Prose:Rivages
La Prose
La brise se levait, lentement sur la dune.
Ta chevelure noire descendait sur tes hanches ;
Nous regardions les îles, nous regardions la mer.
Deux sternes égarées dessinaient des volutes,
De la frange d’une vague, à la vague suivante.
Les mouettes giclaient des écumes éclatées.
Au loin, une goèlette s’accouplait à la houle.
Des clameurs lointaines remontaient de la ville,
D’où tant de solitudes enfantent l’espérance.
La lune ombrait la digue où s’endormaient les barques.
Et nos nuits seraient chaudes, aux moiteurs des marées.
La lune s’est couchée, assoupie, près de toi…
Ta chevelure noire descendait sur tes hanches ;
Nous regardions les îles, nous regardions la mer.
Deux sternes égarées dessinaient des volutes,
De la frange d’une vague, à la vague suivante.
Les mouettes giclaient des écumes éclatées.
Au loin, une goèlette s’accouplait à la houle.
Des clameurs lointaines remontaient de la ville,
D’où tant de solitudes enfantent l’espérance.
La lune ombrait la digue où s’endormaient les barques.
Et nos nuits seraient chaudes, aux moiteurs des marées.
La lune s’est couchée, assoupie, près de toi…
Poète Halbran
Halbran a publié sur le site 107 écrits. Halbran est membre du site depuis l'année 2013.Lire le profil du poète HalbranSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Rivages
la bʁizə sə ləvε, lɑ̃təmɑ̃ syʁ la dynə.ta ʃəvəlyʁə nwaʁə desɑ̃dε syʁ tεz- ɑ̃ʃə,
nu ʁəɡaʁdjɔ̃ lεz- ilə, nu ʁəɡaʁdjɔ̃ la mεʁ.
dø stεʁnəz- eɡaʁe desinε dε vɔlytə,
də la fʁɑ̃ʒə dynə vaɡ, a la vaɡ sɥivɑ̃tə.
lε muεtə ʒiklε dεz- ekyməz- eklate.
o lwɛ̃, ynə ɡɔεlεtə sakuplε a la ulə.
dε klamœʁ lwɛ̃tεnə ʁəmɔ̃tε də la vilə,
du tɑ̃ də sɔlitydəz- ɑ̃fɑ̃te lεspeʁɑ̃sə.
la lynə ɔ̃bʁε la diɡ u sɑ̃dɔʁmε lε baʁk.
e no nɥi səʁε ʃodə, o mwatœʁ dε maʁe.
la lynə sε kuʃe, asupi, pʁε də twa…
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
06/11/2013 11:24Eden Bis
Très joli tableau qui s’échoue sur une douce nuit ...
Super partage Guy !
Amitiés
Véronique
06/11/2013 14:03Halbran
Bonjour Véronique
Je te remercie
Bien amicalement
Guy
06/11/2013 15:10Orpailleur
Un flux et un reflux sur un rivage enchanteur.
Mais quel beau tableau d’un artiste à la fine plume.
J’ai bien aimé mon cher Guy.
Amitié...jacques
06/11/2013 15:41Opportunité
J’aime beaucoup,en vous lisant je suis partie sur de doux rivages.
Merci de ce beau partage.
Opportunité
06/11/2013 16:24Halbran
Bonjour Jacques
Quel commentaire élogieux. J’en suis confus.
Grand merci, à bientôt
Amicalement
Guy
06/11/2013 16:27Halbran
Bonjour Opportunité
Comme l’indique votre pseudo, c’était "l’occasion" de s’évader.
Je suis ravi que vous l’ayez ressenti ainsi.
C’est moi qui vous remercie de m’avoir lu.
Guy
Prose Absolu
Du 06/11/2013 11:14
L'écrit contient 97 mots qui sont répartis dans 1 strophes.