Poème:Tu Étais Absent

Que de larmes, que de cries ;
Que de tristesse dans cette vie
Je ne suis jamais arrivée
A trouver la joie sur cette terre,
Au plus profont de moi, il ya la peur
Une peur qui éclipce un miserable bonheur ;

Je ne suis qu’un petit enfant au fond
Un enfan qui a besoin d’un amour profont
Des calins d’une mère et la force d’un père,
Ce père que je n’ai jamais eu
A l’oublie, j’ai jamais pu
Je suis si faible aujourd’hui
Que de larmes, que de cries ;
Qui resonnent en moi
A l’espoir je ne crois,

Les batemants de mon cœur me font horreur,
Tout ce bruit que fait mon cœur
Tout ce travail qu’il s’echarne à faire
Le mieux faire c’est ce taire
Je ne veux pas de votre pitié
Je ne veux pas de votre amitié
Ne me regardez pas avec ces yeux ;
Laissez moi tranquille
Partir loin ça serait mieux
Oh père ! c’est à toi que je dedie ce poème
J’ai honte de dire que tu es mon père
Tu etais mon heros avant, quand même,
Ttu m’as abondonné hier
Aujourd’hui, je suis grandi
Je te demande de te taire
C’est trop tard, il n’ya rien à faire
C’est vrai que je n’arretes pas à penser à toi
C’est vrai que tu es en moi ;
C’est vrai que je portes ton nom
Mais tu m’as detruit et tu es enfui,
« Tu n’es plus ma fille »
Tu m’as dit
Il y’a bien longtemps que tu me l’as dit
Et tu t’es parti,
Ohhh, père je suis dézolée.