə=kɔ=nε=sε=ni=lə=pa=ʁa=di=ni=lɑ̃=fe=ʒe=tε=zɑ̃=kɔ=ʁə=i=nɔ=se=e=pyʁ=də=tu=tə=du=lœ=ʁə=la=kɔ=nε=sɑ̃=sə=nu=ʁɑ̃=plys=zɛ̃=tεl=li=ʒɑ̃=mε=za=kεl=pʁi=lɛ̃=tεl=lεkt=ʁa=sj=ɔ=nεl=a=ʁɑ̃=pla=se=lɛ̃=tεl=lεkt=e=mɔ=sj=ɔ=nεl=kɔ̃=bjɛ̃=də=sɑ̃=dwa=ε=tʁə=vεʁ=se=puʁ=nɔ=tʁə=pʁɔ=pʁə=swaf=də=kɔ=nε=sɑ̃=sə=sil=fo=kə=lε=te=ʁə=dwa=ve=pɥe=la=mɔʁɡ=e=lε=zɔ=se=ɑ̃=dwa=ve=ε=tʁə=ʁu=ʒə=puʁ=kɔ̃=swa=dε=zε=tʁə=də=sa=vwaʁ=a=lɔʁ=ʒə=pʁe=fε=ʁə=ε=tʁə=tu=tə=ma=vi=œ̃=nɛ̃=be=si=lə=œ̃=ni=djo=œ̃=na=ni=mal=œ̃=vʁε=y=mɛ̃ 159

su=li=ɲe=su=li=ɲe=su=li=ɲe 9

dəp=ɥi=dε=mi=le=nε=ʁə=lə=kɔ=mεʁ=sə=e=la=li=te=ʁa=ty=ʁə=sɔ̃=lε=dø=plys=ɡʁɑ̃=me=tj=e=mε=dəp=ɥi=kεl=kə=tɑ̃=la=li=te=ʁa=ty=ʁə=sε=fε=ʁɑ̃=pla=se=paʁ=la=sj=ɑ̃=sə=ɔ=la=sj=ɑ̃=sə=la=mɔ=dεʁ=ni=te=la=tεk=nɔ=lɔ=ʒi=le=vɔ=ly=sj=ɔ̃ 68
la=sj=ɑ̃=sə=fε=de=zɔʁ=mε=za=vɑ̃=se=lə=mɔ̃=də=il=tuʁ=nə=plys=vi=tə=ɡʁa=sə=a=εl=lə=mε=zεl=lə=na=ʒa=mε=vu=ly=də=mwa 35
plys=pə=ti=a=vɑ̃=kə=la=li=te=ʁa=ty=ʁə-ɑ̃=tə=vʁε=mɑ̃=ma=vi=ʒe=tε=fa=si=ne=paʁ=də=pə=ti=tə=ʃo=zə=ɛ̃=kʁwa=ja=blə=puʁ=mwa=kɔ=mə=lε=zɔʁ=lɔ=ʒə=ʒə=lε=fik=sε=tu=lə=tɑ̃=zɑ̃=ʁε=va=sɑ̃=lεʁ=bε=tə=e=ʒə=mə=di=zε 61
sε=fa=si=nɑ̃=lœ=ʁə=nɔ̃=sə=ki=ε=fa=si=nɑ̃=sε=lə=tɑ̃=mε=ʒə=mə=də=mɑ̃=də=kε=sə=kil=i=a=a=pʁε=la=mɔʁ 31
il=ɑ̃=fa=lε=pø=puʁ=mə=fa=si=ne 10

su=li=ɲe=su=li=ɲe=su=li=ɲe 9

ʒε=kʁy=pu=vwaʁ=tu=ʃɑ̃=bu=le=tu=ʁə=kʁe=e=ʒə=mə=sɥi=sɑ̃=ti=tu=ʒuʁ=di=fe=ʁɑ̃=e=sa=mə=tɥ=e=sa=mə=fε=vi=vʁə=ʒε=lɛ̃=pʁe=sj=ɔ̃=dɔp=sεʁ=ve=lə=mɔ̃=də=a=vεk=do=tʁə=zi=ø=kə=lε=pεʁ=sɔ=nə=ki=mɑ̃=tu=ʁe=də=sɑ̃=tiʁ=lε=ʃo=zə=də=la=vi=da=pʁo=ʃe=lε=pʁɔ=blε=mə=di=fe=ʁa=mɑ̃=sε=te=tʁɑ̃=ʒə=kɔ=mə=lε=sɔ̃=ʒə=də=mε=nɥi 90
paʁ=fwa=ʒe=sεj=də=lə=puʁ=sɥi=vʁə=a=tʁa=vεʁ=la=vi=lə=də=twa=ɑ̃=twa=də=fil=ɑ̃=fil=də=ʁy=εl=lə=ɑ̃=ʁy=εl=lə=e=ʒə=kuʁ=tu=tə=la=nɥi=mε=zil=me=ʃa=pə=tu=ʒuʁ=e=kɑ̃=ʒə=mə=ʁe=vε=jə=a=mi=di=il=mə=naʁɡ=dɑ̃-o=sə=bʁi=j=ɑ̃=sɔ=lεj 66
ʒε=kʁy=kə=laʁ=a=lε=mε=de=a=ɑ̃=fɛ̃=kɔ=my=ni=ke=εk=spʁ=me=mε=sɑ̃=sa=sj=ɔ̃=kə=ʒə=puʁ=ʁε=mɔ̃=tʁe=y=nə=nu=vεl=lə=vwa=œ̃=nu=vo=pa=sa=ʒə=mε=sε=tɛ̃=pɔ=si=blə=laʁ=e=mε=ʁε=və=sɔ̃=vu=e=za=le=ʃεk 58
ʒə=dwa=mə=ʁə=tuʁ=ne=a=mɔ̃=tɔ̃=bo=mɔ̃=nɑ̃=fe 13
εs=kla=və=tʁa=va=jə=sε=sə=tε=ʁε=və=ʁi=ɡa=ɲə=lε=ʁi=va=ʒə=də=la=fɔ=li=a=ʃaʁ=nə=twa=tɥ=twa=a=tɔ̃=tʁa=vaj=e=sɑ̃=paʁ=le=ni=kɔ̃=tεs=te=məʁ=pj=e=ti=ne=a=vεk=ɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=sə=paʁ=lə=pwa=də=ta=mi=ze=ʁa=blə=εɡ=zis=tɑ̃=sə=sε=sa=la=vi 69
εɡ=zis=tə=til=œ̃=mwa=jɛ̃=də=sɑ̃=sɔʁ=tiʁ=la=muʁ=di=mwa=ɑ̃=kɔ=ʁə=sə=mo=e=ʒə=tə=fus=mɔ̃=pu=iŋ=dɑ̃=la=ɡə=lə=la=mɔʁ=nɔ̃=tʁo=fa=si=lə=la=fɥi=tə=pø=tε=tʁə=sɥi=ʒə=de=ʒa=də=və=ny=fu 52

su=li=ɲe=su=li=ɲe=su=li=ɲe 9

ʒε=kʁy=kə=la=li=te=ʁa=ty=ʁə=e=tε=œ̃=mwa=jɛ̃=puʁ=e=ʃa=pe=a=ʒə=nə=sε=kwa=pø=tε=tʁə=la=mɔʁ=u=la=vi=ʒə=vu=lε=plys=kə=ʁa=kɔ̃=te=dε=pə=ti=tə=zis=twa=ʁə=dε=pɔ=ε=mə=zu=ma=vi=ʒə=vu=lε=kʁe=e=də=nu=vεl=lə=sɑ̃=sa=sj=ɔ̃=də=nu=vεl=lə=ze=mɔ=sj=ɔ̃=də=nu=vεl=lə=ku=lœ=ʁə=də=nu=vo=sɔ̃=də=nu=vo=paʁ=fœ̃=də=nu=vεl=lə=zɔ=dœ=ʁə=də=nu=vo=ɡu=də=nu=vo=mo=də=nu=vo=lɑ̃=ɡa=ʒə=ki=o=ʁε=y=dε=lj=ɛ̃=zɑ̃=tʁə=tu=tə=ʃo=zə=dɑ̃=sə=mɔ̃=də=dε=sɛ̃=bɔ=lə=dε=kɔ=ʁεs=pɔ̃=dɑ̃=sə=ʒə=vu=lε=mɔ̃=tʁe=kə=tu=sa=e=tε=pɔ=si=blə=ʒə=vu=lε=kʁe=e=œ̃=nu=vo=ʃə=mɛ̃=lə=mɔ̃=tʁe=e=pø=tε=tʁə=ʒə=nə=sε=dɑ̃=lə=fy=tyʁ=kə=dε=pεʁ=sɔ=nə=lɑ̃=pʁœ̃=te=ʒə=vu=lε=kʁe=e=y=nə=nu=vεl=lə=fa=sɔ̃=də=vwaʁ=la=vi=də=vi=vʁə 202
ʒi=ε=kʁy=a=œ̃=mɔ=mɑ̃=dɔ=ne=pø=tε=tʁə=ɡʁa=sə=a=li=vʁε=sə=u=kεl=kə=ʃo=zə=do=tʁə=mε=zœ̃=ʒuʁ=ʒə=sɥi=ʁə=tɔ̃=be=syʁ=te=ʁə=e=sa=fε=mal=tʁε=mal=ʒə=tɔ̃=bε=də=mɔ̃=ni=de=al=də=mε=nɥ=a=ʒə=də=mε=sɔ̃=ʒə=ʁi=u=ʒε=kʁje=mɔ̃=ʒe=ni=mε=pʁu=e=sə=kə=ʒe=tε=lə=kʁe=a=tœʁ=də=nu=vεl=lə=te=ʁə=də=nu=vεl=lə=mεʁ=ʒε=de=sa=u=le=də=mε=ʁε=və=u=ʒə=dɑ̃=sε=ze=ʁjε=nɥi=ze=ʒuʁ=e=ʒə=sɥi=ʁə=tɔ̃=be=ɑ̃=nɑ̃=fe=a=vεk=mɔ̃=bu=lε=a=tʁε=ne=ma=swaf=a=a=bʁə=ve=do=la=bwa=sɔ̃=sɑ̃=ɡu=dε=dam=ne=e=ma=fɛ̃=a=a=su=viʁ=də=vjɑ̃=də=kʁy=e=plε=nə=də=sɑ̃=fi=ni=lε=ʁε=və=fi=ni=lε=kɔ=ʁεs=pɔ̃=dɑ̃=sə=lε=sɛ̃=bɔ=lə=lε=ljε=zɔ̃=ʁə=tuʁ=o=vi=za=ʒə=plɛ̃=də=sɑ̃=e=də=kʁa=sə=se=ʃe=o=zi=ø=za=ʁa=ʃe=ze=pɥɑ̃=la=tʁis=tε=sə=fi=ni=lε=ʁε=və=dy=kœʁ=fi=ni=la=ʁe=vɔ=ly=sjɔ̃=də=la=mə 218
su=li=ɲe=su=li=ɲe=su=li=ɲe 9

o=ʁə=vwaʁ=ʒə=nε=sə 6

εl=lə=ε=ʁə=pεʁdɥ 6
kwa 1
sɔ̃=ne=tεʁ=ni=te 5

su=li=ɲe=su=li=ɲe=su=li=ɲe 9

Historique des Modifications

14/02/2019 08:47
13/02/2019 18:57
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Commentaire poème
19/04/2024Poeme-France
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Prose Impossible
Du 14/07/2017 20:46

L'écrit contient 1009 mots qui sont répartis dans 17 strophes.